Le balafré

Chap 4 : viol ⚠️

[ ATTENTION CE CHAPITRE COMPORTE DU CONTENU LEMON/YAOI/GORE/ VIOL ]

- j-je vais bien ! Laisse moi partir Del ! Laisse moi parti- HMF !!??!??

Le pauvre petit brun n'eut pas le temps de finir son mot que le possédé lui avait arraché son masque, pour coller ses lèvres aux siennes. Sa langue se glissa contre la sienne, puis au fond de sa gorge, l'étouffant dans un bruit de régurgitation répugnant. Rouge, les larmes aux yeux, il poussa sur ses jambes pour repousser le monstre, mais il était bien plus grand et plus fort. Il tourna la tête dans tout les sens, tapant comme un fou tout ce qu'il pouvait, mordant sa langue en dernier recours. Le Monstre se retira dans un rugissement de douleur, arracha une chaîne du mur pour la plaquer dans la bouche du brun, créant un bâillon de métal qui lui lacérait les coins des lèvres. La langue mordue du monstre s'agita un instant, avant de soigner en une petite dizaine de secondes. En enlevant le masque, Del avait dévoilé un magnifique regard vert, désormais noyé de larmes et de terreur.

- Ɇnfɨn ɉɇ vøɨs łȺ ȼøᵾłɇᵾɍ đɇ ȼɇs ɏɇᵾx 𝚚ᵾɨ mɇ fɨxɇnŧ đɇᵽᵾɨs đɇs ɉøᵾɍs~ susurra le possédé

Dans un grand sourire affreux, glissant contre le corps frêle du docteur. Azazel commençait à paniquer, terrorisé, et se débattait de toute ses petites forces.

- Il va pas me violer hein !? Nous sommes des hommes ! Il ne peut pas ! Pensa t il

Avec innocence, couinant de douleur de part la pression énorme sur sa cage thoracique. C'est quand il sentit quelque chose d'immense et dur frotter contre ses fesses rondinettes qu'il se figea, laissant couler une mer de larme sur ses joues. Del eut un ricanement immonde, et leva le haut de Azazel pour passer goulûment sa langue dégoulinante de salive sur son petit torse plat. Le cerveau reptilien d'Azazel avait prit le dessus, lui coupant tout mouvement, ne pensant plus qu'à survivre coûte que coûte.

- Ᵽɇŧɨŧ ȼøɍᵽs fɍȺǥɨłɇ Ⱥᵾx ȼøᵾɍƀɇs đɇ́łɨȼȺŧɇs~ ɉɇ vȺɨs ŧɇ ƀɍɨsɇɍ ȺƶȺƶɇł~ ȺᵾŧȺnŧ ᵽħɏsɨ𝚚ᵾɇmɇnŧ 𝚚ᵾɇ møɍȺłɇmɇnŧ~ ɉɇ vɇᵾx 𝚚ᵾɇ ŧᵾ Ⱥɨ mȺł~ susurra le Monstre

a son oreille avant de passer longuement sa langue dessus, faisant grimacer le brun de dégoût. Il pleura en silence, immobile, la respiration faible. Del ouvrit son pantalon laissant entrevoir son sexe qu'il frotta brusquement à la cuisse d'Azazel, qui frissonna de dégoût.

- Non... pitié... ne faites pas ça... je vous en pris... pensa le

Petit brun, fermant ses yeux, secoué de sanglots silencieux. Il eut un pleur de panique en sentant son pantalon ainsi que son boxer glisser le long de ses jambes dans un bruit de tissu qui résonnait dans sa tête. Il se débattit et poussa un hurlement de douleur en sentant l'énorme membre du possédé entrer brutalement en lui, le perforant de l'intérieur, s'enfonçant directement dans sa prostate, et bien au delà, dans ses organes. La douleur était immense, jamais Azazel n'avait tant souffert, et jamais il n'avait tant voulu mourir. Les gémissements rauques du Monstre lui donnaient envi de vomir, pleurant à chaude larmes en criant de douleur sous les coups de reins brutaux de son violeur. Il bougea tant qu'il réussit à enlever le bâillon de chaîne, la bouche sanguinolente.

- STOP ! HAAAA ! PITIÉ STOP ! Pleura t il

En essayant toujours se libérer de ce gigantesque homme sur lui, qui appuyait d'une main sur sa poitrine, de l'autre lui tenait les poignets au dessus de sa tête. Azazel se mit à hurler de douleur en sentant ses coups de bassin devenir infiniment violents, menaçant de casser ses hanches à chaque instant.

Cela sembla être une éternité à Azazel, qui commençait à s'évanouir. Mais le Monstre donna soudain un si grand coup, que dans toute la pièce, jusque dans la tête du brun, un énorme « CHLANK » résonna, suivit d'un hurlement déchirant du petit docteur, qui venait de se faire décaniller les hanches, les sentant se tordre et se bloquer. Un liquide chaud en très grande quantité se déversant dans son intimité, se mélangeant au sang déjà présent, lui fit comprendre que le Monstre venait d'ejaculer, et il pensa que c'était enfin finis.

Mais loin de la. Del, dominé dans son propre corps, inconscient du moindre geste qu'il faisait, viola celui qui lui avait sauvé la vie durant bien des heures, sans que personne ne vienne ouvrir la porte pour sauver le médecin. On raconte que cette nuit la, pas un seul rire, pas un seul mot, ne résonnait dans l'hôpital. Seulement les hurlements de souffrance et de détresse du petit brun.