Chapitre 7 : Jours J

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20 H, les SMS partent vers leurs destinataires. Je me connecte aux cameras de surveillance avec mon ordinateur. Je suis en communication crypter avec Louis, il attend dans une des pièces de l'entrepôt. Il attend l'heure fatidique.

Mes lieutenants marchent, surveillent le bâtiment, il y a en tous 40. Toutes des femmes, très bien formés dans tous les sens du terme. Je ne l'ai pas choisie au hasard. Je mets en confiance mes hôtes, et quoi de mieux que des jolies filles.

Je sais qu'ils vont être plus en confiance car on sous-estime les femmes en permanence , elle paraissent plus « inoffensives ». J'utilise les dérives de la société à mon avantage.

Je stresse énormément. Je me persuade, qu'ils ne peuvent pas faire un pugilat car ils ont tous perdu des hommes le mois derniers pendant la traversé jusqu'en Amérique du sud. J'y suis pour quelque chose.

Il fallait les affaiblir pour qu'ils puissent m'écouter, qu'ils se fournissent chez moi. Tu me connais, je suis loin d'être un enfant de cœur.

21 H 45, 2 voitures sont déjà arrivées, je reconnais la voiture du père de Jenna, fidèle à lui même toujours ponctuelle. Il est venu avec des renforts. Il arrive par la porte Nord, 10 jeunes filles l'accompagnent. Elles l'emmènent seul, il ne résiste pas, bien au contraire, il souris de toute ces dents. Il pense, que c'est une soirée organiser par ces proches.

Les filles prennent la direction d'un sous-sol, plus précisément dans une pièce assez bien éclairer où il se trouve quatre fauteuils très confortable rouge en face d'une table en bois avec de la Marie-Jeanne, de l'alcool et différents plats. Un écran géant est installé en face de lui comme au cinéma.

Une jeune femme lui demande de poser son arme sur la table, ce qu'il fit sans posée aucune résistance, ni question.

22 H, les 3 autres bosses arrivent sans se croiser avant d'être dans la salle, le même scénario que pour le père de Jenna. Ils rentrent chacun leurs tour sans même se douter du pièges qui se referme sur eux.

Ils s'en aperçoivent que lorsqu'ils rentrent mais c'est trop tard. Je vois dans leurs yeux que je les ai eux.

J'envoie un SMS à Louis pour lui dire d'envoyer le grand écran. Il le lance, mes futures collaborateurs voient uniquement des photos de café, de jardin botanique.

Je commence à parler :

Bonsoir,messieurs,

Je vous remercie d'avoir répondu favorablement à mon invitation. Il y a quelques réjouissance sur la table à disposition devant vous.

Vous êtes venu ici, donc c'est que vous avez encore un minimum confiance en Curtis même après 11 ans d'absence. Malheureusement il est mort comme vous le savait tous.

Tout d'abord merci de ne pas tuer la personne qui se trouve devant vous, ça risque de légèrement gâcher notre future collaboration.

Si vous accepter mon contrat, c'est la seule et unique fois où vous me verrez. Je sais que c'est dure d'avoir confiance dans notre métier mais il le faudra bien, car vous voulez faire de l'argent, moi aussi.

Je ne vais pas tourner autour du pot, cela fait maintenant quelques mois que j'observe votre manière de faire. J'ai des yeux par tous, je suis omniprésent. Lors de mes enquêtes, j'ai pu remarquer que vous avez perdu beaucoup de vos hommes.

Cela découle de nombreux facteurs le 1 er les guerres de territoire, le deuxième la police et le troisième mais pas des moindres les transports entre l'Amérique du Sud et New York, sachant qu'à chaque transfert vous perdez aussi un quart de votre production.

SPICY HOUSE (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant