Paris, FR.
Je suis presque sûr que c'est la troisième fois que ma mère vérifie que tous est bien placer sur la table. Et même si tous est parfait elle ne peut s'empêcher de tout questionner encore et encore.
Je l'attraper par le bras pour l'empêcher de retoucher aux toasts poser de manière symétrique sur la table, et lui pose un petit bisou sur son front.
MOI: Mama, c'est parfait relaxe.
MAMA: Désolé, tu sais comment je suis avec les fêtes de famille.
Ma mère a jamais vraiment étais proche de ses parents, mais si il y avait bien une choses que sa famille prenait au sérieux c'était les fêtes de familles. Je suppose que se genre de tradition se passe de génération en génération.
Tous le monde arrive petit à petit dans l'appartement. Carl porte un costar assortie à la robe rose pastel d'Alice, comme Lola et son copain. Salim lui comme à son habitude est arrivé en jogging basket, mais il a fait l'effort de se coiffer les cheveux. Personnellement je porte une chemise blanche avec un jean noir troué au niveau des genoux, mes Air Force 1, et mon incontournable bonnet carhartt noir, on change pas une équipe qui gagne.
Une heure et passé depuis l'arrivé de tout le monde et Jul n'est toujours pas là. J'essaye de paraître le plus serin possible mais les regards en douce de Carl me font comprendre que j'ai l'air d'un con a attendre qu'elle arrive.
Alors que je suis assis sur la canapé un verre de champomy en main, Carl vient me rejoindre.
CARL: Wow—
MOI: Ta gueule.
Il rit.
CARL: Tu sais même pas se que j'allais dire.
MOI: "Wow, j'arrive pas à croire que Nate le grand et magnifique est tout seul assis comme un con a attendre sa Juliana." Dis-je en imitant sa voix
CARL: Ok. Je sais pas si je dois être impressionné ou complètement flipper par le faite que tu me connaisse aussi bien.
Je rigole à sa phrase et un énorme poids vient se rajouter à mon côté libre.
SALIM: Arrête de stresser comme ça, elle va arriver.
MOI: D'après qui?
SALIM: D'après Sofia.
MOI: D'ailleurs pourquoi tu l'as pas remmené?
CARL: Ouais, c'est du sérieux entre vous non?
SALIM: Déjà on est pas en couple, Carl et moi lâchons un énorme soupir, Quoi?!
CARL: Et moi qui pensait que vous étiez officiel.