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« A deux contre le monde, main dans la main, on est plus forts, que chacun de son côté.
-Ilona. »

*Côté Ilona*

Je suis avec une lettre dans les mains, qui me prouve bien ce qu’il m’a dit il y a plusieurs jours, il est bien leurs fils, ils me surveillent toujours, et on trouvé la supercherie de leur fils. Ils le préviennent de me détruire. Il a lu la lettre, maintenant, il prépare des sacs et de l’argent pour fuir, ensemble, à deux, contre le monde. Il me prouve son amour, et me montre que je ne dois avoir aucun doute. Il m’appelle. Il prend ses clés de voiture et nous voilà partir à fuir, de nouveau, mais par ses parents. Ce qui est bien c’est qu’il sait leur technique, il sait comment les semés, les faire tournés en rond, les faire prendre la mauvaise piste. Il les connait, à deux on est plus fort. Nous entamons notre route, vers la liberté.

*Côté Niall*

On a roulé toute la journée, jusqu’à en avoir mal aux fesses à force de resté assit. On arrive dans un hôtel, j’ai laissé des fausses pistes à mes parents. Je ne les ais pas trahis, mais l’amour est plus fort. Durant presque tout le voyage, elle avait sa main endort de la voiture, prenant le vent, et faisant de temps en temps des vagues. Elle n’a jamais connue se plaisir là. Je le lui fais connaître. Tout ce qu’elle n’ pas vécue, et qu’elle peut encore vivre, elle le vivra grâce à moi. Je ne veux pas la déchirée. Je ne suis plus ce démon, elle fait ressortir l’ange qui est en moi. Nous demandons une chambre, et puis après avoir eu les clés et payé, on monte vers celle-ci. Pour ne pas attiré l’attention on ne reste pas plus de deux, ou trois nuits ici. Je tiens à elle, je ne veux en aucun cas qu’elle soit mal. Elle va mieux, ses joues ont repris des couleurs et se sont « regonflées ». Ses mains ne sont plus abîmées, ses cheveux sont de nouveau parfait, elle n’a plus ce regard absent et proche de la mort. J’admire sa force plus que tout. Elle représente le monde pour moi, tout mon univers, mon appartenance à cette terre, ma vie, ma place, mon souffle de vie, mon espoir que le monde soit beau, ma force grâce à ca dureté. Elle est tout à la fois, je ne sais pas comment j’ai pu me faire manipulé par mes parents, pour en revenir à croire que je la déteste, et qu’elle est responsable du fait que mon frère vit sa vie. Je pense changer de pays, pour tout lui faire visiter. Un jour, on sera tranquille, mon frère a apprit, et même si il ne la pas dit à nos parents, il est de mon côté. Je sais que je ne suis pas seul là dedans. Je ne le serais plus jamais.

*Ellipse de quelques mois*

On est toujours traqué par mes parents mais il y en a un qui est mort. Mon père a voulu tué mon frère parce qu’il m’aide, en légitime défense, il la tué. Je ne lui en veux pas, mon père ne m’a jamais montré le moindre signe d’affection. Avec Ilona, il n’y a pas trop de problème, quelques engueulades par-ci, et d’autres par-là mais on a besoin de l’autre alors on finit toujours par un câlin après la dispute. Elle sort de la salle de bain, en culotte et en t-shirt m’appartenant. Je l’invite à s’assoir à califourchon sur mes genoux, ce qu’elle fait. On se regarde pendant quelque minutes, ensuite vient le baiser fougueux, passionné. Les langues jouent ensemble. Mes mains remontent du bas de son dos jusqu’en haut, en passant en dessous du t-shirt, je dégrafe son soutien-gorge, que d’habitude elle enlève juste avant de dormir. Un sourire sur ses lèvres apparaît. J’en suis totalement ravis. Elle soulève mon t-shirt et le retire, le faisant voler à l’autre bout de la chambre. Je fais de même avec le sien, elle tient son soutien avec ses bras, qu’elle serre contre son corps. Mettant ma tête dans le bas de son coup, elle rigole, je pense que je la chatouille. J’embrasse une micro partie de chacun de ses seins qui n’est pas caché par le soutien-gorge. Un petit frisson la parcours, j’aime bien. Elle finie par retirée son soutien-gorge doucement, sensuellement. Je m’allonge sur le lit et la laisse se mettre au dessus de moi, en califourchon. Elle m’embrasse, langoureusement, un vrai plaisir. Je passe mes mains sur ses fesses et m’y attarde. Les malaxant au passage. Elle ouvre la braguette de mon pantalon, tout en m’embrassant. Je l’aide a retiré mon pantalon. Enfin enlevé, elle joue avec l’élastique de mon boxer, me donnant des impressions de le retiré et puis plus. Je passe mes pouces sur les côtés de la culotte, et puis y glisse mes pouces. Je le retire un petit peu d’un côté et puis de l’autre, ensuite je remonte et je recommence. Elle finie par retirée mon caleçon d’un seul coup, je fais de même avec sa culotte. J’inverse les rôles, c’est maintenant à mon tour d’être sur elle. Je la regarde dans les yeux, en insistant dans mon regard, si je peux. On n’a pas besoin de parlé ou de mot pour se comprendre, on se parle dans nos regards. Un hochement de tête de sa part, m’indique que je peux. Je ne suis pas totalement sûr, qu’elle soit certaine de le faire. Je me demande si elle ne s’oblige pas, juste pour moi, ce que je ne veux pas du tout. Je ne veux l’obligé en rien, je serais attendre le temps qu’il faudra.

Moi : Tu es sûre ?
Elle : Oui.

Je n’insiste pas plus longtemps et la pénètre. Notre partie de jambe en l’air commence doucement et se finie très rude. On est tout les deux assoiffé par le désir de l’autre jusqu’à ne plus savoir respiré. Je me sépare d’elle, me couche à côté d’elle. Elle se lève remet sa culotte et se couche, juste à mes côtés, sa tête sur mon torse, mes mains autour de sa taille, la sensation de son corps près du mien, me donné une bouffée de chaleur. Cela fait maintenant 4 mois que nous fuyons et c’est notre première fois. Souvent on se cherchait à s’embrassé, mais enfin, on a traversé le pas ensemble. Cela fait aussi une peu plus de 6 mois, que j’ai 18 ans. Nous sommes toujours en Irlande, on va bientôt changer de pays. Ma mère a perdue notre trace, on prend plus de bon temps maintenant, mais avec toujours cette peur, qu’elle n’arrive pas surprise. Ma mère veut la mort d’Ilona, mais je ne la laisserais pas faire. S’il le faut, je mourrais, à sa place. On s’endort, comme si le monde était enfin devenu beau au dessus de nous. Ce fut ma meilleure fois, et elle seule pourra faire changer ma pensée, lors d’une autre partie de jambe en l’air. Jamais je n’ai autant désiré, une fille de ma vie, elle est différente, elle est la bonne. Son visage est plus rayonnant qu’avant, il n'est plus ternit, elle presque plus aucune trace de son passé. Je me sens si bien avec elle, dans mes bras. Durant toute ma vie, il m’avait manqué quelque chose, un manque gros et sombre, profond et douloureux, elle l’a bouchée, juste en un sourire. Je ne me suis plus jamais comporté comme je l’avais faits quand elle a voulue partir. Je ne suis plus le même, j’ai changé, je suis enfin quelqu’un de bien, qui ne cherche juste qu’à vivre pleinement avec la fille qu’il aime. C’est trop demandé pour ma simple petite vie. Je ne regrette rien de tout ce que j’ai fais que se soit dans le passé, dans le présent, ou même dans le futur, je ne regrette rien parce que maintenant, elle est à mes côtés, et elle une étincelle qui brille dans les yeux. Elle est plus instruite que moi, pourtant, c’est moi qui suit allé à l’école. Je ne souhaite que voir son sourire. Ma petite bulle de bonheur ne dure pas longtemps, toujours quelque chose pour venir gâcher le paradis parce que je me réveille à cause d’un bruit. Elle aussi, on se regarde, puis on voit une silhouette, féminine dans la chambre. Je ne distingue pas son visage, il fait trop sombre. En l’espace d’une seconde tout bascule.

Dark thoughts||n.hOù les histoires vivent. Découvrez maintenant