Après de longues semaines
De mirages et de brûlures éphémères
L'astre incandescent, à court d'oxygène
A étouffé au creux de ses bras, ses rayons sanguinaires
Fenêtre entrouverte, je hume le doux parfum de l'humidité
Laissant mon visage chétif s'abreuver de cette magie liquide
Qui aurait pu croire que cela m'ait tant manqué ?
Les lèvres souriantes, j'observe le ciel, candide
Le vert des arbres ne m'a jamais semblé aussi éclatant
Que sous cette pluie, qui efface doucement, la sombre empreinte de mes tourments.
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Le chant de l'âme
شِعر"D'un seul regard, il était devenu Lui, l'étranger, mon rêve absolu D'un seul sourire, il avait éveillé Les prémices d'un amour invisible et secret. "