Le souffle coupé, le regard vague
Impossible de plonger dans ses yeux océan
Noyée dans un violent désir, je divague
Rougissant sous les rayons de son sourire bienveillant
Faussement indifférente, je tente de reprendre pied
Or tout mon être s'anime d'une sourde timidité
Le cœur battant, les sentiments en vrac
Je gonfle de nonchalance mes poumons
Mais aux portes du contact, je suis inondée de trac
Le cerveaux traversé d'une folle déraison.
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Le chant de l'âme
Poesía"D'un seul regard, il était devenu Lui, l'étranger, mon rêve absolu D'un seul sourire, il avait éveillé Les prémices d'un amour invisible et secret. "