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C'était après être sortit du poste police que j'avais décidé de rentrer chez moi, n'ayant rien d'autre à faire. Tête basse, Casquette accompagné d'une large capuche. Je marchais, voir courais, vers chez moi. Je ne voulais pas que de terribles événements m'arrivent à nouveau.
Mais c'est alors qu'en apercevant ma magnifique baraque de loin, que je remarquait qu'une ombre s'en détachait. Il s'agissait d'une personne à la carrure masculine, vêtu entièrement de vêtements noirs. Est-ce que je me préparais déjà à appeler la police? Bien sur voyons.
Malheureusement pour moi, l'inconnu m'avait vu et se précipitait à une vitesse folle vers moi.
« Jisung! Il cria en arrivant vers moi. »
Qu'est-ce que j'avais fait au bon Dieu pour mériter ça? Avais-je tué un village? Un pays? J'étais peut-être la réincarnation d'Hitler? Mais tout ça n'expliquerait en rien le fait que Woojin aka le tueur à gage se retrouve sur mon gazon.
Avant même que je n'ai eu le temps de prononcer mon nom complet, le monsieur m'avait déjà attraper la manche.
You gon die
Merci conscience, que ferais-je sans toi?Comme toute personne normalement constituée. Je voulus me débattre, mais j'avais oublié que mon agresseur possédait une force bien supérieure à la mienne. Ma tentative de fuite, fut un échec, mais un Han n'abandonne jamais. À ce qu'il paraît.
« À l'aide! Help! »
Mon agresseur avait brusquement plaqué sa main qui avait sûrement baigné dans une marée de sang auparavant, sur ma sainte bouche. Quel culot. Je su dès lors qu'il commençait à tenter de me faire avancer avec lui, je rejoindrais sûrement ma grand-mère. Six pied sous terre.
Alors je fit usage de mon dernier recours, le cadeau que m'avait offert mon cher et tendre Hyunjin pour mon anniversaire. Une bombe lacrymogène d'excellente qualité. Je me précipita de presser le bouton, lui envoyant son contenu droit dans le faciès. Woojin commença alors à hurler de douleur, sans gêne, dans la rue des gens.
« Putain ça brûle! »
Putain j'savais pas.
Moi non plus conscience, je n'en avait aucune idée.
« Ça fait mal! »
Décidément on en apprenait tout les jours. Le criminel avait finit par tomber au sol et se mit à rouler dessus tel un chien. C'était ce qu'il était après tout. Un chien de la casse.
« J'voulais m'excuser bordel! »
MDR ATTEND!
Je m'étais mis à rire, accompagnant ma conscience dans son délire. S'excuser? Il était venu pour s'excuser? Je ne savais pas si c'était le niveau d'absurdité de ses paroles ou l'accumulation de toute les émotions que j'avais gardé en moi dû à cette situation. Mais j'avais fini par craquer, exploser. J'avais laisser ma rage prendre possession de moi.
« Donc j'étais censé t'accueillir à bras ouverts avec le sourire? Je lui avait demandé en m'agenouillant auprès de lui. »
Voyant qu'il ne répondait pas, je perdus vite patience et commença à lui envoyer des coup de pied dans l'abdomen, puis toutes les parties que je pouvais atteindre. Bientôt le visage de mon ancien ami se mit progressivement à ressembler à une œuvre de Picasso. Essoufflé, je balançais un dernier coup à son corps inertes avant de m'en aller. Le laissant contre le sol froid à la vue de tous.
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La rue, la vraie
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J'ai beaucoup apprécié écrire un Jisung nrv ma foi un très bon moment
