chapitre 39💎

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La surprise l'avait cloué sur sa chaise. Le cheikh devisageait son frère Malick. Il passa une main sur ses cheveux qui finit par atterir sur nuque. Il leva la tête et ressentit toute la douleur de son frère caché au tréfonds de ses iris. Malick était tombé amoureux d'Amélia. Son frère l'avait remarqué dès le premier regard. Et ce constat le ravie car Amélia était tout le contraire d'Iris qui avait passé sa vie a jouer avec les sentiments de Malick.

-comment vais-je expliquer a Alex que sa meilleure amie est amnésique ? 

Le cheikh leva et se mit a arpenter son bureau. Il n'arrivait pas a le croire. Alexendra s'en remettrait pas si elle apprend que sa meilleure est dans cet état. Il comptait sur le soutient d'Amélia pour aider sa femme sans jamais imaginé que cette dernière avait perdu la totalité de sa mémoire. Elle ne reconnaîtrait pas Alexandra. Grand Dieu !  Il était au bord de l'impasse

-Où est-elle ? Demanda t-il en s'arrêtant de sa marche

-Dans le palais, je lui ai attribué une chambre. J'espère qu'Alexendra pourra l'aider a ce souvenir de sa vie passé.

Le cheikh asquiesca. Il suivit Malick au bout du couloir silencieuse et atterri dans la chambre d'Amélia. Elle était endormie a poing fermé. Ses cheveux crepuleux étaient éparpillés sur son oreiller. Il aperçu quelque marque sur sa peau chocolat signe qu'on l'avait battu

-on l'a pas...

-Non !  Assura son frère en l'interompant. Grâce au ciel, on l'a pas violé. Je l'ai trouvé a l'hôpital amnésique

Le cheihk passa ses deux mains sur ses cheveux et ferma les yeux. Il était incapable de songer a l'horreur qu'on avait faite a la jeune femme. Il mettrait tout en oeuvre pour trouver les reponsables et les tuer. La jeune femme roula sur le côté et commença a se réveiller peu à peu. Elle cligna ses paupières et se redressa.

Elle jeta un coup d'oeil sur la chambre et vit les deux hommes. Manifestement, elle prit peur si bien qu'elle commença a hurler de frayeur. 

-JE VOUS EN PRIE , NE ME FAITES PAS DE MAL, s'écria t-elle

Elle avait l'impression que ses cris ne faisaient aucun effet sur ses hommes dont elle ne connaissait guère. Ces souvenirs moroses revenaient la hanté.   Elle ne pouvait fermer les yeux une seconde sans imaginer le visage de cet homme qui la battait. Dormir était une forme de supplice pour Amélia. Elle était terrorisé et ne supportait la vue des hommes. Elle apercevait sur sa peau des marques de fouet et le souvenir de ses cris déchaînés résonnait encore dans son cerveau.

-Amélia, s'enquit le plus jeune qui s'approchait d'elle...

Son coeur émettait de lourd résonance. Elle tremblait comme une feuille et ses souvenirs revenaient sans cesse a chaque pas. Sa repiration devint irrégulière et ses yeux étaient imbibés de larmes.

-Je vais pas te faire de mal. Tu me connais je suis Malick.

Elle avait entendu ce nom mais hélas aucun souvenir ne lui revint. Qui était cet homme pour elle ?  Serait-elle rassuser en sa compagnie ?  Amélia n'en savait rien. Elle se leva prestement du lit et se cacha de l'autre côté. Elle était au sol, ventre plat en position foetus. Elle espérait que cet homme la laisserait tranquille.

-Viens mon frère  !  Laisse là se reposer et demain nous ferions appel a quelqu'un pour l'aider.

Couché sur le sol, elle les regardait. Ou plutôt leur chaussure noir. Même si ses hommes la rassurait, elle se voulait être prudente. Elle soupira en entendant le bruit de leur chaussure qui s'eloignait. Elle sortit de sa cachette mais le regretta aussitôt car le plus jeune l'attendait. Elle alla se sauver , mais l'homme l'attrapa sans ménage et la forca a se retourner.

Et là, elle aperçu ses deux paire d'yeux braqués sur elle. Elle tresailli dans ses bras alors que l'inconnu parlait.

-Il faut que tu te souviennes de moi Amélia. Il le faut ! 

Son coeur resonnait entre ses tempes. Elle se sentit fébrile dans les bras de cet homme si lui était étranger. Elle reconnu cet odeur musqué qui empregnait ses sens mais n'eût aucun souvenir de l'homme jusqu'a présent.

-Je t'en prie, dit-il comme pour la supplier

Elle ne pipa mot quand l'homme prit ses levres entre les siennes et les renferma d'un doux baiser puis il se retira et lui donna un collier qu'il avait sortit de sa poche droite.

Médusé, elle ouvrit ses mains et l'étudia minutieusement. Sur ce l'homme partit. La jeune femme avait l'impression que ce baiser n'était pas le premier ni le dernier. Quelque Flach lui revint après le baiser. Quelque bride de souvenir refaisait surface dans lequel cet homme l'embrassait dans une voiture et plus rien.

Mais qui était cet homme ?

~

Malick sorti du palais.
Il ne pouvait plus rester dans le palais sans penser une seule seconde a Amélia. La voir ainsi le torturait. Il avait la rage. Il sortit de sa torpeur quand le chauffeur le déposa devant l'une des boîtes des plus huppé du Dhakar. Il avait par dessus tout besoin de se changer les idées. Il descendit et inspecta les lieux. Les sons provenaient jusqu'a lui, le batiment était éclairé de mille et une lumière,sans oublier l'ambiance instauré devant la boîte. Erak, faisait partie des boîtes les plus luxueux de la ville de Dispoor. Il accueillait des milliardaires qui pouvait dépenser des milliards en un clin d'oeil. Il entra dans la salle et n'eut aucun mal a trouver les casinos. Des belles femmes paradaient en robe de soirée au côtés de leur compagnon. Les hommes étaient élégamment vêtue et des lumières tapisaient le casinos. Les rires ,l'alcool, les femmes, il avait le sentiment de tout oublié. Depuis sa rencontre avec Amélia, il avait changé. Il n'était plus le même playboy qui vivait que pour les femmes nues.

Il huma l'odeur et s'assit a une table. Il fit signe qu'on apporte des jetons quand son regard tomba sur une femme qui venait a lui...

Iris !

Il se leva sous le coup de l'étonnement. Et se frottta les yeux plusieurs fois.

Iris !

En chair et en os !

Au premier regard, elle avait perdu l'éclat de sa beauté qui ne faisait que subjugué tout les hommes et lui au passage. Elle ressemblait a une folle. Elle avait beacoup maigri et ces cernes serpentaient son visage qui autre fois était parfait.

Arrivée a sa direction, cette dernière se jeta a ses genoux

-Je suis désolée Malick. Je n'avais pas conscience a quel point je t'aimais. Nous pouvons faire une croix sur le passé et repartir a zéro








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Scandale pour un cheikh [ tentation russe/Tome 3]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant