Paris, FR.
21:35.
Les vacances chez mon père on était...normal comme toujours. Après avoir appris pour la situation avec ma mère il sait senti hyper coupable de pas avoir était la pour nous protéger. Même si mes parents ne sont plus ensemble ils ont se lien bizarre qui les relis toujours. Alors les vacances avec mon père son toujours les même, pendant tout mon temps à Londres il essaye de se racheter. Nos journées sont à base de football, de bière, et de truc hyper clichés que les garçons font.
J'suis bien content d'être rentré à Paris. Même si les rues sont sales et qu'on est pas les gens les plus polis du monde, Paris a son charme.
Je suis assis à un café de Rivoli attendant la fameuse Jul. Après son message à New York j'ai pas vraiment eu le temps de lui parler. Les mots de ma mère m'ont un peu aidé mais je sais toujours pas comment agir. J'en sais même pas où j'en suis avec elle.
JUL: Tu pense a quoi? Dit-elle en arrivant de nul
En la voyant comme ça devant moi j'ai l'impression de jamais être parti. Elle porte sa grosse doudoune, avec un appareil photo autour de son cou et un bonnet qui couvre ses nouvelles mèches noir rempli de petit accessoires. Son odeur sucrée arrive à mes narines me rappelant à quel point elle a une odeur envoûtante.
MOI: T'es en retard Juliana. Dis-je en me levant
Je pose l'argent sur la table et quitte le café avec Jul.
JUL: Juliana? Je suis dans la merde? Dit-elle avec un sourire
Nous marchons un peu et décidons d'escalader les grilles d'un parc pour y entrer. On se pose sur un banc et un silence se place entre nous deux.
Elle prend sont appareil photo vintage et le pointe vers moi. Je tape ma meilleur grimace alors que le flash vient m'aveugler. Elle rigole et lâche son appareil.
Elle est beaucoup trop belle pour son propre bien.
JUL: Tu vas pas me raconter comment était tes vacances?
MOI: Je sais pas t'es toujours avec Sael?
Ça m'a sincèrement échappé. Je peux pas m'en empêcher parce qu'à chaque fois que je la regarde je vois à quel point c'est une personne magnifique. J'ai même pas besoin de la connaître autant que ça pour m'en rendre compte. Le peu que je sais d'elle me donne déjà envie de tout le temps être avec elle.
De me dire qu'un gars aussi merdique que se fils de pute est celui qui se tient à ses côtés me casse sincèrement les couilles. Ou peut être que je suis juste hyper jaloux de pas être celui près d'elle...