Aaron : je serais toujours là pour toi

5.7K 183 1
                                    

A une période tu avais été heureuse, combler. Mais après une rupture violente avec ton copain, tu avais sombrer. Tu étais devenue maussade, ce n'était plus pareil. Il t'avait brisé le cœur et tu ne savais même pas si tu allais t'en remettre. Tu te fichais de tous des cours, de ta vie. Tu perdais pieds et tu ne fessais rien pour empêcher ça. Le mercredi tu te fis encore virer de cours. Tu avais l'habitude et le directeur ne savais plus quoi te dire, il était désespérer et toi aussi mais sa personne ne le voyait. Il t'envoya en perme et sous le regard de toutes les personnes présentes tu te plaças au fond derrière un garçon qui dormait. Tu te plaças de sorte à ce que personne ne te voient et sortis ton téléphone, tu regardas toute tes ancienne photo. Là où tu étais heureuse, tu souriais tout le temps et tu étais insouciante. Tu te demandais si tu y arriverais encore. Ton cœur se serra à la vue de tes anciennes meilleures amies. Vous étiez si proche, tu pensais que sa durerais toujours. Tu n'aurais jamais pensé que tu aurais pu tomber si bas que même elles n'avaient pas pu te rattraper, ce n'était pas de leurs faute c'était de la tienne. Tu ne les laissé jamais t'aider, elles ont aussi des sentiments et on finit par abandonner. Tu ne leurs en voulait pas à elles mais à toi. Tu les voyais toute les deux et tu savais que si tu étais avec elles, elles ne seraient pas si heureuse. Tu savais que tu étais un poids pour tout le monde. Une larme glissa sur ta joue, tu l'essuyas aussi rapidement qu'elle était apparu. Tu remarquas alors que le garçon qui était devant toi, était retourné et te regarder.

Aaron: pourquoi tu pleures ?

Y: je ne pleure pas

Il baissa légèrement la tête en souriant, tu l'amuser.

A: alors plutôt pourquoi tu pleurais ?

Y: oh c'est rien, un petit coup de blues

Son regard ne lâcha pas le tiens, il était profond. Tu te sentis obliger de dire quelque chose d'autre

Y: ça ne t'ai jamais arrivé à toi ?

A: rarement... enfaite je voulais te dire que... que ce n'est pas la première fois que je te vois... enfin je veux dire en perme pendant les heures de cours. Pourquoi tu te fais souvent virer ?

Tu souris, tu trouvais sa adorable la façon dont il chercher les bons mots et qu'il s'embrouillait.

Y: je fais mal les choses, je n'aime pas vraiment qu'on me dérange ou quand les profs se moque de moi alors... je me retrouve souvent ici et toi ?

A: tu veux la liste complet -tu hochas la tête- pas mes affaires, pas fait mon fait mon travail, dors en cours, répond aux professeurs, écoute de la musique en classe et des fois c'est moi qui décide de sortir pour... pouvoir te voire

Tu rougis sous la remarque, tu ne savais pas vraiment s'il rigolait ou s'il était sérieux. Tu décidas de ne pas vraiment faire attention à cette remarque.

Y: Bad boys -sourire moqueur-

A: je ne sais pas pourquoi mais j'étais sûre que tu allais le dire

Il rit doucement, tu le regardais sans vraiment savoir pourquoi et lui aussi te regardait. La sonnerie retentit et les surveillants vous firent sortir de la perme. Avant que tu partes tu n'attendais a rien de sa part pourtant...

A: alors on se verra au prochain cours ou tu te feras virer -clin d'œil-

Tu n'avais rien répondus a ça appart un sourire qui voulait tout dire, tu te sentais mieux. Parler a Aaron t'avais vraiment fait du bien. Mais à peine étais-tu retournais en classe que déjà des remarques sur toi fusèrent. La cour n'avait commencé que depuis quelques minutes et pourtant tu avais l'impression que sa fessait 1 heure. Tu voulais partir, les filles de ta classe te regardaient méchamment. Pas besoin d'être télépathe pour savoir ce qu'elles pensaient. Elles te haïssaient et tu ne savais même pas pourquoi. C'était plutôt à toi de les haïr. Tu regardais par la fenêtre, tu voyais toute la cours. Un garçon marchait au milieu de la cours, avec une démarche lasse. Au début tu ne l'avais pas vraiment fait attention mais lorsqu'il tourna la tête dans ta direction. Tu le reconnus... Aaron. Bizarrement la classe était devenue calme mais tu t'en fichais. Tu te demandais surtout si Aaron avait fait exprès de se faire virer de cours. Non il n'aurait pas fait sa pour toi... impossible.

imagine magcon Où les histoires vivent. Découvrez maintenant