CHAPITRE 8

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Rachid Baldé en média.
            ~~~RAÏSSA BALDÉ~~~
Le lendemain je me réveille avec des maux de tête atroce. J'entre dans la salle de bain pour faire ma routine matinale.
Je descends prépare le petit déjeuner et monte réveiller Rachid.
Moi: Rachid lève toi khana tu ne vas pas au travail aujourd'hui ?
Lui: Il fait quel heure ?
Moi(en regardant mon téléphone): 8h15mn
Lui: Quoi?
Il se lève en sursaut.
Lui: Pourquoi tu ne m'as pas réveiller plus tôt .
Moi: Est ce que suis ton réveil moi?
Lui: Même si tu m'as vu dormir jusqu'à pareille heures tu pouvais au moins me réveiller.
Moi: Dafa tel dh. Au lieu de rester là à palabrer va prendre ton bain l'heure ne t'attends pas dh.
Lui: Oui c'est ça.
Moi: Je ne sais même pas pourquoi tu te presses comme ça khana t'es pas ton propre patron. Tchipppppp.
Il ne me répond même pas et entre dans les toilettes. Il prend trop la confiance comme si j'étais sa nounou le petit con.
Je redescends et continue ce que je faisais et quelques minutes plutard il descend et déjà prés suivi des autres.
Après le petit déjeuner il était sur le point de partir mais il se retourne pour me dire.
Lui: Raïssa tu viens avec moi ?
Moi: Pour?
Je me retourne et vois ma belle mère entrain de me faire les gros yeux. Je me lève pour le respect que je lui voue et suis ce connard.
Arrivé au niveau de sa voiture il me dit
Lui: Suis désolé pour ce matin j'avais les nerfs tendus.
Moi: Ok mais la prochaine fois réfléchis bien avant de me parler de cette sorte.
Lui: Wa. D'accord à ce soir.
Moi: Lolou rek ngama done doyé tu pouvais au moins le faire devant ta mère pour qu'elle soit fière de toi ish.
Lui: Je ne vais même pas te répondre.
Il était sur le point de monter quand il se retourne.
Lui: Avant que j'oublie tu en étais où avec tes études ?
Moi: Moi qui pensais que tu t'en foutait.
Lui: Qui t'as dit ça?
Moi: C'est juste une supposition hin calme toi.
Lui: Renvoie la d'où elle vient. Répond à ma question.
Moi: J'étais à ma 2em année de médecine.
Lui: Méde quoi?
Moi: Médecine.
Lui: Ah ok et les cours recommencent quand ?
Moi: Je ne sais pas moi normalement dans 1mois.
Lui: Demain tu y vas pour te renseigner.
Moi: Sans blague ?
Lui: Pourquoi blaguer avec ça.
Moi: Merci.
Lui: Pas la peine. Je ne vais pas t'épouser et te laissé ici. Et demain si tu deviens folle on va dire que c'est moi qui t'es enfermé. Mais je crois que c'est déjà arrivé.
Moi: Tu veux dire quoi par là?
Lui: Rien à ce soir.
Moi: Démal sey taguo beurri naniou wala danga sokhla pass?
Lui: li lay wakhati comment je peux être véhiculé et demander l'argent du transport. Mais au contraire je veux un bisou.
Moi: Dans t'es rêves. Démal sa yone sa guémine bou guoudou bi(avec ta longue bouche là)
Lui(en montant dans sa voiture): Continue à fuir tu vas bientôt entré dans mon trou. Et n'oublie pas de saluer ta sœur pour moi.
Ki mo beurri wakh après son départ je pars directe au marché. Je sors par le garage et attarde mon regard sur la voiture que m'a offert Rachid. Je pense qu'il est temps que je passe mon permis de conduire. Je vais faire des jalouses ma gueule je m'aime trop. Suis une vrai sorcière quand je veux. Ok je me tais.
Je pars vite au marché pour préparer un bon mafé car la "reine"(Habibatou) en a envie elle me soule.
Après avoir fini de préparer le repas je l'ai appel mais à ma plus grande surprise Habibatou me dit qu'elle n'a pas faim.
Moi: Tu n'oses pas kay khana c'est pas toi qui m'avais dit de préparer ce plat?
Elle: Oui mais je n'en ai plus envie khana Leck dou force nak tamit.
Moi: Ok. Mako deff sakh wané wessouwoul sama moromou djiguène yoré lima yorr entrain de me commander et moi sans broncher j'applique. Mais je te préviens la prochaine fois lo beugué Leck la cuisine est là nga noka diouk togual ko sa boppou si tu oses me demander encore une service je....... Je ne vais même pas parlé.
Je sors appelle ma belle mère et après avoir fini de manger je laisse la bonne débarrasser et vais me préparer pour aller retrouver ma sœur on ne s'est pas vu depuis longtemps. Je m'habille comme ça 👇👇👇

Arrivé à l'endroit qu'elle m'a indiqué je l'appel pour qu'elle vienne me chercher

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Arrivé à l'endroit qu'elle m'a indiqué je l'appel pour qu'elle vienne me chercher.
À son arrivée je lui saute au cou.
Elle: Ay way t'as pas vu mon ventre khana.
Je me penche pour voir.
Moi: Mo ton petit ventre là Tchipppppp.
Elle: Mais je n'en peux plus. Bon allons y nak regarde comment les gens nous regardent et deviné ce qu'ils sont entrain de se dire.
Moi: Je suis sur qu'ils se disent "regardez moi ces folles là où va le Sénégal on ne se limite plus à des tapes sur les mains mais on s'enlace et font ce qu'on veut dans les rues" .
Elle: Bien vu. Aller bouge tes béquilles. Tu as vu ce que tu as portée khana sen wa leur guissou nioula.
Moi: Eh meyma daffa tangue.
Elle: Ok. Dans quelques années tu ne vas plus avoir le temps de te faire belle et de porter ces habits qui moulent tout ton corps.
Moi: Oui oui cause toujours.
On continue à parler en même temps qu'on marche et 5 minutes plus tard on arrive devant son immeuble.
Moi: Tu habites ici?
Elle: Oui pourquoi ?
Moi: Rien la dernière fois j'étais avec Rachid quand il m'a dit que son meilleur ami habite ici.
Elle: Ah peut être oui je ne connais personne ici.
On s'installe dans le salon.
Moi: Sérieux tu ne connais personne.
Elle: Oui.
Moi: Et si tu devrais accoucher qui va t'aider ?
Elle: Les gens ne sont pas si ignobles pour me regarder souffrir sans m'aider. Mais je peux aussi appeler tata Awa.
Moi: C'est qui elle ?
Elle: La mère de Moukhamet.
Moi: Hum c'est bon. Et maman tu n'as pas encore parlé avec elle ?
Elle: Non. Comme prévu suis allée chez elle mais elle m'a traînée par les cheveux pour me faire sortir de chez elle sans même penser à mon ventre.
Moi: Ay mane sama yaye diakhal nama. Je ne sais pas ce qu'on lui a fait pour mériter tous ces choses.
Elle: Mais Dieu est grand.
Moi: Hum. Mais yaw tu ne m'as pas dit comment c'était avec le ginéco?
Elle: Je t'avais dit que la première m'avait détectée trois bébés.
Moi: Oui et l'autre.
Elle: Elle a confirmé mais elle y a soustraite un.
Moi: Donc tu veux dire que tu attends deux bébés ?
Elle: Oui.
Moi: Waaw mane dh Moukhamet rek la wolou il est fort dh.
Elle: Pourquoi t'es impolie. Tchipppppp.
Moi: Dara. Mais donc l'autre s'était trompé.
Elle: Cette connasse yobou n'a sama fit bi yeup(elle m'a fait peur).
Moi: Eh c'est juste un accident de travail façon elle t'avait dit qu'elle n'en était pas sur non. Alors faut pas la blâmer elle a juste supposé.
Elle: Wesh c'est ça. Bon assez parlé de moi qu'est ce que tu deviens ?
Moi: Ah suis là dh l'essentiel je respire et mange rek.
Elle: Tu ne penses qu'à ça manger.
Moi:c'est ma vie. Bon ....................
Je lui raconte mes journées et quand elle a su ce que Habibatou me fait elle m'a dit que je ne suis pas comme elle si c'était elle. Elle l'aurait déjà casser la gueule. Mais je ne peux pas faire ça à cause de ma belle mère. C'est une femme respectable alors ça serait un manque de respect si je me donnait en spectacle avec Habibatou. Si elle ne pense pas à ça moi je serai plus mature qu'elle.
Mane dh Diallo diéry niouma beugué rek nioma sonal mais niouma beuguoul daniou mey arrangé rek(il n'y a que les gens qui m'aiment qui me fatiguent) car je suis restée plusieurs mois avant et après ma naissance sans parler avec personne alors ce ne sont pas parce que ces morceaux de personnes ne m'aiment pas et ne me parle pas que je vais souffrir qu'on se disent la vérité way.
Je suis restée chez elle jusqu'à 18h et suis allée voir ma mère il est temps qu'on se parle elle et moi.
Arrivé chez elle une jeune fille m'ouvre la porte.
Elle: Bonjour madame je peux faire quoi pour vous.
Moi: Je cherche ma mère tu peux là dire qu'une de ses filles veux la voir.
Elle: Ah oui bien sûr.
Moi: Merci.
Je vais m'asseoir au salon et quelques minutes plutard je l'entends descendre. Je me lève et fais face à la porte du salon.
Dés qu'elle entre elle affiche un air choqué sur son village avant de changer l'expression de son visage et me dit
Elle:...................................

Partie un peu court mais bon bayilen ma berakhal len li rek pour le moment. Et n'oubliez pas de voter et de commenter.

RAÏSSA DIALLO: MON CHEMIN REMPLI D'ÉPINESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant