Imagine❤ 2

Stiles Stilinski

Je m'appelle Laurie, j'ai 17 ans et je suis une simple lycéenne de Beacon Hills. Je ne comprends pas vraiment ce qu'il m'arrive en ce moment. Je rentrais simplement chez moi après une longue journée de cours quand j'ai vu au loin un homme se faire agresser par des gars sur des chevaux.  Alors que j'allais crier à l'aide, un fouet s'enroula autour de moi et je me sentis comme aspirée dans une autre dimension.

Je suis atterrie dans une sorte de gare avec beaucoup de personnes à l'intérieur. J'étais toujours au main d'un des cow-boys.
"- Relâchez-moi!! J'ai dis relâchez-moi bande de psychopathes!!!"

Mon corps rencontra douloureusement le sol. Je me relevais, tout en fixant l'homme qui m'avait attrapée. Il n'avait pas  d'yeux, il avait des trous à la place, d'un noir profond, comme si c'étaient des trous sans fin.
Je baisse les yeux sur sa bouche. Oh mon dieu. Sa bouche... elle n'existait pas vraiment. Sa peau la recouvrait, mais pas dans sa totalité. Comme des fils épais relié entre eux. 

Il me regarda de haut sur son cheval avant de repartir avec ses collègues. Je regardais l'homme au sol, celui que j'avais vu se faire attraper et vins vers lui.
"- Vous allez bien?, demandais-je.
- Oui... Où sommes-nous?
- Je n'en sais rien.
- Je pense qu'on devrait faire comme tous ces gens, s'assoir et attendre que quelqu'un nous vienne en aide."

Je le vois se relever et aller s'assoir. Moi je ne pouvais pas faire ça. Attendre n'est pas dans mon vocabulaire. J'entre dans le tunnel et marche, je marche et vois le bout. J'y cours et finalement je vois que je suis toujours dans la même gare. C'est quoi ce bordel?! Je recommence et essaye de ne pas péter les plombs en revenant au point de départ. J'essaye d'ouvrir une porte. Fermée. Une autre, fermée aussi. Toutes les portes sont fermées, dont une avec des chaînes. Je regarde le cadenas et essaye en vain de le casser.
"- BORDEL DE MERDE!!" criais-je. Je vis que aucune personne présente n'avait eu de réaction.

Je me mis contre le mur et me laissais glisser jusqu'à atteindre le sol.
Je regarde dans le vide en me demandant ce que j'ai bien pu faire pour en arriver là.
"- Salut."
Je lève ma tête et regarde mon interlocuteur. Il est jeune, il doit avoir mon âge certainement. Il est accompagné d'un homme âgé d'une trentaine d'années qui est un peu en retrait.
"- Salut... Qui es-tu?
- Je m'appelle Stiles. Stiles Stilinski.
- Stiles? C'est très original comme prénom...
- Il est vrai que mon vrai prénom n'est pas vraiment commun. Mais j'ai préféré qu'on m'appelle Stiles. Mais bon. Toi, qui es-tu?
- Je m'appelle Laurie. Tu sais ce qu'on fait là?
- Pas vraiment et on est tous un peu comme toi. Enfin avec toi on est trois à se poser des questions, les autres sont dans leur pensées et n'en sortent pas. Comme le monsieur à qui tu parlais tout à l'heure. Regarde-le, il ne bouge plus, comme tous les autres."

Je ne pu que constater que ce qu'il disait était vrai.
"- C'étaient qui ces gars en cheval?
- Des cavaliers fantômes. Ce sont des personnes dangereuse qui se déplacent grâce à la foudre. Il chevauche les éclairs et la foudre.
- Tu te fous de ma gueule là? Je crois que ce n'est pas le moment pour plaisanter., je le regarde blasée.
- Non et tu as raison, c'est pour ça que je ne plaisante pas. Je te dis la vérité. Tu as vu leur visage, leur façon de se comporter et de faire disparaître les gens. Alors pourquoi ne crois-tu pas ce que je viens de te raconter?
- Tu as raison... C'est juste que cette histoire est complétement dingue!
- Ouais, et tu n'es pas au bout de tes surprises. Peter tu peux venir s'il te plaît?"

L'homme qui l'accompagnait vint aux côté de Stiles.
"- Laurie, je te présente Peter, un loup-garou, Peter, Laurie, une humaine. Enfin je pense vu la tête qu'elle fait. Tout va bien Laurie, il ne va pas te bouffer, c'est un gentil toutou."

Le regard que ce Peter envoie à Stiles ne me rassure pas vraiment.
"- Bon, Peter, est-ce que tu peux retirer avec délicatesse ce cadenas s'il te plaît? Histoire que je puisse avancer dans mes recherches et ainsi montrer à Laurie où j'en suis? Merci."