une photo..

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Je crie à l'aide au fond de moi, mais à voix haute je lui demande de partir, je ne veux pas qu'il assiste à ce cauchemar, cette scène, c'est presque répugnant.

J'ai réouvert des cicatrices, mon mal être et cette chose qui me condamne à être triste est revenue, cette lumière si belle, a disparue.

Quand j'entends ce bruit sourd, cette porte ce claquer, et ce visage familier et si beau rentré, j'ai l'impression que tout s'éclaircie, serait-ce lui cette lumière ? ou je délire trop..

-Sooyan..

Il venait de prononcer mon prénom avec délicatesse, je voyais dans ses prunelles une tendresse réchauffante, il me regardait comme jamais ont m'avait regardé auparavant, c'était doux, fort, intense..

-part..

Je n'arrivais pas à lui dire que j'étais heureuse qu'il sois à mes côtés, je pouvais pas le tirer dans mon monde cauchemardesques, lui qui a une vie sans tournant, moi c'était un bateau en pleine tempête.

Oui je souffre, mais à choisir, je préfère que ce soit moi que lui dans cette souffrance, car sont bonheur passera toujours avant le miens.

-non..on est deux maintenant, je te l'ai promis, et je me le suis promis.

-tu sais que c'est plus dur que des messages en demandant des nouvelles, regardes mes bras.

-je sais j'en ai conscience, laisse moi te montrer que tu as besoin de moi, car moi j'ai besoin de toi, et je veux être celui qui te relève.

-tu l'est déjà..

-alors pourquoi tu ne me laisse pas t'aider.

Au même moment des larmes chaudes coulent le long de ses joues, elles avaient l'air brûlante..

-car je veux pas te traîner dans une situation comme la mienne, je ne vie pas de moment rose tout les jours.

-et je le sais, je n'ai pas accepté ton ticket sortie d'enfer car je sais très bien les responsabilités, j'ai besoin de savoir que je suis là pour toi, je pourrais pas franchir le seuil de chez toi sans savoir que tu es avec moi.

-Jimin je-

-non.. Sooyan, je suis la, je sais que je n'ai pas l'air d'être un mec fiable mais je te promet d'être là pour toi, j'ai fait Séoul Busan ce soir, et je ferais encore bien plus.

Je pouvais plus le nier il était une force inconnu, j'avais beau me résonnait c'était pas possible qu'il soit autre chose, je pouvais me reposer sur quelqu'un alors.

-merci..

Il embrasse mon front d'un baiser mouillé et me prend dans ses bras robustes et réconfortant, je pouvais y loger mes larmes, ma colère et ma joie il garderais tout, sans me trahir.

-je vais te soigner tu viens.

J'acquiesce de la tête et me lève avec son aide pour arriver dans ma salle de bain, je m'assieds au rebord de la baignoire et celui-ci sort notre trousses de secours.

-je..je n'ai jamais laissé personne les regarder, les toucher et encore moi les soigner..

-je ferais attention.