Stand by me

#10

Mais quel con! Sérieux " Je t'ai reconnu" nian nian mais quel con. Une fois chez moi je me change et me met au lit. Bordel je n'arrive même pas a dormir. Noël approche a grand pas et je n'ai même pas commencer les cadeaux.

Mon portable bip sur ma table de chevet. Je l'attrape, sa luminosité me fait mal au yeux.

De Roya A Sam: Je t'ai vue mélanger ta bave avec celle de William!!

De Sam A Roya: M'en parle pas ce n'était qu'une erreur.

De Roya A Sam: Pourtant ça avait l'air de te plaire...

De Sam A Roya: Une erreur!!

Je coupe mon téléphone et le repose sur ma table de chevet. Manquée plus que ça ma meilleure amie m'a vue embrasser ce pauvre type, je vais en entendre parler pendant des semaines quoique avec son mariage se sujet passera bien au dessus de ce petit baiser de rien du tout.
Le lendemain matin je profite que ma librairie soit fermer pour faire les achats de noël, j'y passe toute la matinée, je suis épuisée quand je dépose mes affaires chez moi. Je déjeune en vitesse et pars ouvrir ma librairie. J'ose enfin rallumer mon téléphone. Je découvre plusieurs appels de William ainsi que des messages. Je reste quelques secondes a l'ai regarder avant de finir par les ouvrir.

De William A Sam: Sam s'il te plait laisse moi t'expliquer.

De William A Sam: Tu réponds pas a mes appels... je suis désolé.

De William A Sam: Faut vraiment qu'on parle Sam...

J'efface tous ces messages et range mon téléphone dans mon sac. Je range ensuite un peu ma librairie, remet quelques livres en place.
La journée se passe tranquillement, je commence a fermer la boutique quand j'entends la clochette teinter.

- Bonsoir.

Je me fige, j'aurai dû m'en douter. Je me retourne pour faire face a William.

- Qu'est ce que tu fait là?

- Comme tu ne réponds pas je me suis dit que j'allais venir te voir.

- Justement tu ne t'ai pas dit que je ne voulais pas te voir?

- Sam...

- J'ai cru que j'avais temps changer que ça.

- Comme je te l'ai dit j'avais peur de ta réaction.

- Tu pensais que j'allais réagir comment? Lui demandais-je

- En faîte je ne le sais pas, je pense que je mérite ce qui c'est passer entre nous. Enfin oui... il faut que tu sache que tu m'a toujours plus.

- Ne dit pas de bêtises.

- Pourtant c'est la vérité, t'imagine pas le nombre de fois ou ton frère avait envie de me casser la gueule quand je te regardais un peu trop. Je ne sais pas si tu te rappelle d'un jours ou nous nous étions battus.

- Si, ma mère était folle.

- Oui, ce soir là, j'ai avouer a ton frère que j'était amoureux de toi. Et il n'a pas trop apprécier.

- Tu... tu était amoureux de moi?

- Et je le suis toujours Sam. Chaque années depuis son décès j'ai la frousse de t'envoyer un message ou de t'appeler. Je foule peut être les tapis rouge avec des célébritées mais personne ne t'arrive à la cheville. Je pensais qu'avec les années mes sentiments pour toi s'en irai, mais quand je t'ai vue ce soir là... tout est revenus, mes sentiments son revenus en pleine figure. Je t'aime Sam.

- William...

- Je sait que j'ai merder, je sait que tu n'a pas confiance en moi mais avoue que la dernière fois nos corps, nos lèvres... on ai fait pour être ensemble.

Il c'est approcher de moi, sa main ces poser sur ma joue et me caresse.

- Je t'aime Sam, laisse moi une chance... laisse moi une chance de te montrer a quel point je t'aime.

Je relève les yeux vers lui, j'approche mon visage du siens et dépose mes lèvres sur les siennes. Sa main se pose sur ma nuque pour approfondir ce baiser. Il me soulève et me pose sur le comptoir. Nos lèvres ne se quitte pas. Sa main passe en dessous mon t-shirt.

- Il me tuerait, dit-il après avoir arrêter notre baiser.

- Nous sommes majeur il n'aurai plus son mot a dire, dis-je en souriant.

- Oui, il avait peur que tu tombe sur un véritable connard, je comptais t'avouer que je t'aimais après la fin du lycée, on se serait sans doute battue de nouveau mais temps pis, tu en aurais vallu la peine.

Je passe ma main dans ces cheveux.

- Je t'aime, et comme on ai au aveux il faut que je te dise que j'était raide dingue de toi... ça fait clicher tu était le meilleur ami de mon frère je sait, mais tu était inaccessible, tu n'était qu'un fantasme.

William me regarde en souriant.

- Tu était en train de fermer?

- Oui. Si tu n'a rien à faire ce soir... on pourrait passer la soirée ensemble.

- Je comptais pas partir de toute façon.

Je lui sourit et William fond sur mes lèvres. Il faut bien que je l'admette j'aime cette homme, je l'ai toujours aimer