Ivar Lothbrok est un jeune homme bourru, désabusé, soupe au lait ; sa famille peut s'avérer encombrante.
La lectrice, qui le voit tous les samedis matins, se sent irrémédiablement attirée par cette homme à qui elle n'a jamais parlé. Un jour, saisiss...
Le couple : Modern Ivar x lectrice (Y/N = your name = ton nom)
Remarques : le dix-septième chapitre s'est un peu fait attendre. Il m'a donné du fil à retordre mais le voilà enfin. Au bout du compte, pour une fois je suis plutôt contente, et j'espère vraiment qu'il vous plaira.
Vous verrez que Hvitserk prend un petit plus de place. C'est le fils de Ragnar que je préfère après Ivar et j'avais envie de lui donner un rôle autre que de la figuration.
L'attelle d'immobilisation, c'est du vécu, je l'ai aussi eue pendant six semaines, sauf que moi c'était H24. Je peux vous dire que les nuits ne sont pas drôles.
Comme toujours, merci à vous tous, merci à Loki_Wolf19 également ! Et coucou à p8tn0lish ,ma copine de Tumblr, qui a trouvé un moyen de me lire ici.
Le gif, posté originellement sur Tumblr, appartient à sigyncreation.
Résumé : On retrouve la lectrice dans l'appartement d'Ivar, six semaines après la chute. Comment leur vie se passe-t-elle ? Où en est la convalescence d'Ivar ? Vous allez tout savoir.
Avertissements : quelques gros mots et... les doigts d'Ivar qui s'égarent carrément...
Mots : 3843
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Un baiser atterrit sur ta joue et tu tournes la tête, lèves les yeux et souris à Hvitserk.
Tu poses ton mug de thé devant toi. « Café ? »
Tu fais mine de te lever mais Hvitserk t'en empêche d'une main sur ton épaule. « Volontiers, mais reste assise, je peux le faire moi-même. »
Il se dirige vers la machine à café, ouvre un placard et y prend une tasse. « Et Ivar ? » Il te pose la question alors que la machine à café se met en route.
« Il dort. »
Hvitserk revient vers la table, un espresso fumant à la main, et s'assoit en face de toi. « Encore une mauvaise nuit ? »
« Oui. Enfin je suppose. » Tu hausses les épaules, grignotes avec gourmandise le toast que tu viens de garnir de confiture. « Ce n'est pas comme si ton petit frère me disait quand ça ne va pas. »
La vérité, c'est que l'attelle qu'il est obligé de porter lorsqu'il est couché complique passablement les nuits d'Ivar. Allant du sommet de sa cuisse jusqu'à sa cheville, rigide et imposante, elle a pour but d'éviter toute torsion ou rotation de son genou durant son sommeil. En soi, ça te paraît logique et même plutôt rassurant.
Mais elle est contraignante et l'empêche de bouger librement dans le lit. Tu l'entends souvent grogner en dormant. Plusieurs fois par nuit, il se réveille et change de position en jurant.