Mariée mais pas pour mon plus grand bonheur.

Chapitre 4

(Blyce en média)

Une fois dans l'avion, Nicolas et moi sommes assis chacun de son côté je dirais même dans son coin. J'étais calmement assise entrain de repenser aux événements de ces derniers temps quand, comme toujours Nicolas vient tout gâcher.

- eh oh je te parle là.

Je souffle et je lève les dans sa direction.

- que me veux-tu encore Nicolas ? Tu n'en a jamais marre de me déranger ?

- figures-toi que non et ça m'amuse même.

Agacée je lui demande ce qu'il veux et qu'on en finisse parce que je veux être calme.

- qu'est-ce que tu veux ?

- je te demandais juste de faire un effort et  de bien te comporter avec ma famille.

J'entame alors un rire ironique puis je reprends mon sérieux.

- attends tu es sérieux là ? avec ce que tu me demande ? Rêves toujours je vais te rendre la vie impossible dans ton pays jusqu'à ce que tu décides de me laisser repartir dans le mien.

Agacé, il dit : écoute bien petite saute c'est moi que tu détestes pas ma famille, donc respectes là car ce n'est pas beau quand on me mets en colère.

S'il pense me faire peur avec ses menaces à la noie, il se met le doigt dans l'œil.

- je vous déteste ta mère et toi. En ce qui concerne le reste de ta famille je verrais comment ils se comporteront avec moi.

Il m'agrippe la main comme il l'avait fait plus tôt mais là il me faisait mal mais très mal, je sens maintenant que c'est un homme brutal et je devrais faire attention avec lui.

- écoutes moi t'as pas intérêt à lui manquer du respect à ma mère compris ?

Dit-il sur un ton menaçant.

- que vas-tu me faire si je lui manque du respect, me frappé peut-être?

Je ne n'ai pas peur de lui.

Nicolas : pour ma mère je suis capable de tout.

Wouah je suis plus qu'étonné, sur ces mots il me lâche et s'en va. C'est fou comme lui et moi on ne peux pas discuter normalement.

Quelques heures plus tard on arrive enfin en France plus précisément à Paris. La ville où avec mes copines et moi on envisageaient de venir visiter, mais comme la vie est une tragédie, aujourd'hui je suis arrivé à Paris mais seul sans mes copines.

- bienvenue dans Paris madame DELAFONTAINE !

Qu'est-ce qui lui arrive à celui là ? Il veut m'énerver ça c'est sûr.

- ne commences pas jouer ta comédie ici il n'y a pas de journalistes faut croire que vous n'êtes pas connu. Lui dis-je.

- toujours de mauvaise humeur bon maintenant suis moi on s'en va.

Voilà qui est mieux.

- pour une fois que je suis d'accord avec toi.

Je le suis jusqu'à la voiture garée à l'extérieur où il y avait un chauffeur adossé. Dès qu'ils nous aperçoit il se redresse et dit :

- bonjour monsieur et madame DELAFONTAINE et soyez là bienvenue à Paris cher madame.

Nicolas prends la parole. Quel mal élevé celui-là il ne m'a même pas laissé le temps répondre.