Une Amitier Maladive

chapitre 1 introduction

(Fautes probables)

Médecin : ton prénom jeune fille. *souri*

Moi : tu le connais très bien.

Médecin : oui mais c'est la procédure.

Moi *souffle* : Aurélie D*****

Médecin : Âge ?

Moi : 16 ans.

Médecin : connais tu ta taille ?

Moi : 1m66.

Médecin : ton poid ?

Moi : 47 kilos.

Elle note tous sur son petit cahier bleu qui auparavant était rouge et qui est aussi passé par 3 autre couleurs avant elle, la première c'était le vert, ensuite le jaune et la troisième avant les deux dernière c'était le orange, il manque plus que le violet pour que ça complète les couleurs de l'arc en ciel.

Médecin : parfait ! ... Aurélie ?

Moi : Caroline ?

Caroline : tu peux retourner dans ta chambre si tu le souhaite, nous avons fini ton rendez vous quotidiens.

Je me lève doucement accrocher à tout ces files qui ont le dont de me tenir en vie.

Maman vient prendre mon bras pour m'aider à marcher, cette action devrais me faire plaisir mais pourtant cela m'énerve mais je ne dis rien, ce bras qu'elle tient comme dans se moment même m'en deviens juste insupportable, elle refait encore et encore cette action innocent depuis 10 ans, depuis qu'on a appris pour moi...

Au début, j'en étais apeuré, j'avais peur de partir, peur que la maladie m'emmène et que je quitte ma famille et mes amis..

Mais quand j'ai étais hospitalisé, tout mes amis mon lâchés, tout le monde est parti même cette fille en qui je tenais le plus, elle était comme une soeur pour moi mais elle m'a aussi abandonnée comme tous les autres..

Mes parents ont divorcés quelques années après que j'ai était hospitalisé, seulement mon grand frère est resté avec moi, lui il a 19 ans et il a pour prénom Adan, il vient que très rarement me rendre visite à cause de ses cours et de son emploie du temps assez charger je dois bien l'admettre.

Enfin bon ! J'arrive enfin à ma chambre où je suis depuis mtn 2 ans et cette pièce commence d'ailleurs à m'ettoufer, quand on est tout le temps enfermer dans cette hôpital je peux vous promettre que ça en devient invivable de rester tout le temps enfermer alors que à travers la fenêtre on voit je ne sais combien de groupe d'amis à s'amuser alors que moi j'en est même pas un seul.

Je me pose sur mon lit doucement mais sûrement comme à mon habitude

Maman : ça va aller ?

Moi : oui t'inquiète pas maman *sourire rassurant*

Maman : tu veux quelque chose a manger ?

Moi : par pitier maman nan sltp ! Les seuls fois où j'ai la bonne excuse de me lever et de sortir de cette chambre c'est bien pour ca donc ça va aller t'en fais pas.

Maman : ok *sourire tendre* je dois y aller, on m'attend au travail.

Maman travail dans l'hôtellerie, elle tenait son propre hôtel avec Papa mais après leur divorce pour manque d'argent à cause de celui ci qui vient couvrir mes traitements et soins ils ont du vendre leur hôtel.

Papa lui travail au jour d'aujourd'hui dans la finance mais je ne serais vous dire où exactement, et maman elle est donc à l'acceuil dans un hôtel pas loin d'ici.

Moi : passe une bonne journée.

Maman : toi aussi *sort de la chambre*

Moi : oe.. comme d'habitude..

PDV Sarah

"Vous êtes atteint d'une leucémie aiguë" cette phrase tourne en boucle dans ma tête depuis déjà 3 mois, depuis qu'on ma diagnostiqué cette maladie.. et je fais mon entrée ajrd à l'hôpital, je suis d'ailleurs dans la voiture accompagné de mon père et ma mère.

Je suis à l'arrière de la voiture alors qu'une boule se forme dans mon ventre et que mes mains deviennent moite.

Papa : ça va ?

Moi : oui oui.

Maman : tu es sur ?

Moi : oui..

Papa : ne soit pas inquiète tout va bien se passer, tu vas être pris en charge pars des médecins et tu vas sûrement te faire des amies.

Moi : oe qui vont sûrement mourir juste après c'est ça ?

Maman : sarah..

Moi : Pascale sera la ?

Maman : oui, c'est elle qui te suit depuis le début, c'est elle qui va continuer à te suivre jusqu'à la fin.

Moi : jusqu'à que je meurs c'est ça.

Papa : Arrête Sarah !

Moi : bah quoi !?

Maman : Je disais jusqu'à que tu guérise, garde espoirs.

Moi : oe si tu le dis..

Un blanc apparaît dans la voiture, personne ne parlait, je ne voulais rien dire, donc je ne dis rien.

On arrive enfin dans cette prison, où nous sommes acceuillie par Pascale à sa présence, mon stressé s'envole et un sourir apparaît sur mes lèvres.

Pascale *souriante* : alors Sarah ça va ?

Moi : ça pourrais aller mieux mais ça va.

Pascale : tu es prête ?

Moi : est ce que j'ai le choix ?

Pascale : nan.. Je t'emmène à ta chambre ?

Moi : allons y écoute.

Je parcours des couloirs infiniment long mais j'arrive enfin devant ma chambre qui indique que c la numéro A193.

Pascale : c'est ici.

Moi : super..

Maman : Sarah..

Moi : quoi ?

Pascale : écoute Sarah.. Je sais que c'est dure, c'est pas ça facile de venir ici, mais on fait de notre mieux pour que tu sois en bonne condition et surtout que tu guérise le plus vite possible.

Moi : je sais..

Pascale : cette chambre tu vas sûrement en croire que c'est une prison tout comme tout les malades qui sont dans cette hôpital mais je te demande de croire que c'est plutôt l'endroit qui te fera vivre.

Moi : si tu le dis..

Papa : tu vas voir tu va te plaire ici.

Moi : si tu le dis..

Maman : bon.. on la découvre cette chambre ?

Moi : allez.

J'ouvre alors la porte..

《La maladie est venu jusqu'à moi, maintenant je dois me battre pour qu'elle reparte》