Maxime [BxB]

Chapitre 9 - "Je meurs Maxime"

Je me réveilla doucement et fût étonné de me retrouver dans le lit d'Alex avant de me rappeler ce quil cetait passé le matin même. Il pleurait, on s'est enlacés, et on s'est endormi.

Je me retourna pour le retrouver mais fut surpris du vide qu'il avait laissé à mes côtés. Je me leva d'un bond. Je courrais dans la chambre, dans la salle de bain. J'avais peur qu'il ai fait une connerie.

Quand j'arrivais dans la cuisine il était là. Il préparait le déjeuner de midi.

-Pourquoi tu courrais comme sa ?! S'etonna-t-il en souriant.

J'étais content qu'il ait sourit, mais j'étais aussi inquiet qu'il ne le fasse seulement pour me faire plaisir.

-Je te cherchais... Ça va mieux ?

-Hum. Ça peut aller. Merci d'être rester.

Il perdit son sourire le temps d'une seconde.

-Beh c'est normal ! Lui répondis-je.

Je m'approchais du comptoir présent dans la cuisine et je l'aidai à faire des pâtes.

On mangea en silence. Normalement on avait prévu d'aller au cinéma dans la matinée, mais comme on avait dormis un peu trop, notre séance était déjà passée depuis longtemps...

On décida d'aller se balader à pieds, histoire de se changer les idées. On passa devant le parc près du lycée, je proposa à Alex de s'y arrêter. Je m'assis sur mon banc et sortit mon petit cahier. Je commençais à écrire. Tout y passais. La forme des nuages, les arbres dépourvus de feuilles, les petit jumeaux au loin qui coursaient un chat...

J'allais décrire Alexandre quand je remarquais que celui-ci me fixait.

-J'ai un truc au visage ? Demandai-je en rigolant.

-Nan nan, sourit-il. Mais tu m'a jamais dis ce que t'écrivais là dedans... tu me fera lire un jour ?

-Beh tu sais, répondis-je, c'est rien d'extraordinaire. J'aime bien décrire ce qui m'entoure...

-Hum hum...

Il detourna le regard et sourit en coin en voyant les gamin qui courraient. Je commençais à la décrire sur mon petit carnet. Puis, une larme coula...

Mais pas la mienne. Elle s'échappait de l'oeil gris d'Alex. Ces yeux si magnifique d'habitude, commençaient à ce noyer.

Je pris son menton entre mes doigts et le força à me regarder. Il sourit en coin avant de venir blottir sa tête dans mon coup.

-Je meurs Maxime.

Il pleurait dans mon écharpe, calmement.