Des que la fin de l'épreuve fût annoncer, un homme de petite taille avec des lunettes, nous emmène 1 par 1 à la sortie de la tour. Je regarde autour de moi, et constate que nous sommes bien 24. A peine sortie de la tour que le juge commence déjà a nous informer des 2 dernière épreuves restantes avant l'obtention de cette foutue licence. Il nous dit alors que la 4° épreuve se déroulera sur l'île derrière lui, aussi appeler " l'île de Zebiro " Un homme ressemblant très pour très a une asperge arrive en poussant un chariot avec sur le dessus une boite qui s'aparante a une urne.On doit alors procéder a un tirage au sort afin de connaitre notre "gibier ". Avant même que le tirage commence, je vois Angie cacher son numéro dans la poche de sa sacoche.
-Cache ton numéro. Comme le juge l'a dit, ce tirage est pour savoir qui sera le "gibier" ou la proie de celui qui aura tirer ton numéro. alors autant le cacher maintenant et a enregistrer le numéro des autres participant qui n'ont pas encore compris cette formalité.
Je fais alors ce qu'elle me dit, et le cache dans la poche de mon vêtement. Je remarque alors que personne n'a vraiment compris ce que le juge sous-entendait, ce qui m'arrange bien. Je regarde alors le plus les 24 numéro et leurs attribut un visage dans le but de facilité ma recherche.
Le premier candidat a tirer une carte est le clown. Je le vois regarder dans notre direction tout le long. Enfin, plus précisément dans la mienne. Je soutient son regard et essaie de le déstabiliser par la même occasion, mais ce con ne semble pas comprendre mon intention. Ou alors, si justement il l'a comprends et ce sourire de 3 Km de long est la pour se moquer de moi. Dans tout les cas je ne m'y attarde pas trop longtemps, car c'est le tour d'Angélique de piocher une carte. Peut de temps après tout le monde, y compris moi avions piocher une carte. Tout le monde, sous les "ordres" du juge, enlève l'autocollant qui recouvre le numéro de la carte. Je me retrouve avec comme numéro, le 118. Super. Il manquait plus que ça.. Suite a cette révélation, tout le monde se mit a cacher son numéro.
Tout les coups son permis, je sent que ça va être marrant.
-Le badge de votre cible vous rapporteras 3 points. Votre badge a vous est doté de 3 points également. Ce qui vous rapporteras un totale de 6 points. Pour quitter l'île et réussir cette épreuves, vous devez avoir sur vous, 6 points. D'autre part, les badges des autres candidats eux, ne valent seulement qu'un seul points. Nous explique alors le juge au cheveux violet.
Dès arriver sur le bateaux qui nous fera accoster sur l'île, une fille nous félicite de notre arriver jusqu'ici. Malheureusement pour elle, personne ne l'écouter. Ni moi, ni ma sœur, ni les autres candidats. C'est assez marrant de la voir désespérer. Je regarde alors ma sœur qui a l'aire pensive.
-Tu pense a quoi ? C'est le numéro de ta cible qui te préoccupe a ce point ?
Elle ne me répond pas, mais a la place, me donne sa carte avec le numéro de son gibier. Le numéro 301. Je comprends alors ce qui la préoccupe. L'homme qui porte ce numéro est assez spécial, et fait limite froids dans le dos. On ne parle plus alors, jusqu'à arriver a l'île trop perdu dans nos penser.
On sort alors ensuite chacun son tour en commençant par celui qui a fait le moins de temps dans la tour, avec 2 minutes d'intervalles a chaque passages.
On y restera 1 semaine entière. Pas très compliquer.
-Je t'attend, 5 mètres au nord du bateau.
Je partis alors retrouver ma sœur une fois mon tour arriver. Dès que je la rejoins, on commença alors a marcher afin de retrouver sa cible, puisque la mienne n'est pas encore sortie. On se déplace de branche en branche, afin de ne pas être des cibles faciles. Je remarque alors que son oiseaux n'est plus sur son épaules.
-Ou est Ratbat ?
-Il est partie faire du repérage pour moi.
-Tu a trouver ta cible ? Soudain sa montre se mit a sonner.
-Oui, je viens de la trouver. J'y vais. Tu viens, ou tu vas retrouver ta cible ?
-Je pense que je vais aussi allez faire du repérage. Je lui répond avec un sourire aussi mauvais que le sien. On se retrouve au départ de l'île.
-Ok !
Je marche alors un peut plus au nord, suivant le GPS sur ma montre, me montrant grace a la vision de mon oiseau, ou se trouve ma cibe.
Je m'arrête a quelques pas de Gittarackur. (Illumi pour ceux qui ne s'en rappelle plus.) Je le voit marcher vers une destination inconnus, alors au lieu d'attaquer comme une imbécile, je décide de le suivre. Je vois un peut plus loin le numéro 44 qui délaisse un candidats. Le numéro 301 lui lancer une bonne dizaine d'aiguille sur le visage avant que ça cible ne meure. Heureusement que je me suis mis directement en Zetsu quand j'ai posé un pieds sur l'île. Je ne fait aucun bruit et continue d'attendre mon signale. C'est d'ailleurs ce moment la que RatBat décide se s'envoler sous les yeux de tous avant que je décide de créer un trou noir au signal de Ratbat, et de m'engouffrer dedans avant de faire une sortie juste devant le Badge du 301. Je réussit a le lui prendre et en même pas 3 seconde, rigole comme une folle en réapparaissant a ma cachette et de m'élancer a toute blinde, évitant par la même occasion de me faire tuer. C'était d'ailleurs moins une, puisque ma cible, vue le trou béant qu'elle s'apprêtait a faire, aurait voulut s'y cacher jusqu'à la fin de l'épreuve. L'autre me poursuit, voulant surement récupérer son badge. Je rigole avant de lui adresser la parole, voulant un peut envinimer les choses et le faire s'énerver encore plus.
-Alors tu vient m'arracher ce badge et jouer avec moi au chat et a la souris, au lieu de courir comme une vielle en déambulateur ? Il ne me répond toujours pas, mais sa volonté de me tuer retranscrite dans son aura ne cesse de grimper. Je rigole avant de montrer moi aussi mon envie de meurtre, mais elle est combinée à mon envie de jouer avec lui.
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L'assassin et le clown
ParanormalLa famille Park est une famille d'assassins. Mais les 2 jumelles se retrouvent obliger de passer l'examen Hunter qu'elles détestent tant. Au cour et a la fin de cette licence, elles vont croisé des personnes qui marqueront leurs vie a jamais. L'une...