Part Four

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-Je parle si mal français, me dit-il amusé.

Je ris. J'étais stone comme jamais et j'avais besoin de prendre l'air je décidai donc de le laisser là et sorti pour fuire toute cette agitation, je devais passer la soirée avec Alex mais une fois de plus il n'était pas là.

Je m'assoie donc sur un banc en bois blanc, le lampadaire noir à côté rendait la place parfaite avec le buisson de rose juste derrière. Je posai mes coudes sur mes genoux et enffouissai ma tête entre mes mains, essayant de respirer par la bouche afin de me calmer, mais quelques hoquets me vinrent. J'était au bord de la crise de nerf et ce qui me rendait le plus furieuse c'est que je savais même pas pourquoi j'était dans un état pareil.

-T'en veux une ?

Je vis un paquet de clopes faire son apparition juste devant mon nez. Je ne suis pas une fumeuse il m'était déjà arrivé d'essayer plusieurs choses mais fumer n'était pas là première qui me venait à l'esprit lorsque je me sentais pas bien, malgré que j'y avait déjà "goûter". Pourtant j'acceptai l'offre sans brancher, retirant une cigarette du paquet qui m'était tendu, et levant les yeux pour croiser son regard. J'avais de suite reconnu sa voie si grave et douce à la fois. Son parfum m'avait chatouillait le nez dès qu'il s'était rapproché, c'était un mélange de musc, de cigarette, de menthe et de son odeur corporelle. Il allume sa cigarette et s'approcha de moi allumant celle à ma bouche. Il tira un grand coup, comme si sa vie en dépendait. Il regardait devant lui, fixant un point imaginaire, absorbé par se qu'il était le seul à pouvoir voire, l'air de réfléchir à quelque chose de crucial. Puis se tourne vers moi, il était à présent assis à côté de moi. Il me lance un sourire gêné. Et plonge son regard dans le mien. Ses yeux sont d'un marron intense, comme si cette simple couleur, la simple couleur de ses yeux pouvait contenir de la chaleur, procurer du bien-être, tout en gardant tout le mystère que contenait chaque partie de lui. Car chaque partie de Zayn est mystérieuse. Il ne détourne toujours pas son regard. Et je réalise que nous nous regardons dans les yeux depuis le début sans rien dire. Je sens la chaleur me monter aux lèvres et me mord ma lèvre inférieure pour qu'elle s'arrête de trembler. Je ne suis pas de nature timide, on me qualifie même de sociable. Et ai tendance à montrer mes émotions aux gens que j'aime. Je suis de ceux qui n'hésitent pas à dire ce qu'ils pensent et ne se demandent pas 36 milles fois s'ils devraient faire cette chose qu'ils aiment et dont ils sont pas très fière. Vous savez on fait tous cette chose qu'on a du mal à assumer. Comme pleurer quand Hazel lit la lettre qu'Augustus lui à laissé après sa mort ou quand Katniss essaie d'aider Peeta blessé et qu'ils s'embrassent ou même craquer pour ce gars que vous croisez après un long moment et qui vous fait tellement d'effets. Non, je ne suis définitivemet pas le genre de filles timides. Pourtant ce gars m'avait intimidée, moi qui n'a pas peur de prendre la parole devant les gens, ni de dire à quelqu'un que je ne connais pas qu'il est beau. Je décide donc de détourner les yeux avant que d'autre signes de stress n'apparaissent. « Ouf, Voilà Niall, je suis sauvée ". Niall rentre dans le parc où nous étions, il avait les mains dans les poches et sa capuche sur la tête.

-Qu'es-ce que vous faite là sous la pluie ?

"Merde il pleut ! " Je m'en n'étais même pas rendu compte.

-Je suis sortie prendre l'air j'étouffais à l'intérieur, dit-je en vitesse .

-Zayn tu ne peux pas aller fumer ailleurs?! Dit Niall en toussant.

Il en était déjà à sa troisième clope. Et semblait absorbé pas les galets blanc qui formait un chemin entre l'herbe et les bancs de bois blanc. Nous le regardons donc tout les deux attendant une réponse de sa part mais il se contenta seulement de se lever fumer un mètre plus loin. La pluie ne semblait pas le déranger.

That French Word |Z.M|Où les histoires vivent. Découvrez maintenant