«La vraie nature des personnes, est toujours présente, juste qu’il y a un masque qui les recouvrent.
-Niall »
*Côté Ilona*
Je le regarde stupéfaite, je ne sais quoi dire et j’ai peur que cela le fasse fuir, attendant une réaction de ma part. Je reste bloquée, sans savoir, s’il attend quelque chose, ou s’il est occupé dans ses pensées. Je remue les lèvres, cherchant des mots, mais tous pas assez puissant, pour décrire ce que je ressens. Jamais je n’avais eu ça avant. Moi, qui n’entendais parlée que dans les histoires, des jambes qui s’évaporent, des frissons qui envahissent le corps, les bouffées de chaleur, les papillons dans l’estomac rebondissant sur les parois de celui-ci. Je me sens m’envolée, juste sous le poids de son regard, incarcéré dans mes iris. Son visage doit se reflété dedans, mes yeux brilles, comme des paillettes, je suis heureuse, pour la première fois, depuis ma naissance, juste grâce à un baiser. Jamais, je n’aurais crue que cela allait être possible, toujours déçue en amour, ou pas convaincue, je pense avoir trouvée la perle rare, celle qui embellit le collier d’une perle blanche représentant la victoire, mise en avant, contre toutes les perles noires misent en arrières, représentant les défaites. Je me rend compte que je le fixe, avec sa main gauche sur les miennes et sa main droite posée côté de mon visage, son regard pénétrant de le mien, jusqu’à me sentir invisible. Je demeure silencieuse, n’ayant pas de mots sous la langue. Mes yeux parlent pour moi, de toute façon, puisqu’un sourire apparaît sur ses lèvres. Il me regarde, détachant chaque partie de ma peau, scrutant chacun de mes pores. Pour une fois, cela ne me dérange pas que l’on me détaille, j’aime ça venant de lui. J’en deviens vulnérable, pire qu’une poupée de porcelaine. J’en deviens accro, plus fort que de la drogue. Je ne sais pas si un jour, je serais me détaché de lui et de son corps protecteur. Ses bras musclés, m’entourant, son torse aux abdominaux bien dessinés compressent mon corps, j’en rêve. Je me perds dans son regard, dans ses yeux océans. J’aimerais bien m’y perdre jusqu’à la fin de mes jours, mais c’est un rêve, trop lointain, trop improbable, trop inaccessible. Un rêve trop grand, trop fort, trop puissant que pour se réalisé un jour. Le talent de ce rêve, est qu’il me fait chaviré, sans même encore voir les images, ou le son, ou la sensation, ou quoi que se soit. J’ai l’imagination trop débordante, que pour y croire que cela se produira un jour. J’ai un surplus de sensation en moi, la tête qui tourne avec toujours le regard absorbé par ses orbes d’un bleu unique et envoutant. Je me sens invisible sous son regard, comme transpercée. Je ne bouge pas, un soupire sort de ma bouche, j’avais complètement oubliée de respirée, quand nos regards étaient plongés dans celui de l’autre. Je respire de nouveau normalement sous son regard protecteur et inquiète, il caresse mon pouce avec le sien. Je fons de moi-même, n’appartenant presque plus à ce monde, désirant y restée mais emmenée au septième ciel juste en un sourire, en un regard, en un geste, je succombe, je suis tombée sous son charme, alors que je ne voulais pas devenir, un jour, amoureuse, à cause de ma situation. J’ai toujours eue ce don, de vite ressentir mes émotions, de m’en rendre compte, et de ne jamais les ignoré. Je le tire contre moi, totalement allongée, il m’écrase presque de tout son long. Je rigole, à la tête qu’il tire, se vexant légèrement, je frotte mon petit nez contre le sens. J’ai toujours rêvée de faire ça à un garçon, j’ai enfin réalisé ce rêve, avec mon papa, je le faisais, on avait appelé ça, « le nez eskimo ». Une larme coule sur ma joue à la pensée dédiée à mon père, mais aussi à mon passé. Il la voit, l’essuie et me regarde avec ce regard qui vous laisse sans voix, sans souffle, sans pensée, qui délègue en vous, une tempête dans tout le corps, vous submergeant comme un tsunami, vous percutant comme un poteau dans la rue.
*Côté Niall*
J’aimerais savoir, pourquoi est-ce qu’elle pleure. C’est de ma faute ou non, son passé, un manque. Je suis sûr, que je préfères la voir sourire, même si c’est timide et loin d’être à pleine dent, mais au moins, ce n’est pas une larme.
Moi : Pourquoi, y avait-il une larme sur ta joue ?
Elle : Ce n’est rien.
Moi : Il y a bien quelque chose ?
Elle : Oui mais rien d’important.
Moi : Tout ce qui a un rapport avec toi est important pour mes yeux.
Elle : C’est juste, la nostalgie.
Moi : Je ne te crois pas, il doit y avoir une chose en plus, un manque, un souvenir ?
Elle : Mon père, il est mort et oui, il me manque, le petit truc que j’ai faits avec ton nez, je le faisais avec lui, on avait appelé ça « le nez eskimo ».
Moi : C’est mignon.
Elle : Il me manque.
Moi : Ne t’inquiète pas, je serais là pour le remplacé pour ta protection.
Elle : Merci.
Moi : Il n’y a pas de quoi.
J’avais découvert une nouvelle parcelle d’elle, un nouveau morceau brisé, venant du passé en plus. Je ne m’étais jamais rendu compte à quel point elle était sensible, j’ai peur quand lui avouant la vérité, elle ne se fragilise encore plus, si cela est encore possible. Elle me regarde avec se regard, qui me fait tombé de mon pied d’escale pour atterrir sur le sol, avec dans le regard, des millions d’étoiles et de petites étincelles. Je dois rester comme même infroissable, je retournerais ma veste au dernier moment, je ne sais même plus si j’en serais capable. Je fuirais ma famille, avec elle, main dans la main, seuls contre le monde, on vivra un amour impossible et interdit, ce ne sera pas comme dans les romans à l’eau de rose, se sera plus pimenté, il s’en fait la promesse, que même si elle doit fuir pour le restant de sa vie, de risqué la sienne pour elle mais de la comblée d’amour. Cette fille me fait tellement d’effet que je ne sais plus contrôler mes mots, ne réfléchissant, même pas avant de parler, je disais tout ce qui provenait de mon cœur sans retenu. Il la pourchasse pour la faire souffrir, maintenant c’est par amour, qu’il va la pourchassé et la conquérir.
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Dark thoughts||n.h
FanfictionCe n’est pas comme dans les contes. Ce n’est pas pour les enfants. Ce n’est pas que du mal, ni que du bien. C’est bizarre. C’est du rien mais aussi de tout. C’est du Niall et d’Ilona. Il n’y avait qu’eux deux pour écrire leur histoire de la sorte. I...