Sourire d'ange

Épilogue

Le public se remplit, le chapiteau est légèrement dans le noir laissant les personnes s'installer sur les bancs.

Puis la grande lumière s'allume sur mon prisonnier, se réveillant à peine, laissant le public perplexe.

J'apparais ensuite en faisant une révérence.

-Medames et messieurs, certains d'entre vous me connaisse sûrement sous le nom de Joke, doté du fameux sourire d'ange.

Je sors mon couteau ce qui effraie certains, mais ils ne partent pas étant interrompu par mes nouveaux esclaves.

-Je vais vous révéler le fameux secret de ce cirque pour ces fabuleux monstres ! De quoi effrayer vos enfants pour les punirs.
-C'est quoi ce..
-Oh, il est réveillé !

Je viens glisser la lame froide sur la joue de l'homme en ricanant faiblement.

-Tu te souviens de moi ?
-J..Joke ?!
-Exactement, je me souviens de chaque détails, de chaque douleur, de ta lame sur ma joue s'enfoncant de plus en plus dans ma peau.

Il semble légèrement paniquer, et il a raison.
Je viens murmurer à son oreille.

-Je vais te faire exactement ce que tu m'as fait pour faire de moi un monstre.

Je prends un des morceaux de miroir, puis le place devant nous pour observer mon travail sans gacher la vue au public.

Ma lame vient pénétrer sa chair, tracant une ligne qui le fait hurler.

Le public cri également en essayant de s'enfuir, mais je lache le miroir pour reprendre mon arme, ce qui oblige les employés à retenir les citoyens.

-Ne partez pas voyons ! Nous n'avons pas fini !

Je finis la cicatrice en entendant le doux son que produit mon tortionnaire, puis je lache la lame en levant les bras fièrement.

-Voila le fameux sourire d'ange mes chers ! Un vrai cadeau de mère nature !

Les plus faible d'esprit commencent à lacher des larmes de peurs, ce qui me fait sourire.

Je tends ensuite l'arme vers ma victime, qui respire faiblement.

-Va enfer joke...
-On s'y retrouvera t'en fait pas.

Puis je tire, laissant le public crier de plus belle.

Je me sens totalement libéré, comme si mon malheur était enfin fini.

Mais mon bonheur est de courte durée, lorsque je sens une forte douleur me transpercer, j'étais tellement préoccupé par ma victoire que je n'avais pas vu maréchal bondir vers moi pour me poignarder.

Je le regarde sans comprendre, les yeux remplis de rage.

-C'est fini, tu en a trop fait.

Puis mon corps tombe en arrière brutalement, laissant mon corps se vider de son sang.

Mes yeux se troubles, ne laissant voir que Misa me regarder avec tristesse.

Je lève doucement la main vers elle, elle l'accepte en la prenant dans la sienne.

-C'est fini Haise..
-Po..ur..q..
-Ils t'ont rendu fou, tu vas enfin connaitre la paix.

Mes yeux se ferment, serrant une derniere fois sa main.

Lorsque je les ouvre, je ne vois que ma mère me regarder avec tendresse.

Mon corps court pour atterir dans ses bras.

Je me souviens de tout maintenant.

Nous étions fermier, mon père était mort d'une maladie lorsque j'étais petit.

Et ce soir, ou ils m'ont prit.

Ils ont tué ma mère aussi.

Alors je vais la rejoindre.

Dans un dernier souffle, je me laisse aller, laissant mon coeur s'arrêter.

FIN