chapitre23💎

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Alexendra écarquilla les yeux de surprise.  Ce simple mot pourtant banale chamboula tout son être. Un chaos insurmontable siegait en elle.  Timidement, elle leva les yeux et rencontra ceux de l'homme qui l'avait dit je t'aime. Ce qu'elle lu la laissant coi, son regard témoignait de la sincérité et le désir qu'il avait pour elle. Alexendra ne savait quoi répliquer, elle était comme statué, le regardant avec avidité. Le temps s'arrêta en une fraction de seconde et les deux couples se devorèrent du regard avec intensité. L'air changea en électrique quand Hassan captura les lèvres de sa femme avec douleur et fougue. Alexendra répondit a son baiser d'un long gémissement. Leur langues se melerent , les dents s'etrechoquerent, leur souffle s'abattit l'un sur leur. Et ils oublirent l'existence du petit qui pleurait, niché sur les bras de son père. Drapée de ses lèvres, Alexendra se retira et prit l'enfant pour le cajoler sous le regard complice d'Hassan

Ce dernier prit peine a croire ce qui lui arrivait. Lui papa, qui aurait pu croire cela ? 
Surement pas lui !
Ce petit ange méritait de l'amour et de l'attention. Les yeux rêveurs, il regarda la jeune manman sourire a son fils ,aussitôt le petit cessa de pleurer

-regarde comme il te ressemble, dit-elle en l'embrassant sur le front

-Mes parents sont là. Ça ne derange pas si mon père vienne te voir ?  Lui demanda son mari

Alexendra hocha la tête positivement tandis que son mari allait chercher son père. Malgré l'altération qu'il avait eu, La jeune femme était heureuse de cette réconciliation. Elle était heureuse du fait que son beau père acceptait son fils. Elle entendit les lourds pas venir a elle. Instinctivement, elle guettait leur arrivée si bien qu'Hassan ouvrit la porte entra et céda la place a son père.

Le vieil homme avait eu beaucoup de mal a accepter les choix son fils aîné. Il se mefia de cette étrangère depuis le jour où elle avait pénétré l'enceinte de son palais. Mais grâce a sa femme qui criait a qui veut l'entendre que la jeune étrangère est la femme parfaite pour Hassan, Amir avait mit de côté ses préjugés a l'égard de la jeune femme , lui accordant le bénéfice du doute. Il avait raison car la jeune femme s'était révélé d'une douceur infinie jusqu'a même offrir a la couronne un espoir. Même si , il aurait préféré Iris plutôt que la jeune femme.

-Venez vous asseoir. Votre petit fils a hâte de vous rencontrer, dit-elle en plongeant sa main délicate dans la sienne

Amir en demeurait tout étourdi. Il se surpris de la facilité avec laquelle la jeune étrangère avait prononcé ces mots sans se souvenir qu'il avait eu un différent. On dirait qu'elle avait oublié leur échange houleux et chaotique ce qui fut de plus en plus surprenant. N'importe quelle femme n'aurait pas accepté de le voir dans la même chambre que lui, alors qu'il avait proféré des injures a son encontre.

Guidé par sa main, Amir s'asseya et prit son petit fils dans ses bras. Au premier abord, il fut frappé par la ressemblance percutante du petit homme qui avait ouvert les yeux pour le regarder avec instance. Les larmes d'émotions vint se nicher au creux de ses deux pairs d'yeux
Amir darda un regard ému sur le petit.

-vous avez trouvé un nom, s'enquit le vieil homme en essuyant ses larmes

Hassan s'approcha de la jeune femme et lui souffla quelques mots. Les yeux d'Alexendra se mua en émerveillement indicible. Elle asquiesca comme pour accepter puis elle déclara sans l'once d'une hésitation

-Nous allons l'appelé Amir comme son grand père, répondit t-elle de maniere a supprendre le vieil qui hoqueta de surprise

~

Fatima partit se servir un café. Elle prit quelques gorgés pour se calmer et le recracha toute suite en relâcha un râle de dégoût.  Elle but quelque goutte d'eau pour extirper le goût du liquide écoeurant quand une voie la fit sursauter tout bonnement.
Elle eu la chair de poule en reconnaissant son pire cauchemar

Oussam !

Cet homme doté d'une arrogance vive était a quelque mètre d'elle, la toisant amèrement. Elle se retourna pour l'affronter l'homme méprisant qui venait encore une fois , lui cacher la journée qui pourtant commençait si bien

-je voulais te féliciter en personne pour la venu de ton petit fils

Mensonge ! Aurait voulu répliquer fatima en lui devisageant du regard. La lueur brillante qu'envoyait son regard dementait ses mots prononcés. Une lueur qui avait su glacer le sang de Fatima pour la figé comme une boule de neige. Difficilement, elle serra sur son foulard beige sans trouver les mots pour répliquer. Un signe d'hochement de tête avait suffi. Unutile de gaspiller sa salive avec un homme qui n'en valait la peine. Ses visites se résumait a des scènes de tortures pour Fatima. Ousman le menaçait de dire la vérité profanant ainsi sa réputation. Combien d'argent lui avait-il soutirer pour garder la bouche close ? Fatima était tout simplement effrayé par cet homme. Ousman lui faisait chanté,lui demandait de lui donné des sommes exorbitants pour son silence. Fatima n'avait jamais eu le cran de raconter sa mésaventure avec OUSMAN qu'elle considérait être un erreur de jeunesse.

-Tu le fais exprès Fatima. Je suis venu de loin pour te féliciter et c'est comme ça que tu me reçois. Avec indifférence et mépris

Fatima partit d'un rire guttural. La félicité pourquoi pas l'extorquer  ?
Elle connaissait ce genre de parasites par coeur. Ousman ne faisait guère la différence. Que voulait-il au juste ?

-Que veux-tu Ousman ?  Demanda t-elle avec une telle indifférence qui la choqua et Ousman au passage

Ousman avanca de quelque millimètre. Cette proximité suffit a la rendre nerveuse et inquiète. Ousman était du genre a obstruer l'air de quiconque. Son regard empli d'audace et d'arrogance laissait cruellement a désirer.

-Ta belle fille a de la visite. Il se trouve que j'ai croisé une personne  dans l'hôpital. Une étrangère qui demandait au infirmière de la guidé dans la chambre de ta belle fille

Fatima demeura dans les nues quelques secondes. Est-ce sa mère ou un membre de sa famille ? Fatima en deumera troublé. Certe, la jeune femme n'avait rien dit sur sa famille. Personne ne savait ou son fils avait pêché l'etrangere. N'est-ce pas une bonne chose ?  Elle laissa Ousman en plan et partit la rechercher dans les moindres recoins de l'hôpital. Son regard tomba directement sur une étrangère qui demandait de l'information aux infirmières.

Au premier coup d'oeil, la femme était élégamment vêtue. Le maquillage discret et soutenu, des vêtements de griffe célèbre. Fatima vint a sa direction

-Excusez moi c'est vous qui cherché Alexendra, la femme de mon fils ?

La femme s'arrêta d'un geste brusque et se détourna le sourire au lèvre

-oui c'est moi. Pouriez vous m'indiquer sa chambre?

-et vous êtes qui ?

-je suis sa mère, Rosi kouranguine dit-elle en joignant sa main dans la direction de Fatima














J'ai fait l'effort de vous apportez la suite parce que cela faisait quelque jours que j'ai pas posté . J'aimerais comblé mon abscence par 2 ou 3 chapitres. Malheureusement je suis pas en forme depuis hier. Grippe , fièvre, maux de tête et j'en passe.

Trêve de bavarde,

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