A vos côtés

Bonus 1 (lemon)

MERCI A VOUS ! L'histoire a dépassé les 100 vues et j'en suis vraiment heureuse. Pour vous remercier, je poste le bonus dont je vous ai parlé. J'espère qu'il vous plaira, même s'il est court.
ATTENTION PRESENCE DE LEMON

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J'avais un mauvais pressentiment. Quelque chose n'allait pas et je le sentais. J'étais avec les enfants et je voyais qu'eux aussi étaient mal à l'aise, que quelque chose les chiffonnait. Ce sentiment étrange n'était donc pas mon imagination. En tournant la tête pour voir ma sœur, je vis dans ses yeux le même éclat que le mien.

Je regardais donc l'horizon et utilisais mes autres yeux, ceux qui pouvaient voir plus loin que mes yeux humains. Ce que je vis, au loin, ne me plut pas du tout. Je reconnaissais ce navire de la Marine. Il était semblerait-il comme les autres à une exception. La une voile en plus était dressée. Une voile avec des chaînes, les apprentis de Mitsune quand elle était plus jeune. Je savais que sa technique de capture allait nous poser des problèmes un jour et j'avais bien tout fait pour l'empêcher d'apprendre celle-ci d'autre quand nous étions jeunes, mais rien n'avait marché.

Il fallait que l'on se mette à l'abri, du moins les enfants et les utilisateurs de fruit du démon. D'un simple regard Kristen et Joshua comprirent qu'ils devaient aller dans leur cabine et s'y enfermer. Quant à moi, j'allais m'occuper du cas qui allait prendre le plus de temps. Je savais que Mitsune allait s'occuper de les prévenir, je pouvais donc m'occuper de mon allumette, qui regardais l'eau onduler devant lui. Je me dépêchais de rejoindre Ace et l'enlaçait dans le dos.

- Dis-moi Ace, tu ne t'ennuierais pas un peu ? Lui chuchotais-je sensuellement dans l'oreille le faisant doucement frissonner.

- Serait-ce une invitation à quelque chose de pas du tout très raisonnable ? Me demanda-t-il malicieusement. Si c'est oui alors pourquoi demandes-tu ? Tu connais déjà ma réponse après tout.

Il était toujours partant pour prendre du plaisir celui-là. Je ne lui laissais pas le temps d'en rajouter que je pris sa main droite et le tirais à ma suite. J'allais le fatiguer et user de tout ce que je pouvais pour le rendre HS avant que le navire ennemi n'arrive et que l'information remonte jusqu'à ses oreilles. J'avais aussi une bonne idée de comment m'y prendre.

Une fois dans la cabine, je le plaquais contre la porte et l'embrassais. J'adorais les maltraiter. Elles étaient douces et si... sensuelles. J'avais l'impression que jamais je ne pourrais me détacher d'elles et de lui. Ace me rendait fou et dépendant de lui. Je passais mes mains sur ses épaules, puis les descendaient tout comme ma bouche. Je lui léchais un de ses tétons et le pris en bouche pendant qu'une de mes mains allait torturer l'autre. Sa respiration devint saccadée. Je l'excitais et j'en étais vraiment fier.

Je le torturais encore un peu, juste pour le frustrer, cela m'amusait grandement. Je sentais l'impatience monter en lui. Je sentais ses mains passer sous ma chemise, il voulait me déshabiller et je n'étais pas contre. Je remontais et commençais à lui mordiller le cou pendant que mes mains descendaient vers son short, plus précisément sa boucle de ceinture. Je la débouclais et sans grande surprise son short tomba de quelques centimètres. Ce qu'il pouvait être sex. Il avait les joues rosées et la bouche grande ouverte. Je lui fis de nombreux suçons sur tout le torse et le cou. Étonnement, ma chemise vola dans la pièce, ou plutôt les morceaux volèrent dans la pièce.

- Ce que tu peux être impatient Ace, me moquais-je doucement.

- Tu es trop lent, tu me rends fou à prendre autant de temps !

Effectivement, je prenais trop de temps et le temps m'étais compté. Il fallait que je l'épuise vite. Je lui arrachais alors son short et son caleçon pendant que lui enlevait ses chaussures à la hâte. Il était là, devant moi complètement nu. Je l'embrassais une nouvelle fois et le pris en main sous un long gémissement de sa part. Il fallait que je l'épuise mais je sentais que cela allait être difficile. Je le sentais me toucher et me caresser me faisant grogner de plaisir.