Une Amitier Maladive

chapitre 18

(Fautes probables)

PDV Pascale

Sarah est actuellement dans sa chambre de repos, elle est sorti d'une opération qui a duré environs 2h30 et elle a donc besoin de repos.

Je sors de sa chambre où je me trouvais puis je vais dans notre salle de médecin où si trouve déjà Caroline et Pierre, on était tout les trois heureux d'avoir ses deux vie... mais on ne le montrait pas.. chacun était de son côté et ne disais rien, on avait seulement besoin de nous retrouver.. nous..

Le métier de médecin consiste de sauver des vies, mais il consiste aussi de se mettre en danger de devenir responsable de la mort de quelqu'un...

Malgré de nombreuses années dans ce corps, dans cette blouse, je ne peux m'empêcher de lâcher quelque larmes... ça fait terriblement mal de se sentir responsable d'une telle action et d'autant plus quand on doit l'annoncer aux proches.. mais je ne peux le faire...

Je veux bien être médecin mais annoncer à quelqu'un qu'un être chère à ses yeux est décédé est devenu une tâche trop dure pour moi

Caroline *larmes aux yeux* : on doit le faire... Je veux pas le faire *pleure* j'aurais voulu ne jamais à avoir fait ça..

Pierre *yeux rouge* : mais elles ont besoin de savoir.

Moi *laisse échapper une larmes* : je veux pas... Je peux pas...

Caroline s'approche de moi et met ses mains sur mes épaules.

Caroline *yeux plein de larme* : Pascale.. cette situation est toute aussi dure pour nous que pour toi... mais tu pense pas que Sarah voudrait savoir ?

Je m'eccroule dans ses bras mais une personne rentre dans la pièce, je detourne le regard vers la porte laissant apparaître Ambrine les larmes aux yeux..

Ambrine *larmes aux yeux* : je suis désolée..

Pierre se précipite vers elle et va la soutenir avant qu'elle tombe elle qui manquait de le faire.

Ambrine *pleure* : je suis désolé de ne pas avoir fait plus...

Pierre *yeux gonflé* : rien est de votre faute.. ça allé se passer de toute façon..

Ambrine *sèche ses larmes* : les filles sont au courant ?

Elles nous regardent tous, et sans un mot mais des regards qui voulaient tout dire, elle comprend que nous avons rien dit.

Caroline *yeux rouge* : nan..

Ambrine : elles vont être tellement anéantit..

Moi *sèche mes larmes* : j'y vais... elles doivent savoir de toute manière..

Caroline *me serre dans ses bras* : merci..

PDV Sarah

Je venais de me réveiller il y a de ça quelque minutes, que Pascale rentre de suite dans ma chambre, elle m'avait l'aire bizarre, les yeux gonflé, c'était comme ci elle avait pleuré.