L'Amour n'a pas d'âge.

Chapitre 43 : 1ère partie.

ⓟrécedemment. . .

Moi: Je me battrai, battrai pour lui, pour moi et notre enfant maman, ils n'ont pas le droit d'empêcher les gens de s'aimer JAMAIS ! Je le jure sur ma vie, ils ne m'arracheront pas à Jérémy !

«-Un combat commençait, le combat d'un amour passionnel et éternel...»

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«Si pouvoir t'aimer est juste dans mes rêves. Je t'en supplis ne me réveille pas»

Ces deux longs jours sont passés à la vitesse de l'éclair. J'avais été interrogés, les médias avaient fait leurs commentaires et avaient donnés leur point de vue sur la situation dans les journaux de ma ville où devrais-je dire le pays. La directrice et quelques enseignants ont aussi été interrogés et ils ne cachaient pas leur dégout envers Jérémy. Non, ils enfonçait le couteau dans la plaie et j'avais des envies de meurtre.

Ses deux jours où Jérémy était resté dans cette cellule tout seul.

Ses deux jours ou j'avais été plus forte que jamais, où je n'avais fait couler aucune larme parce que j'avais promis de me battre jusqu'à la fin et le combat n'était pas terminé.

Une fontaine se formait en moi et je craignais de m'effondrer un jour où l'autre mais je ne laissais pas une seule goûte d'eau tombée.

Mon objectif ?

Sortir Jérémy de là, être libre de vivre avec lui.

Aujourd'hui, le jour de son jugement avait lieu. Cette fois-ci, c'était moi qui devait prendre le relais. Je devais me battre pour notre amour.

Je me lève de mon lit, enfile une robe noire et mets mes longs cheveux en chignon. Je ne me maquille pas, la seule raison pour laquelle je voulais être belle était Jérémy : je me fous du reste. Je mets des talons et sort de ma chambre avec un papier à la main.

Ce papier contient mon discours et  mon témoignage sur la relation que j'ai eu avec Jérémy. J'avais établie plusieurs chose qu'il avait faite pour moi; qu'il ne m'avait jamais obligée à faire quoi que ce soit, j'avais prise mes décisions toute seule. C'est vrai, il voulait me laisser, je l'ai supplié de rester avec moi. Il ne voulait pas faire l'amour avec moi et je lui avais supplié et lui ai dit que j'étais prête.

J'allais tout faire pour le faire sortir seulement la seule différence c'est qu'il était un adulte et moi, une mineur et j'avais domc moins de pouvoir.

Je me regarde encore dans le mirroir. Mes yeux sont gonflés car je n'ai pas pu dormir ces deux nuits.

Je ne faisais que penser à lui.Comment se sent-il ? J'avais une terrible envie de lui parler, de le voir et de le toucher.

Maman vint derrière moi et me pris par l'épaule.

Maman: On est tous avec toi Kaissya.

Je ne réponds pas et me retoutne vers elle en lui faisant un câlin.

Maman: Fais nous confiance, d'accord ?

Moi: Tu crois qu'ils vont le relâcher ?

Maman: On verra, seul le temps nous le dira.

Après notre étreinte, j'ai touché mon ventre alors qu'il était encore plat et que ma grossesse ne se voit meme pas. Je n'arrive pas à croire qu'un petit Jérémy va grandir dans mon ventre.

Moi: De toutes les facons, on ne peut pas empêcher un père de voir son enfant.

Maman: Elaijah est là, il nous accompagne.