Dark thoughts||n.h

09

« Je cours à travers champ, en espérant voir ta silhouette accourir vers la mienne pour me prendre dans tes bras.
-Ilona. »

*Côté Niall*

Je suis en tôle, définitivement, je réfléchis pendant ce temps, en tournant en rond dans ma cellule provisoire, le temps de me trouvé une vraie prison, il me croit coupable de sa disparition maintenant et que je voulais juste éloigner les regards de moi, ce qui n’est pas le cas puisque je ne sais même pas où elle est. Je réfléchis, réfléchis, comme jamais je n’ai réfléchis, elle me trotte dans la tête. J’espère qu’elle ne risque rien. J’essaye de me rappelé, où pourrait aller ma mère, pendant des heures et des heurs, je tourne en rond, sans avoir une seule étincelle. C’est en allant vers ma future prison, en voyant les champs qu’une idée me vient. Les policiers ne veulent rien entendre. Je m’échapperais de cette prison, avant même d’y entré. J’espère que si elle va là, le fermier de la région, super méfiant, et un chasseur professionnel, la sauvera.

*Côté Ilona*

Je cours dans les champs, puis des coups de feu retentissent, ils vont dans ma direction. Je les évite et puis un, me touche la jambe gauche, me faisant m’écrasée lourdement sur le sol. Un homme avec une carabine arrive vers moi, voyant que j’étais une humaine et non un animal et que je gémissait comme une baleine échouée sur la plage, il me relève et m’amène jusque chez lui.

*Ellipse de quelques mois*
*Côté Niall*

Les jours passant, les semaines continuent et les mois traversent. On n’a toujours pas retrouvée Ilona. Aujourd’hui est le jour de l’évasion, quelques prisonniers de mon côté et qui veulent la liberté, sont avec moi dans cette évasion. Il y en a même un, qui comme il n’a rien pour sortir, me promet de tué ma mère quand il sera sortit, pour que je sois tranquille avec ma bien aimée. Je sais que c’est mal de vouloir ça, mais je n’y peux, parce qu’ou sinon, je le ferais de mes propres mains et la souffrance sera plus grande. Elle n’avait pas à faire du mal à celle que j’aime, même si c’est à cause de ce que sa famille à fait, et de la jalousie aussi. Sa famille a détournée de l’argent de la mienne, la arnaquée, tuée un membre de la famille, mais c’était il y trois générations, du côté de ma mère et de la sienne, aussi une cérulée d’amoureux du collège et une compétition de la plus intelligente, sportive, aimée et jolie de l’école. Cela a continué de génération en génération, mais il n’y avait que des filles, on est les seuls garçons, et il a fallut qu’un tombe amoureux. Je serais le dernier restant de ma famille, plus de parents, plus de frères, plus rien, juste elle, qui représente tout pour moi, elle est plus importante que la terre en elle-même. On profite de la promenade de sortie et saute dans le ravin, sans même être vu, on escalade le mur. Cette prison n’est pas très bien protégée. On fait la courte échelle. Je sors enfin libre, un coup de feu, on s’est fait repéré maintenant c’est chacun pour soi, sauf que je me suis lié d’amitié avec celui qui va tuer ma mère. Il est un homme bon et n’a rien fait, je le sauve d’un coup de feu en le poussant, la balle éraflant ma peau de mon épaule. Nous courons vers là, où je pensais qu’elle était. Pendant plusieurs jours, nous devrons fuir, nous caché mais je sais qu’on y arrivera. Je tiens trop Ilona que pour la faire souffrir. J’aimerais envoyer un signal au fermier, pour lui demander mais c’est plus rapide, de courir vers elle.

*Côté Ilona*

Je suis devant la télévision tranquille, aux informations, il passe une évasion de prison. Il y a Niall dedans. Je reste bloquée sur son visage, il est fatigué mais encore si mignon. Il s’enfuit, mais pourquoi. Le fermier qui m’héberge et qui a tué la mère de Niall, à la carabine croyant qu’elle aussi était un animal.

Moi : Vous en connaissez un ?
Lui : Oui, le blond, Niall, vous en connaissez un aussi ?
Moi : Le même que vous. C’est mon petit-ami.
Lui : Je le savais, c’est pour ça que je vous aide, il m’avait averti, on se connait depuis qu’il est tout petit, c’est moi qui lui ait apprit à pêché. Il était adorable, plein de malice, et surtout déjà très protecteur et respectueux. Un vrai petit garnement qui faisait les 400 coups mais qui était bon à vivre, maintenant c’est un jeune homme qui a enfin ouvert les yeux sur le pouvoir que ses parents avait sur lui grâce à toi, je le lui répétais mais il ne m’a jamais écouté.
Moi : Racontez-moi tout, j’ai envie de tout savoir sur lui, parce que je ne sais pas vraiment grand-chose.

Il me raconta tout, j’en pleurait de rire. Il était parfait enfant, quand il n’était pas avec ses parents. Toutes les petites gaffes qu’il faisait et qu’il essayait de caché mais le fermier avec ses yeux de chasseur, remarquait toujours tout. J’aurais tant aimée le connaître à cette époque-là.

Les jours passent sans qu’il n’arrive, le stress monte ainsi que des millions de questions. Je n’ai plus rien à craindre donc je pourrais sortir d’ici, mais comme il vient me cherché ici, et que le fermier a encore des millions de choses et d’histoires à me dire sur lui que je reste.