Scandale pour un cheikh [ tentation russe/Tome 3]

chapitre 31💎

- vous êtes sérieux ? Est-ce là toute les informations qu'on a sur Rosi ?

Le cheikh renferma le dossier avec violence. Après une lecture en survol,il était certain que le dectevtive chargé de l'affaire lui mentait. Que Rosi soit une sainte ?  Il se doutait bien que cette mégère avait prit contact avec son détective pour lui soumettre de faux dossier. Comment ?  Il n'en savait rien. La preuve en était grande, le détective suait abondamment et avait du mal a parler correctement. Cette mégère était parvenu a corrompre un homme aussi droit que Riaz. Le petit homme devint tout pâle et perlait de grosse goûte de sueur qu'il essuya difficilement. Le regard menaçant du cheikh s'agrandit jusqu'a lui serré la gorge durement. Ce dernier n'eut autre choix que dire la vérité. Hassan le regardant d'un oeil mauvais et sa presence imposait a l'homme le plus grand des supplices.

-Elle m'a menacé. J'ai pas eu autre choix, dit l'homme les lèvres tremblantes. Ce dernier déglutit incessamment.

Le cheikh se leva de son siège et tapota l'épaule de Riaz d'une façon purement amical.  Le dénommé Riaz sentit un  poids lourd s'élever sur ses épaules qui s'affaisait au rythme que les battement sauvage de son pauvre coeur. Il ne voulait trahir son cheikh bien aimé mais cette femme ne lui avait pas laissé le temps de réfléchir avec ses nombreuses menaces
Les traits menaçant du cheikh disparut faisait place a la compréhension. Il itima a l'homme de s'assoir et lui servit quelque chose de fort. L'homme au crâne rasé, retira ses lunettes pour s'essuyer le visage en sueur. Il détacha quelque bouton de sa veste pour se donner contenance et but son verre cul sec. Il remercia le cheikh qui lui servit un autre. A ce rythme là,il allait devenir saoule

-Que s'est-il passé ?

Flash back🍁

Riaz sortait d'une maison close. A Dhakar il y en avait pas beaucoup. Le peu qu'il y en avait été décimé par la famille royale. Pour un pays aussi concervatrice qu'est le Dhakar sortir et rentrer dans une maison close était de l'aberration et du blasphème pour les pieux conservateur de la religion musulmane. Et pour lui grand musulman ce serait la prison sans autre mesure. La maison close était donc caché a l'abri de tout regard et se trouvait a l'intérieur d'une petite boutique de vêtement gardé par un certain Abir, un vendeur de tissu qui exerçait toute sorte de métier illégale et frauduleuse.  Pour y avoir accès , il faudrait devenir membre du club
et signé plusieurs papier incitant a la confidentialité de le lieu qui demeure presque inexistant. Pour y rentrer, c'était pas aussi simple. On prenait des réservations a l'avance pour chaque show. L'endroit était sublime avec des dizaines de femmes prêtes a tout pour faire bonheur. La maison close était composée de plusieurs chambres ,d'une piste de danse et d'un bar. Les membres s'asseyaient sur des tapis de bonne qualité et s'emerveillaient des femmes d'une grande beauté qui dansait. Voile, jupe longue, bijou accompagnait l'ensemble. Ce qui faisait le bonheur des hommes qui applaudisaient ,criaient et même danser pour finir dans le lit de ses somptueuses créatures. Riaz comme a son habitude sortait de la maison close quand deux homme l'avait attrapé..ils étaient tous vêtu de noir et malheureusement, il n'avait pas vu leur visage car il était drapé de foulard noir et des sables plantés a côté de leur hanche. Ces derniers l'avait envoyé sans ménage dans dans un jeep rouge pour l'enmener a une femme blanche de peau.

A première vu, elle était étrangère a leur coutume et moeur se qui le rendit suspicieux. La femme le fit assoir et demanda a l'un de ses hommes de détachés ses liens. Ce qu'il fit.  Soulagé d'être enfin libre de tout mouvement, Riaz frotta l'endroit exacte ou les cordes avaient été soldés et remarqua des traces
L'homme réajusta ses lunettes et fit face a la femme blanche

-Que se passe t-il ?  Pourquoi m'avez vous enlevé ?

La femme fit signe a un homme qui lui donna quelque photos qu'elle installa tour a tour sur la table. Hébété, Riaz regarda une a une ses photos et se figea.
Cette femme l'avait photographié a la sorti de la maison close,lors de ses frasques avec les femmes. Elle avait tout et pouvait en un claquement de doigts nuir a sa réputation si il en avait une

-Que voulez vous ?

-prenez ces dossiers donner les au cheikh quand il aura besoin de vos services de détectives. Et moi je garderais votre secret

Flash back🍁

Le cheihk se leva brutalement de son siège. Il en avait assez des agissements de cette bonne femme. Pour qui se prenait t-elle pour oser menacer ces concitoyens ?

-Je suis désolé votre majesté,dit Riaz.

-Sortez d'ici, le congédia le cheikh d'une voix qui fit tremblé le petit homme.

Il couru aussi vite que ses jambes lui permettent. Le cheikh sortit de son bureau et appela les frères kouranguine. Ces derniers le suivit sans dire mot et atterrit dans son bureau. Ils se regarderent a tour de rôle en élevant les épaules..

-Je veux que vous partez toute suite en Russie avec votre mère où je la mets en prison, dit-il en tentant un dossier que Pavel attrapa au passage

Pavel feuilleta le dossier en soupirant. Pourquoi l'avait-il laissé a Dhakar pour ces trois jours de plus ?  Il avait cru en son changement. Il avait cru que ses années en prison lui aurait fait réfléchir avant d'agir aussi impulsivement. Mais non, elle avait l'étoffe même de se mettre dans des situations surréalisme. Il tendit le dossier a son frère après l'avoir lu

-Je vous avoue que je ne porte guère votre mère sur le coeur. Elle est malsaine donc j'ai appelé mon détective personnel pour enquêter sur elle, cette femme a osé menacer mon détective et lui soumettre de faux dossier. Je ne tolère pas qu'on prendre le large avec moi,sur mes terres. Ces actions sont impardonnables. Je l'ai pas arrêté parce que nous sommes de la même famille et je respecte la famille. Si vous ne partez pas toute suite avec elle, je serai obligé de la mettre en prison. Vous avez le choix soit vous partez avec votre mère, soit je m'assure que plus jamais elle ne voit la lumière vive du soleil.

Les deux frères se devirent rouge sous la menace du cheikh qui n'avait pas l'air de plaisanter bien au contraire.

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