Chapitre 5

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Quatres jours étaient passés depuis le dîner. Nous avons passés de bons moments idrissa et moi. Aujourd'hui j'ai vraiment eu envie d'une baignade puisque j'en ai fini avec mes menstruations. Cependant je ne pouvais pas le faire le matin, je ne pouvais pas me dévoiler en maillot ni me baigner en collant (quand même).
J'ai alors décidé de le faire ce soir en toute tranquillité, pas totalement. Il y a votre Idrissa qui me suis comme mon ombre. Il est plus que jaloux ce mec. Il y a au moins 9 personnes aux alentours.

-Je vais me rincer mon amour. Dis-je en sortant de l'eau sous le regard de quelques hommes. Je n'ai même pas atteint la serviette que j'entends des cris derrière moi.

- Connard, c'est ma femme..
- Ce n'est pas de notre faute si ta femme est super bonne.

Idrissa se dirige vers moi plus énervé que jamais.

- Toi suis moi. Dit-il en me tirant le bras comme un forcené.

Je n'arrête pas de lui dire qu'il me fait mal et toute tentative de me libérer était vaine jusqu'à ce que nous atteignons enfin notre suite.

-Driss tu me fais mal, je ne blague pas.
- Qu'est-ce qui t'a pris de porter ce maillot bordel?

- Mais tu n'y voyais aucun problème
- Tu n'aurais pas dû. Tu as vu comment ces salopards te mataient. Il en fallait peu pour qu'ils te sautent dessus.
- Mais ce n'est pas de ma faute
- SI C'EST DE TA FAUTE. TU AURAIS DÛ BIEN REGARDÉ TES COURBES AVANT DE PORTER CE MAILLOT DE MERDE. Crie t-il en tournant le dos

Pourquoi est-ce qu'il se comporte ainsi avec moi? On dirait que je lui ai fait quelque chose. De quelles courbes parle t-il ? Je ne suis peut-être pas une seringue mais mes formes ne tapent pas trop à l'œil.

Sans le vouloir mes larmes se sont mis à couler. Je pleure encore de plus belle ce qui l'alerte très vite. Il réduit la distance qui nous séparait en une seconde puis s'accroupit devant moi en me tenant le visage pour le redresser afin que je le regarde.

-Mon amour je suis désolé. Je te jure que je ne l'ai pas fait de manière volontaire. Je me suis laissé emporté par la jalousie.

-(Pleurs)

- Pardonne moi mon cœur je te prie. Écoute j'ai juste très peur de te perdre. S'il te plait pardonne moi Fati

Il me serre tellement fort dans ses bras que j'ai du mal à respirer convenablement

-C'est bon... Snif... On oublie. Tu ne vas pas me perdre parce que je t'aime, je n'aime que toi Idrissa Ndoye.

- Promets-moi que tu ne me quitteras pas bébé.
- hé je ne vais pas te quitter. Comment pourrai-je vivre sans toi?

- Dès notre retour, il faudra qu'on parle de certaines choses.
- D'accord. C'est grave?
- Il s'agit de Soukeyna.
- Pas ça encore, tu ne l'aimes pas...
- C'est vrai que je ne l'aime pas mais.... Bon laisse tomber. Viens on va prendre un bain Dit-il en me portant comme une princesse.

- Toi et moi?
- oui petite timide

Il a fait couler un bain avant de m'installer devant lui. Je me laisse aller sur son torse et me relaxe. Que ça fait du bien d'être dans les bras de la personne qu'on aime!
Il commence à me caresser le ventre puis remonte à ma poitrine et saisit mon sein gauche ensuite la droite avec ses deux mains. Il s'y prend tellement bien que j'en frisonne. Cinq minutes après sa main gauche descend vers mon anatomie. Mon Dieu quelle est cette sensation ? Je perds complément le nord à l'assaut de ses caresses. C'est tout nouveau pour moi et je ne peux m'empêcher de gémir. Sans crier gare, il me retourne et s'empare de mes lèvres.
Jamais baiser n'a été plus intense. Il se met à me caresser avec son sexe, alors là j'ai peur.

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