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Helloooo ! 😁😁😁 comment allez vous ???? Bientôt la fin des vacances .... j'espère que vous avez bien profité et que vous vous êtes bien reposés. Aller courage! Sur ce je vous laisse avec la suite ☺️😘😋 bonne lecture!

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Le regard de Gon se posa immédiatement sur son meilleur ami. Il avait l'air détruit.

PDV : Kirua.

Non. Impossible. Il refusait d'y croire. Elle ne pouvait pas avoir oublié. Elle ne pouvait pas avoir peur de lui. Non. C'était faux. Encore un subterfuge de son frère. C'était certains. Il ne laissa la place à aucune discussion et dépassa Illumi. Il s'engouffra dans ce souterrain dans une course désespérée. Il fut vite rattrapé par Gon qui avait pris une Aruka complètement à bout sur son dos. Il savait parfaitement où il allait. Ce long couloir donné accès à l'ancienne chambre où avait été enfermé sa petite sœur. Elle ne l'avait pas oublié. Elle ne l'avait pas oublié. Il se répétait cette phrase inlassablement dans l'espoir de s'en convaincre. Tout en courant il demanda simplement, d'une voix à la fois pleine d'espoir et chevrotante, pour ne pas perdre de temps.

-Nanika. S'il te plait. Ouvres les portes.

Il ne fallut pas plus de quelques secondes pour qu'il entende derrière lui, la voix de cette dernière, et les raclements de ces imposantes portes sur le sol. 

-Hai.

PDV : T/P

La jeune fille s'était calée contre le mur. Le plus loin possible de cet homme qui la terrifiait à présent. Il y avait comme une voix. Une voix qui lui répétait, en boucle et en boucle, l'obnubilant, la paralysant:

...Fuis. Fuis. Fuis. Fuis....

Elle se prit la tête entre les mains, s'arrachant presque les cheveux. Elle avait l'impression de devenir folle. Non. Elle en était sûre. Elle était en train de devenir folle.

....Fuis. Fuis....

Tais toi. J'ai mal à la tête.

...Fuis. Fuis. Fuis.....

TAIS TOI! Elle tira un peu plus sur ses cheveux comme si ça lui permettrait d'arracher cette voix de son cerveaux. C'était insupportable. Son coeur tambouriner douloureusement dans sa poitrine et elle peinait de plus en plus à contrôlait ses tremblement. Gon. Maman. Papa. Gon viens me chercher. Je t'en supplie. De temps en temps, l'homme lui lançait un bref coup d'oeil, la faisant s'écraser un peu plus contre le mur. Son pouls s'accélérait, sa respiration se coupait. C'était un Zoldyck. C'était un assassin. C'était effrayant. Soudain un bruit désagréable la fit sursauter, comme si quelque chose d'énorme raclait contre le sol. Elle se retourna vivement pour constater que c'était la porte. La porte s'ouvrait mais il n'y avait personne de l'autre coté. Elle lança un rapide coup d'œil vers son imposant geôlier. Il n'avait pas détourné les yeux de son écran. Elle était partagée entre l'envi de profiter de cette occasion pour essayer de fuir et la peur d'y rencontrer un autre Zoldyck. Après tout, si la porte s'ouvrait ce n'était probablement pas pour aéré la salle. Elle se décala doucement, sans le moindre bruit, tout en fixant le noiraud, pour s'assurer qu'il ne quitte pas son écran. C'était un parie risqué. Mais elle se sentait comme possédée. Elle était incapable de rester dans la même salle que cet homme. Pourtant, son affreux mal de tête et sa fatigue la pesaient de plus en plus. Dans son état, elle pourrait courir tout au plus une dizaine de minutes avant de s'effondrer. C'était très peu mais peut être assez pour au moins trouver une bonne cachette. Elle ne réfléchit pas plus longtemps, et se leva en un bond. Elle tituba et se rattrapa rapidement au mur. Hors de question de faiblir maintenant. Elle fit abstraction de ses vertiges et s'engouffra dans le tunnel. Elle entendit le noiraud se lever rapidement de sa chaise dans son dos. Son sang se glaça et cette peur lui permis d'accélérer encore. Elle s'était trompée. Elle ne tiendrait pas dix minutes. Chaque pas qu'elle faisait puisait un peu plus dans ses réserves. Elle n'en pouvait plus mais la peur qui lui nouait les tripes l'empêchait de s'arrêter. Sa vision se flouait déjà. Non. juste encore un peu. S'il te plait. Elle entendit des bruits de pas. Ils étaient plusieurs. Ils couraient dans sa direction. Elle discerna alors deux silhouettes, peut être trois.

Ouvres les yeux -Kirua X Reader-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant