l'âme sœur du diable, la romance éternelle

Chapitre 11

Dans la peau d'Anna.

Arriver à la maison, je me suis éclipsée dans ma chambre et j'y suis restée pendant tout le début de la soirée. Je travaille en plus je réfléchis. J'entends quelqu'un toquer à ma porte. Je vois que c'est Maria.

- Ma puce il y'a des personnes qui sont venus te voir.
- Ok j'arrive.

Elle sort et me laisse me changer. Je descends et vais dans le salon, je vois Abdel. Mais il n'y avait pas une personne que je devais rencontrer. Je vais pour sortir de la pièce.

- Anna reste s'il te plaît. Je veux te parler.

Je vais m'asseoir à côté de lui et je pose ma tête sur le dossier de la chaise.

- Anna je suis désoler de t'avoir traiter d'immature et puis toi même tu sais que je peux être très blessant en parlant. Mais j'avais peur de te perdre imagine toi dans cette attaque on t'avait touché, je ne me le serait jamais pardonner, je... je... .

Et puis je l'ai pris dans mes bras. Je l'ai serré aussi fort que je pouvais.

- Je suis désolée, j'aurais du pensé d'abord à vous mais sur le moment je n'ai pas réfléchi et je m'excuse. Vous êtes la chose que j'ai de plus précieuses au monde est c'est ma famille jamais je ne vous abandonnerez. Je t'aime frérot.
- Moi aussi princesse, moi aussi, dit-il en me caressant les cheveux.

On reste comme ça un moment et ça me fait du bien. A un moment il me dit :

- Princesse hier soir tu as dormi ?
- Non je veillais sur toi.
- Et ça fait combien temps tu dormais tard ?
- Tu sais que j'ai toujours dormi tard à cause de mon travail, dit- Je en rigolant.
- Oui je sais ma chérie mais je veux savoir si en ce moment tu dors tard, plus tard que d'habitude .
- Oui un peu.
- Donc après manger tu vas aller dormir tôt et je prends aussi l'ordinateur et le téléphone .
- Mais je dois travailler. Rouspetais-je
- Mais pas dans ces conditions ma puce.
- D'accord, soufflais-Je.
- Bien tu viens on va aller manger, j'ai faim.
- Pareille, j'ai trop faim.

Nous nous dirigeons dans le salon la ou tout le monde nous attends pour manger le repas que Maria a fait.

- Vous avez fini vos valises.
Questionne Maria.
- Moi si, répond Leila.
- Pareil j'ai fini la mienne , dit Zyiad.
- Presque fini, répond aussi Abdel.
- Je n'ai pas encore commencer.

Il y a eu blanc moi, moi je continuer de manger et Abdel aussi, les autres me regardent étonnés.

- Anna comment ça tu n'as pas terminer ta valise. Dit Maria en élevant la voix.
- Mais tu c'est que nous voyagons après demain à 3h. Me rappel Leila.
- Je sais mais je n'ai pas vraiment eu le temps de la préparer je la ferait tout de suite après manger. En plus je dois faire une valise que pour les courses.
- On les a déjà faite Maria et moi. Me dit Leila.
- Je sais mais je dois rapporter d'autre chose pour papa et maman et aussi pour la famille du côté de papa. En plus demain je dois aller acheter des choses pour le mariage d'une de mes meilleurs amie.
- Anna tu seras fatiguée. M'explique Zyiad.
- Je sais mais je suis obligée.
- Après je t'aide à faire ta valise.
- Ok pas de problème.

On continue de manger en discutant.
Je discute après avec mes frères et je décide d'appeler ma soeur.

- Allo, la folle. Dis-je en rigolant.
- Ananas, ça va ?
- Oui et toi ?
- Ça va.
- Mais toi pourquoi tu n'est pas venu avec Abdel.
- Je savais que t'aller me poser la question. Soupire t-elle.
- Ah oui, tu m'avais dit que t'aller venir.
- J'ai eu un problème, il y a un de mes collègues qui est décédé. C'est Mathew.
- Ah bon, il avait quoi ?
- Cancer et il ne nous l'a pas dit. Franchement c'était un gars bien, aucun soucis, l'ami de tout le monde, il adorait son job.
- Que Dieu l'acceuil dans son paradis.
- Amine et toi tu t'en sort au boulot ?
- Ça va.
- Pas d'homme en vue, dis-je en ricannant.
- Non, j'ai t'ai dit que moi les hommes ça ne m'intéresse pas et les femmes non plus, j'aime le célibat.
- Je savais.
- Anna mais le haut parle, hurle Abdel.
- C'est Abdel qui hurle comme ça ? Me questionne-t-elle.
- Oui c'est lui, attends je mets le haut parleur.