Fin du diner

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Irma posa ses couverts sur son assiette vide. Après la soupe, Valentin avait dû prendre un peu de tout, il faut au moins goûter et finir son assiette. Il n'avait pas oser se plaindre quand des épinards était arrivé dans son assiette et qu'il avait vu avant Louise grimace mais ne rien dire. Il mangea enfin le dernier.

- bien, je vais faire des tartines pour Alex, fit Irma en se levant pour aller chercher ce qu'il lui faut

- Rosa, tu iras voir au bêtes à côté pendant que Valentin ira lui donner. Il restera avec toi cette après-midi.

- ok

Marc se leva avec Louise et débarrassérent la table en se chamaillant. Ils firent la vaisselle. Leur mère se mit à faire des tartines au chocolat et les plaça dans une boîte avec une élastique et une grande bouteille d'eau spa.

- tiens, tu iras lui apporter et lui dire de bien s'hydrater, il fait chaud. Moi je travaille cette après-midi.

- vous travaillez en plus de la ferme ?

- bien sur, c'est normal, sinon on arriverait pas à s'en sortir. Évidemment je ne fais pas un temps plein non plus.

Après le dîner, ils mangèrent un Léo avant de laisser Rosa et lui faire la vaisselle. Valentin ne le fit pas de bon cœur. Il semblait y avoir des taches réparties sur la semaine afin d'être équitable. Alors que Roger montait faire une sieste, Louise partit jouer dehors et Marc monta dans sa chambre. Irma quant à elle, parti travailler.

- mais on met pas les casseroles dans le lave-vaisselle, grogna Rosa en retirant un poile et une casserole, on t'a jamais dit que ça les abîmer en plus on fait toujours le soir uniquement pour être sur le bio-horaire, l'électricité coûte moins cher. Puis on est sept, t'imagine a quel vitesse ce lave-vaisselle va être plein

Ce fut ainsi que la jeune fille lui fit une leçon sur ce qui va ou non dans la machine avant de voir la catastrophe de comment il plaçait les assiettes. Il eu droit à un autre cours accéléré. Après avoir lancer un rinçage, ils nettoyèrent le reste à l'évier avant de tout ranger. Valentin n'avait pas l'habitude de faire ce genre de corvée, c'était toujours sa mère qui s'en occupait.

- bon, fit Rosalie en accrochant son essuie de vaisselle à la barre du four, prend le sac frigo et on y va

- on va où ?

- trouver mon jumeau et le faire manger

- et c'est loin ?

- ça va

- on y va à pied

- dans tes rêves je vais là bas à pied, on prend le quad

Valentin suivit la jeune fille hors de la maison et découvrir un petit véhicule à quatre roue vers foncer, elle l'enfourcha.

- dépêche toi de venir, on a d'autres chats à fouetté

Valentin s'installa derrière elle et serra fort sa taille quand elle partit. Il avait peur. Il avait jamais fait ne serait-ce que de la moto. Il trouvait ça dangereux. Déjà que faire du vélo en ville c'était pas une mince à faire malgré toutes les bandes cyclables qui s'y trouvait. Rosa les fit passer derrière la maison et longer l'étable sur un petit chemin recouvert de boue ou plutôt de crotte de vaches. La fameuse bouse. (Ce prononce bouze)

- tu pourrais me serrer moins fort ? Tu vas pas tomber s'est bon quoi

Il obéit mais se raviva vite en arrivant dans un champ. Il me traversèrent et pu assurer que c'était tout sauf plat en plus ça montait. Il prirent une route vraiment très vétuste, qu'avec des nids de poules, puis un en pierre où là aussi le passage était possible pour un seul voiture. Il parcoururent un peu de forêt. Il montèrent encore un peu puis en descendant, il en sortirent pour arriver sur quelque champs. La vie était magnifique, on voyait assez loin mais pas de trop non plus. Dans un des champs se trouvait un tracteur vert comme il avait déjà vu avant le dîner. La machine qu'il tirait semblait couper les hautes herbes jaunes.

Sans attendre Rosalie entra dans le champs.

- descend et va donner la bouffe à Alex pendant que je vais voir un peu plus loin si les bêtes ont besoin de rien

Valentin se força à obéir. S'il avait bien peur d'une chose c'était du tracteur. On pouvait pas dire que c'était pas impressionnant.

- il te fera rien

Sur ses mots, elle parti en le laissant au milieu de l'immense parcelle sans aucune délimitation. Il dû prendre son courage à deux main pour avancer vers la machine qui était au tiers de son travail. Sous ses pieds ce trouvait des tiges fine jaune, ce n'était pas de l'herbe ça lui fessait plutôt penser au céréales qu'il voyait dans les pub. Quand il fut assez proche, le tracteur s'arrêta quelques mètres de lui. Valentin préféra en rester éloigné, c'était encore plus impressionnant de près tellement il était gros. Le bruit du moteur fut stoppé et la silhouette qu'il distingua derrière la vitre bougea et ouvrit la porte.

Jeune homme sorti de l'habitacle et ce mit debout sur la marche la plus haute de l'échelle face à Valentin. Il ne pouvait rien dire sur le physique du jeune homme devant lui. Vêtu de grosses bottines et d'un short de travail unique, son torse nu lui permettait d'admirer ce corps finement musclé et élancée. Il avait de plus un beau bronzage. Lui il n'était probablement jamais rentré dans une salle de musculation, mais son physique avait dû être taillé par beaucoup de travail. Ses cheveux mi-long brun était retenu par un bandeau bougeait légèrement au gré du vent. Valentin était sous le charme. S'il avait su qu'il allait rencontrer un canon pareil.

Bleu de luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant