Ivar Lothbrok est un jeune homme bourru, désabusé, soupe au lait ; sa famille peut s'avérer encombrante.
La lectrice, qui le voit tous les samedis matins, se sent irrémédiablement attirée par cette homme à qui elle n'a jamais parlé. Un jour, saisiss...
Couple : Modern Ivar x lectrice (Y/N = your name = ton nom)
Remarques : ils en ont mis du temps. Au fur et à mesure que j'écrivais ce chapitre et que je voyais que ces deux-là continuaient à discuter, je désespérais un peu. Mais finalement... 😉
Le gif a été trouvé sur Pinterest, posté par Leah Spruell (Pensez à ce gif à la toute fin de ce chapitre - en faisant abstraction du fait qu'Alex est debout).
Résumé : ce dimanche matin, il pleut sur Copenhague. Après le petit déjeuner, Ivar et la lectrice décident de retourner se coucher.
Avertissements : eh bien ma foi... en anglais on appelle ça 'fingering'. En gros, il ne s'agit pas vraiment de sexe, mais de doigts qui pénètrent... la lectrice est évidemment receveuse.
Mots : 3145
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Tu ouvres paresseusement un œil pour le refermer aussitôt. Il n'est pas question que cette nuit se termine. Tu as merveilleusement dormi, blottie contre Ivar, ta tête sur sa poitrine et vos jambes entremêlées. Son odeur est partout dans le lit et tu inspires profondément. Ta main s'aventure sous les draps. « Hmmm... » Mais quand elle ne rencontre rien d'autre qu'un oreiller, tu es immédiatement parfaitement réveillée.
Tu te redresses dans le lit pour constater que, comme la première fois, Ivar n'est plus là. Le mot que tu vois posé sur son coussin te rappelle de mauvais souvenirs et te fait grimacer. Oh non Ivar, tu ne vas pas me jeter dehors une nouvelle fois !
Tu saisis le bout de papier et pouffes en le déchiffrant. « Café. Croissants. Cuisine. I. »
Tu t'étires longuement avant de sortir du lit.
Tu t'immobilises à quelques pas de la cuisine quand tu aperçois Ivar et réprimes avec peine un gémissement. Il est terriblement beau. Douloureusement beau. Les cheveux détachés, il évolue librement dans la cuisine en prenant appui alternativement sur le plan de travail et sur l'îlot central. Il a enfilé un pantalon de survêt' mais est torse nu. C'est la toute première fois que tu as l'occasion d'admirer en pleine lumière la musculature du haut de son corps et ce que tu vois est juste... époustouflant... magnifique... et incroyablement... excitant.
« Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? » La voix d'Ivar t'arrache à ta contemplation.
« Toi. », tu réponds dans un sourire. Le regard incrédule qu'Ivar te lance ne te surprend pas. Tu as fini par comprendre qu'il n'a absolument pas conscience qu'il est séduisant. Pire que ça, il pense que ses jambes le rendent repoussant.
Alors tu insistes. « Oui, toi. Toi et ta musculature parfaite... », tu mordilles tes lèvres, « ...Ivar, tu n'as pas idée à quel point tu es beau. »
Tu ne lui laisses pas le temps de te répondre, t'approches de lui et te hisses sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur sa joue. Mais sa bouche trouve la tienne et vous vous embrassez tendrement, presque timidement. Tes mains se posent sur sa taille et quand ses bras se referment sur toi tu resserres instinctivement ta prise en les glissant dans son dos, soucieuse à l'idée qu'il puisse tomber.
