Le Prince et la quête de l'Hibiscus.

Chapitre 10

Attention Avertissement

Le chapitre que vous vous apprêtez à lire est une version non corrigée. Je vous ai fait attendre longtemps (correction tome 1 des légendes d'himéria en autre). Vous pouvez décidé d'attendre la version finale du chapitre ou lire avec indulgence (pitié). Ma béta a des partiels et donc pour le moment ne peut pas passer son temps à me corriger. Mais ça sera bientôt possible.

En tout cas bonne lecture. 

On reprit la route, mais doucement, tenant compte du conseil de Fanny. Malgré mes recherches, je n'avais rien trouvé sur ce marais et pourtant son nom lugubre devait avoir une origine.

— Gabriel? m'appela Efray.

— Euh...oui? sursautai-je.

— Est-ce que ça va? Vous semblez préoccupé.

— Je réfléchissais sur le marais.

— Il vous inquiète?

— Pas vous?

Il me fixa un instant avant de secouer la tête.

— Je nous pense en mesure d'affronter toutes les épreuves désormais.

— Vous êtes bien optimiste. La prudence reste de mise, protestai-je.

— Vous avez raison.

On se sourit et je tournai la tête vers l'horizon où des arbres apparassaient au loin. Arrivés, on décida de laisser les chevaux dans la prairie et on prit nos affaire sur le dos. Je dus insister pour porter les miennes et partis devant pour ne plus entendre le roi ou Elga argumenter pour que je n'aide pas.

Le sentiment d'être observer me prit à l'instant où mes pieds franchirent la lisière. On avança et très vite l'ambiance devînt lugubre. La lumière se fit rare, les arbres avaient de longues racines qui sortaient de terre et le nombre d'insecte augmenta. Le sol était plus boulleux également.

— Faites attention, vous pourriez vous enfoncer, prévins ma tutrice.

— Altesse, avez-vous une idée de comment on va trouver les fleurs? demanda Arnaud.

— Gabriel? demanda ce dernier.

— Les pieds sont très grands et les fleurs larges. Elles poussent dans les endroits frais et riches en humus. Elles poussent abritées du vent avec un éclat de soleil, récitai-je.

— Bien, plus qu'à chercher partout alors, lança le guerrier.

— Séparons-nous en une ligne, gardez une distance raisonnable avec les autres. Si vous voyez quelque chose donnait l'alerte, ordonna Efray.

On hocha la tête et bien entendu, je me retrouvais entre le roi et ma tutrice. On se mit en marche d'un pas régulier à quelques mètres de distance. Chacun observait attentivement autour de lui pour essayer d'apercevoir les fleurs.

Les trois heures qui suivirent fuir vaine. Cependant, j'avais le plus en plus l'impression qu'on allait m'attaquer, qu'il y avait quelque chose derrière les arbres. Tout le groupe semblait nerveux, même Efray regardait de temps en temps autour de lui troublé.

Personne ne parla et on se remit à la tâche. Une légère brume commença à nous entourer, je n'y avais pas prêté attention, mais elle devenait de plus en plus épaisse à chaque instant qui passait. Je voyais de moins en moins mes partenaires.