Le Prince et La Voleuse

I.

- SALE VOYOU ATTENDS QUE JE T'ATTRAPE!

Et merde! Je me faufile dans la foule en essayant d'échapper à ce commerçant. Je rentra dans une maison et monta rapidement dans le toit. Je suvola quelques toits jusqu'à arriver à mon repère. 

Je déposa le sac qui contenait des pommes rouges sur une brique et m'assoupie sur mon matelas. Je repensé à mon coup: il était vachement réussi quand même!  Mais le commerçant a osé m'appeler "voyou". Il m'a blessée; j'suis une fille!

Avec ton look, on a du mal à savoir hein!  Toi la ferme! Je retira mon apparence de "voyou" et m'habilla.d'une longue robe orientale. Je lâcha ma chevelure; elle n'était pas longue, c'est trop dur à entretenir. Ils étaient mi-long et ça me suffisait amplement.

Un voile noir traînait à côté de mon matelas. Je le pris et recouvrit mes cheveux ainsi que ma poitrine.

Je farfouilla dans le marché en cherchant un commerçant qui méritait d'être volait. Je choisissai mes victimes en regardant leurs visages. J'avais ce "don" d'apercevoir en un coup d'œil la véritable nature des gens. Méchant ou Bon.

Tandis que je cherchais une victime, du boucan se fit entendre dans mes oreilles. Je tourna le regard vers l'endroit où provenait ses bruits: C'était les commerçants qui accueuillaient le Prince ou le Roi.

J'en sais trop rien parce niveau royale: je m'y concerne peu, même très peu..

Je n'y prêta pas plus attention et pris cette opportunité pour voler un colier que j'avais repérer quelques minutes auparavant. Je me précipita alors de partir avant de me faire remarquer. Mais par malheur je bouscula un personne laissant échapper le colier de mes mains.

-Excusez-moi.

Je ne releva pas la tête et chercha du regard le collier. Cette personne me toucha l'épaule sûrement pour avoir mon attention. Je releve la tête agacée de ne pas avoir retrouver le collier.

- Je suis encore désolé.

Quand j'aperçu la personne ma plus grande surprise a été de voir son habillement. Il était vêtu d'habits luxueux et semblait être aussi d'être coûteux. Une fois mes yeux arrivaient sur son visage. J'étais captivée par son regard, et par sa beauté aussi. Toi la ferme.

Malgré ça, je finis par formulée une phrase simple et courte.

- C'est rien.