CHAPITRE HUIT ✔

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L'année prochaine je rentre au pôle et s'il continu ses conneries de gosses pourrie gâté et jaloux sa va clairement pas le faire.
- Bon! Je crois que ce bon sortait de mes tripes.
Arick a légèrement sursaute avant de souffler un putains j'ai flippé dans sa barbe. J'ai enchaîné sans relever.
- tu sais qu'on a des choses à se dire? Il a rien dit et m'a fixé en posant ses couverts. J'aurais aimé avoir une réponse et son silence me perturbe mais je continue en essayant de ne pas le fixer dans les yeux; ils me déstabilisent et je sais qu'il aime bien en jouer.
- je t'ai dis après la sélection que même si je n'avais pas encore ma lettre d'admission par écrit je savais déjà que j'allais rentrer au pôle.

- oui... Il daigne enfin sortir une fichu réponse, c'est pas trop tôt dite donc!
Dans son oui j'ai senti qu'il portait toute son attention sur moi. Loin de me rassurer, ça m'a fouttu une dose de stress en plus. Concentre toi Laura, tu peux le faire.
- et je pense que tu as la même impression que moi que notre relation à un goût d'inachevé et que tant qu'on aura pas tout éclairci on arrivera pas à tourner la page et...
Il m'interromp très sereinement même si je sent qu'il se retiens.
- arrête de tourner autour du pot s'il te plaît ! Bon je crois maintenant que je dois vite finir avant qu'il s'énerve. Je fais comme si de rien était et je continu en étant cette fois plus concises.
- ce que je veux dire par la c'est que j'aimerais que l'on ré aprennent à ce connaître et, juste avant la rentrée on voit si on se remet ensemble ou pas. Je marque un temps d'arrêt. On recommence mais on n'oublie pas ce qui s'est passée et pourquoi on s'est séparé.
Il réfléchi un moment l'air neutre puis lâche  un petit dacord, je suppose qu'on peut toujours essayer. Il sort un léger sourire qu'il essaie rapidement de masquer en enfournent une grosse bouché dans sa bouche. Je ris légèrement en le voyant essayer de mâcher péniblement cette énorme bouché.
Je lui propose de sortir après le repas pour ce balader comme nous avions l'habitude avant. Il hoche la tête et continu à mâcher ten bien que mal et à respirer fort. Je suis morte de rire intérieurement mais ne me permet que de sourire.

Nous terminons de manger dans un silence sans malaise. Nous réfléchissons  tous les  deux à notre avenir à deux, ou pas...

La vie active d'une petite sportiveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant