l'âme sœur du diable, la romance éternelle

Chapitre 8

- Safia tu viens d'où ? Et tu as de la famille ?
- Cela ne te regarde absolument pas. Dit elle froidement.

Je suis surprise mais je la laisse. Je finis mon dîner et je discute avec Leila et Maria quand je vois que Safia se lève tout d'un coup.

Personnellement j'en fous, elle fait ce qu'elle veut. Moi je vais pas la calculer.

- Safia tu vas où ? Questionne Leila.
- Je reviens.

elle cours vers le jardin.

- Qu'est qu'elle a ? demande Leila.
- Je sais pas je vais aller lui parler. Prévient Abdel.

Il se lève et va dans le jardin, il reste quelques minutes là-bas et je vois Abdel revenir seul.

- Elle a quoi ? Demande Ziyad
- Elle se sent exclus, Anna pourquoi tu ne la met pas à l'aise. J'ai vu qu'elle essayait de te parler mais que tu ne lui répondais pas tu étais occupée à parler avec Maria et Leïla. Me dit-il en colère.
- Je n'ai pas compris, moi je l'ai exclu ? Demandais-je calmement.
- Mais qu'est qui ce passe je ne comprends plus rien, demande Arziyad.
- Moi aussi, je comprends pas, ajoute Leila.
- Anna vrai ou faux elle a essayé de te parler, et tu ne lui as pas répondu.
- C'est vrai mais....
- Anna, tu n'as tout simplement pas essayer de l'intégrer, me coupe t-il en me criant dessus.

Je la vois courir et venir au salon.

- Arrêter de vous disputer pour moi s'il voit plaît , cria t-elle.
- Toi tu me fermes ta putain de gueule.
Dis-je d'un ton tellement froid et tranchant.
- Anna pourquoi tu l'insulte. Me dit Nathan en s'approchant de moi.
- Je l'insulte parce que je ne supporte pas l'hypocrisie, je lui ai demandais d'où venait elle et si elle avait de la famille, elle m'a dit que ça ne me regarder pas. Après cela j'ai le droit de ne pas lui répondre. Donc ne te mets pas à me crier dessus quand tu ne sais pas tu demandes avant de prendre parti.

Je suis très calme ce qui est d'autant plus bizzare, parce que j'aurais pu m'énervé à la seconde ou elle m'a mal parlé.

- Est ce vrai , demande t-il en se retournant vers elle.
- Euh... Euh... , hésita t-elle.
- Est ce vrai Safia, hurla t-il.
- Oui c'est vrai, mais je.... je voulais pas, je pensais que elle ne m'aimait pas.

Je me lève calmement et un peu dérouter de la situation et décide d'aller dans le salon.

- Anna tu parts où, me demande Leila.
- Je vais dans le salon. Repondis-je d'un calme olympien.
- Leila, juste une chose, que personne ne rentre dans le salon. Ordonnais-je.
- Espèce de petite garçe, nique ta putain de mère, tu as ruiné tous mes plan, entendis-je.

Je me suis arrêtée dans ma lançée. Et je me suis retournée vers la personne qui à dit ça. Je sais que je ne vais pas tenir dans ce calme très longtemps. Mais pour combien de temps.
Je m'avance doucement vers la personne, et sourit tout doucement.

Leila me bloque la route, parce-que elle sait que quand je souris comme ça, ce n'est jamais très bon signe.

- Leila, laisse moi passer.
- Anna, ne fait pas ça. Maria aide moi, tu sais ce qu'elle va faire. Supplie Leila.
- Anna ne fait rien de mal à cette fille, réfléchit, tu es assez mature. Dit Maria.

- Toi, Safia, tu n'insulteras plus jamais la mère de quelqu'un.

Je force le passage, je ne peux pas passer. Je me retourne pour aller vers le salon, et au moment de rentrée, je me met à courir vers Safia, puisque Abdel, Leila et Maria avez baissé leurs gardes.