Alors ça y est ?
Nous sommes à la veille du 21 juin.
La veille du solstice d'été, de la fête de la musique. Le début des vacances pour certain, la libération pour d'autres.
Que m'évoque exactement cette journée ? Je ne sais pas vraiment. Chaque année dans la ville voisine de la mienne est organisé une fête à cette occasion. Des musiciens offrent de belles performances, en général il fait beau. J'y chanterai peut etre un jour, qui sait ? La mairie en profite pour faire la promotion de certains de ses services aussi.
Le 21 juin. Chaque année je songe à la journée que je pourrai passer. A ce que je pourrai en faire. Et chaque année c'est le même refrain : Je ne fais rien, absolument rien.
Ce chapitre est un peu bizarre, je ne sais pas quoi en faire, ni quoi en penser. Je ne suis même pas sûre de le poster (bien que si toi lecteur aguerri tu lis ces lignes c'est que je l'ai fait)
L'été à toujours la réputation de la plus belle saison, mais je ne suis pas tout à fait d'accord. Je pense que les gens aiment l'image que renvoi cette saison, les événements qui lui sont associés (les vacances !). Mais on croirait que personne ne prête attention à autre chose que le reflet de ces 3 mois de "beau temps". Ma saison préférée à moi, c'est l'automne je pense. La nature roussi, jaunis, rougis. Elle commence peu à peu à vieillir, pour ensuite mourir en hiver. Puis viens le printemps où elle renaît. Son âge d'or, son apogée même est atteint en été. Et malgré ça, sa beauté n'est que plus belle avec l'âge. En automne donc.
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Bon c'est probablement un des chapitres les plus bizarres de ce recueil, la chose la plus étrange que j'ai jamais écrite. Quelle est votre saison préférée ? Excusez moi des monstrueuses fautes qu'il doit y avoir, il est 01h18 du matin Haha.
