Le Prince et la quête de l'Hibiscus.

Epilogue

Attention Avertissement

Le chapitre que vous vous apprêtez à lire est une version non corrigée. Je vous ai fait attendre longtemps (correction tome 1 des légendes d'himéria en autre). Vous pouvez décidé d'attendre la version finale du chapitre ou lire avec indulgence (pitié). Ma béta a des partiels et donc pour le moment ne peut pas passer son temps à me corriger. Mais ça sera bientôt possible.

En tout cas bonne lecture. 

Deux mois avait passé depuis notre retour au château. Le chemin avait été sans encombre si on oubliait l'ours que Steven avait énervé, Fanny qui nous avait survolé agaçant nos montures et Elga, Efray qui avait voulu frapper un homme trop insistant à mon égard.

Les médecins avaient travaillés dure pour mettre le plus de remède au point et les botanistes royal avaient entrepris de planter les fleurs dans un environnement adapté dans le jardin royal.

La population c'était remise peu à peu de l'épidémie et la forêt, infestée, vidait des guêpes mourantes. Il était désormais temps de pleurer nos morts. Après un communiqué officiel de mon père, j'avais été en charge d'une cérémonie au niveau des premiers villages qui avait subi la maladie.

On était arrivé depuis dix minutes sur les lieux et on attendait patiemment que les gens aient le temps d'arriver. J'observais le village, près de la forêt, qu'on avait entièrement rasé après avoir enterré toutes les victimes.

Nous avions parler avec père de ce que l'on pourrait faire de l'endroit. Quelque chose d'utile et de respectueux envers les anciens villageois. Envoyant les experts examinaient l'endroit plusieurs projets avaient été envisagée avant que Marine, la botaniste en chef propose l'idée qui nous avait séduit.

Ma conseillère me fit signe qu'il était l'heure et je plissai ma robe sobre et noire pour retirer un peu de mon angoisse. On traversa la place sous le regard de mon peuple rassemblé et je montai l'estrade préparé pour l'occasion. Le silence se fut et je pris la parole:

— Nous avons vécu de sombres moments. Nous avons perdu des frères, des soeurs, des mères, des pères, des époux, des épouses, des amis. Cette maladie nous a pris beaucoups d'êtres chers. Et ce serait mentir que de dire que l'on pourrait faire quelque chose pour les remplacer. Cependant, laisser cet endroit devenir vide d'âme ne serait pas leur rendre justice.

La maladie les a emporté, mais désormais leurs esprits seront les gardiens de tous! Nous planterons ici un champs d'hibiscus des marais pour que plus personne n'est à craindre ce fléau!

Des applaudissements retentirent et je souris heureux que le projet plait. Je vis Efray arrivé et je me dirigeai vers lui. Lui faisant la révérence, je le saluai:

— Roi Efray.

— Prince Gabriel, me retourna-t-il.

Il m'invita à le suivre pour nous éloigner un peu de la foule.

— Votre discours était très bon, me complimenta-t-il.

— Je ne savais pas que vous aviez entendu, répondis-je en rougissant.

— Je ne l'aurais pas manqué. Votre père m'a donné l'accord pour vous montrer mon royaume.

Je le regardai surpris et heureux. Un trait de malice me traversa.

— Je pourrais enfin rencontrer votre fils.

— En effet.

— Et vous me demander ma main.

— Egalement... Euh... Je veux dire...

Il plaça sa main devant ses yeux.

— Cela devait être une surprise.

— Nul besoin de surprise pour que cela me fasse plaisir, le rassurai-je.

Nous avions attendu pour le deuil nationnal autant de son côté que du mien, apprenant à nous connaître. Mais il était temps de construire un nouvel avenir et je savais qui je voulais dedans.

Fin