Chapitre 9

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Je vois le procureur assit dans son fauteuil avec des dossiers plein sur le bureau et son ordinateur.

- Maître Dia, il me fait un signe de tête.
- Procureur Wane bonjour, dis je en  m'asseyant sur la chaise qu'il m'a indiquer.
- J'ai appris que le dossier du violeur de la «street 34» vous a était confiée.
- Oui c'est exacte. Mais la dernière victime n'est pas vraiment une victime du violeur de la «street 34».
- Comment ça, dit il en fronçant les sourcils.
- Dans les faits qui m'ont été rapportés, le suspect que la police à appréhender n'est pas le violeur de la «street 34», en effet l'ADN du violeur retrouvé sur les 6 victimes précédentes ne correspond pas avec celle de du violeur de la dernière victime. La victime Lailia Maria Blaze n'a pas été violé dans ce lieu elle a juste était déplacé.
- Comment savais vous cela.
- Le suspect me l'a dit et de plus aucune trace de viole n'a étaient trouvée sur la scène du crime.
- Ce cas me paraît complexe . Bien c'est aujourd'hui qu'a lieu la mise en accusation ?
- Oui , je vais le mettre en détention même si ce sera assez complexe. Mon dossier est presque vide.
- Très bien, vous venez avec moi à la réunion ?
- D'accord.

Je sors du bureau et part dans le mien. Je prépare mes affaires pour la réunion, accompagné du procureur. On discute en chemin d'un autre cas qu'il est entrain de mettre en accusation.

- Vous pensez que je dois faire quoi ? Me questionne t-il.
- Je pense que La Défense va plaider la démence du coupable. Il a des antécédents psychologiques grave. Mais demander à Mayer de l'interroger. Mais je pense quand même que reconnaître l'ex mari de sa soeur, le violer et ensuite le poignardé pour après l'étrangler ce n'est pas de la démence complète .
- Je suis d'accord avec vous mais la contre expertise prouve qu'il est fou.
- Moi je pense que la contre expertise veut protégé La Défense. Après tout regarder chez qui celle-ci a était faite et ensuite demander à Mayer de l'interroger.
- Je pense aussi, je vais en parler à Mayer et à La Défense.

On arrive à la salle de réunion, le procureur ouvre la porte.

- Après vous , il se pousse pour me laisser entrer.
- Merci, pour votre galenterie.

Je m'aventure dans la salle de réunion et ma place est à côté de celle du procureur et de monsieur Owens. Je prends mon téléphone et je vois que je n'ai aucun appelle. La réunion commence, on parle d'abords de comment on s'en sort avec nos clients. Comme c'est la fin de l'année, le cabinet à décider de faire une fête pour fêter les fêtes de fin d'année le 21 soit demain vendredi 21 et après on est en congés tout le reste jusqu'au 3 janvier. Donc on m'a demander si je pouvais venir demain soir pour la soirée, au début j'allais refuser parce-que les soirées c'est pas mon point fort mais ensuite j'ai accepté.

Après la réunion, je pars prendre les clés de ma voiture, me change et revêts ma tenu pour allez au tribunal. Arrivée à ce dernier je me gare dans le parking. Et je retrouve monsieur Blaze et Lailia à l'entrée .

- Monsieur Blaze , ravie de vous voir.
- Mademoiselle Dia, je suis ravie de vous revoir.
- Anna j'espère que tu vas bien ? Me demande Lailia.
- Oui et toi ?
- Ça va, je suis stressée, nerveuse et anxieuse. Confie t-elle.
- Ne t'inquiète pas ça va aller Angela sera juste à côtés de toi au cas où tu en aurais besoin. Et puis c'est juste pour une trentaines de minutes.
- Très bien.
- Alors allons-y, dis-je en souriant pour la rassurer.

Nous nous sommes dirigés vers la salle d'audience. On attend notre tour. Et on nous appelle, nous rentrons et allons nous assoir.

- Affaire 2765, le ministère publique contre Arold Droski. Cite un homme.
- Faites entrer l'accuser, ordonne la juge.

Je vois Droski entrer, il a se sourire carnassier quand il s'approche de la barre. Son sourire se fait plus intense quand il me voit. Je vois Lailia un peu apeuré . Mais je lui fait signe que tout vas bien et je remet ce masque impeccablement froid et tout à mon image.

l'âme sœur du diable, la romance éternelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant