SPICY HOUSE (En Cours)

Chapitre 8 : Andrew

Il est bientôt 13 H, je suis prête à partir. J'ai eu le temps de finir mes devoirs avec Jenna, elle m'a aidée à corriger mes fautes d'inattention en anglais et moi en maths.

Elle m'a donnée des nouvelles de Jay. Je sais que cela peut surprendre, mais depuis notre naissance, on n'a jamais arrêté de se parler même quand on était à l'autre bout de la planète.

J'aurais réagis de la même façon, si j'étais privée de Jen's. Je me dis plus que 28 jours, ça va passer vite.

Je pourrais me changer les idées en détestant ma mère pour m'avoir imposée les cours de danses, de sur crois de la valse. Qui danse encore cette danse ?

Je traîne des pieds pour aller jusqu'à la voiture, cette sourcière me regarde avec un air satisfaits. Elle m'a fait plier, je la détestes, je veux la voir brûler sous mes yeux.

Je prie pour qu'il y ai des bouchons et qu'on arrives en retard même de quelques minutes, aux moins c'est déjà ça. Je suis nul en danse, toi mieux que personne ne le sais. Le proverbe qui dit que les noirs ont le rythme dans le sang, ne s'applique clairement pas à moi. Je vais juste me ridiculiser.

Dieu a écouté mes prières, les bouchons sont monumentale. Merci NewYork.

Malheureusement, j'arrive juste avec 15 minutes de retard, merde.

- Je suis désolée pour mon retard, mais je ne voulais pas venir à la base, c'est ma mère qui a pris ces rendez-vous, pour ce bal des débutantes.

- Bonjour premièrement, je te remercie pour ta franchise tout comme toi, j'aurais préféré être ailleurs pendant mon temps libre moi aussi, mais j'ai besoin d'argent.

Je le regarde de haut en bas, il est plutôt mignon, il me fait penser à Moose dans Sexy Dance avec des yeux verts.

Il est habillé de manière très décontracté, un style banal de jeune homme new-yorkais de 16-20 ans. Il a un large sourire sur son visage et ses dents sont tellement blanches qu'elles m'éboulent la rétine ; tu peux me dire pour les américains ont les dents plus blanche que blanche ?

En bref, je ne peux m'empêcher de lever, mais yeux aux ciels quand il me regarde. Il m'insupporte déjà alors que je viens tous juste de le rencontrer, suis-je à se point asociale ?

Il finit par couper ce silence qui venait de s'installer :

- On peut commencer ?

- Ai-je le choix ?

-Tu peux partir, mais tu devras me payer double, pour cette perte de temps et sans oublier que tu as raté les deux premièrement scéance.

- De quoi te pleins tu ? Tu as l'occasion d'être payé à rien faire, tu as eu la vie d'un actionnaire sois heureux...

Il sourit, mais sincèrement cette fois, ces yeux verts pétilles ce qui le rend totalement craquant.

Mais ce n'est vraiment pas mon style, il a l'air beaucoup trop arrogant, mais sur tout d'une insolence folle, tu ne peux pas imaginer. Il poursuit :

- Quand je donne des cours cela me permet de m'entraîner et la je t'ai attendu 4 heures en tout en 2 jours ; donc j'exige d'être payé double pour la perte de temps et comme dédommagement.

- Tu rigoles là ?

- Non, pas du tout, je suis extrêmement sérieux.

- Ma mère vient tout juste de me prévenir de ces séances de danses.

Je me souviens que c'est ma mère qui paye, et je lui accorde son souhait, il est perplexe, son visage le trahit.

- C'est mère qui paye donc si tu veux.