- Lucie -
Le désert, très peu moi. On crève de chaud. On aurai du voyager de nuits. Mais on été mort de fatigue après notre excursion dans les mines. On est donc partit de jour, avec un 40° à l'ombre, si par bonheur il y a de l'ombre. On se couvre du moi qu'on le peu, en rationnant l'eau, faudrait par faire une trop grosse crise de déshydratation, en buvant peu, on l'évite, enfin.... je croit. La ville Fantôme et droit devant nous, mais a savoir si c'est la vrai ou un mirage, c'est une autre affaire. On marche depuis quelque heures, 3 ou 4, je sais plus, cherchant un peu d'ombre pour faire un pause. On finit par en trouver, derrière une carcasse de véhicule, une sorte d'énorme polygone marron, sur chenille, traces de brûlure, des points pour être exact sur les flanc. On se pause, boit, et mange un morceaux. On n'explore pas la carcasse, ce serai inutile, on sais qu'il n'y a rien dedans.
Alors qu'on s'apprête à partir, on distingue des nuages de sable au loin. Des formes, semblable à la machine qui nous abrite du soleil s'approche à grande vitesse. On rentre illico dans la machine, et on se cache du mieux qu'on le peu. Les "caravanes" s'arrête a notre niveau. On entend des hommes sortir et rentré la où on est. On distingue, depuis notre cachette, des hommes, du moins ce qui en ressemble le plus, s'asseoir sur les sièges de contrôle du véhicule. Ces hommes sont plus grand, plus difforme et plus .... bizarre que des hommes normaux. L'un a une énorme tête aplatit, un autre a quatre bras, un troisième des pinces a la place des mains.... etc. Je me demande qu'es qu'ils sont.
- Vous avez une idée de ce qu'ils sont ??, je demande au reste du groupe.
- Des pillards du désert. Extrêmement dangereux. Avec la chance que l'on à, c'était sur qu'on allait en croiser, pense Bogris.
- Vous pensez qu'ils vont nous trouvez ??, demande Luna.
- J'espère pas, sinon on est mal, finit Lucas.
On attend. Ils reste la deux heures, finissent par partir. Avant ça, le chef lance tout haut :
- Depuis quelque temps, la ville est agité. Je ne sais pas ce qu'il si passe, mais je ne mis risquerai pas. Personne de devrait y allez. Ne coyer pas que j'ai peur, Hugs n'a jamais peur, mais il y a quelque chose la bas qui énerve les Élémentaires. Et il y a rien de plus dangereux qu'une meute d'Élémentaire en colère.
Et il s'en va, on entend les caravanes démarrer et partir. On sort de notre cachette, tout engourdit, et on regarde dehors. La nuit commence à tomber. On se regarde.
- Vous croyez qu'il parlait à nous ??, demande Luna.
- Surement, il n'y avait personne d'autre dans la pièce, répond Bogris. Des Élémentaires... ça va faire mal. Vous voulez toujours allez la bas ??
- Bien sur !!!, on répond alors, suivit par notre Elfe.
- Bien, on y va alors... finit Bogris.
On finit donc notre traverser du désert de nuit, sous une fraîcheur bien accueilli après la journée en plein cagnard. On arrive devant la ville, et on monte le camps. Devant la ville, on ira dedans demain, quand on sera alerte et reposer. La on a tous envie de prendre une douche, et d'allez dormir. mais comme on a pas de douche, on mange et on dort. C'est une des pires nuits que j'ai jamais passez de ma vie.
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Les Descendants
PertualanganC'est l'histoire d'enfants pas comme les autres, qui partent à l'aventure, cherchant des informations sur leur origines et leur ancêtre, tout en parcourant et explorant leur monde.