Chapitre 9

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La mort d'un proche. C'est une chose bien douloureuse qu'il est toujours difficile à surmonter. Le plus souvent, il est même impossible de le surmonter. Alors, on vit avec, douloureusement... Certains essayent toute leur vie de supporter cela, mais finisse par succomber par la tristesse, la dépression et souvent par la solitude.
La mort ne previent jamais quand elle arrive. Elle vient juste et nous prend notre être chère.

En une semaine, elle est venu pour une sœur et une amie précieuse. Deux jeunes lycéenes ont été touches pas la mort sans prier garde. Et cela sans que personne ne s'y attende...

Car la mort vient toujours à l'improviste. Lorsqu'on la défi, il est difficile de gagner contre elle, voir impossible.

Elle s'en était déjà pris à une infinité de victime depuis la création du monde, humain, bête domestique ou sauvage. Tout le monde sera touché par celle-ci un jour ou l'autre et ça chacun le sait.

On dit que le prédateur de l'Homme c'est l'Homme. Mais la plus grande peur de celui-ci, c'est la Mort.

Dans la salle de classe de la 77-B, trois personnes avaient perdu des êtres chères, les victimes d'un meurtre dans leur lycée. Ces deux lycéennes qui avaient perdu la vie, la première était la sœur de l'ultime Yakuza et une personne importante pour l'ultime Kendoka et deuxième était la meilleure amie de l'ultime photographe.

Cette tragédie avait touché plus d'un même s'ils n'étaient pas aussi bouleversé que leur proche. Pour d'autre, ils ne connaissaient pas les victimes, quand bien même, chacun faisait le deuil à sa façon. Cela faisait remonter d'ailleurs des souvenirs pour certains qui ont déjà vécu.

[t/p] était dans le couloir, devant sa classe, assise contre le mur et regardait dans le vide. Elle ne surportait pas l'atmosphère dans sa classe, alors, elle a préféré sortir. La porte s'ouvrit sur son meilleur ami, celui-ci avait une expression neutre. Il s'aasit à côté d'elle en soupirant et regarda devant lui.

_Comment est ce à l'intérieur ? Demanda t elle.

_Toujours la même ambiance. Mahiru pleure toujours.

_Je vois...

Un long silence s'installa entre les eux amis. [t/p] n'avait rien dire et Kazuichi ne pouvait rien dire. Parler ne serai qu'une perte inutile. La présence d'un suffisait pour l'autre. Kazuichi mit son bras autour des épaules de [t/p] et l'approche contre lui pour embrasser son front et caresser sa tête.

_Ça fait deux mois maintenant. Dit elle.

_Je sais.

_J'y vais, tu peux dire à la prof que/

_Vas-y. Je ramènerai tes affaires chez toi.

_Merci Sôda.

Elle embrassa la joue de son ami d'enfance, se leva et s'en alla. Elle marchait de manière automatique, sans se poser question, elle laissa juste ses pas l'emmener vers sa destination. Elle devait penser à autre chose, elle détestait son état d'esprit.

Son téléphone sonna, elle le prit et décrocha.

_Allo ?

_Serai tu disponible, aujourd'hui dans une heure à l'hôtel de ville ? Le président fait un discours et/

_Je serai là dans 20 minutes.

_Bien.

Voilà un bon moyen pour penser à autre chose.

Elle detestait vraiment cette atmosphère.

Le soir:

[t/p] avait enchaîné 4 travails d'affiliés, elle n'était pas épuisée et ses mauvaise pensées étaient encore là. Elle aurait aimé continuer tirer, mais plus aucun travail était disponible, les salles d'arcade et de laser game étaient fermées.

Mon Ultime Scolarité [Nagito X Reader] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant