Au rythme de la musique
Leurs visages se dessinent
À dix mille lieux de mon nuage toxique
Je laisse l'insouciance perforer ma poitrine
Et, seule, au milieu de la campagne
Je ferme tendrement les yeux
Une douce euphorie me gagne,
Le soleil me caressant de ses rayons voluptueux
Libre, les doigts fendant l'air
J'effleure leurs mâchoires sauvages
Adieux âme solitaire
Que vole en éclat ma cage
Je ne sais pas de quoi sera fait demain
Mais ce qui est sûr c'est qu'un jour, je partagerai leurs matins.
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Le chant de l'âme
Poesía"D'un seul regard, il était devenu Lui, l'étranger, mon rêve absolu D'un seul sourire, il avait éveillé Les prémices d'un amour invisible et secret. "