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« Même a des kilomètres, je sens ton odeur, je te retrouverais.
-Niall. »

*Côté Niall*

Je suis dans un lit d’hôpital, depuis plusieurs jours, j’harcèle les médecins, jusqu’à même les tabassé pour qu’il me fasse sortir d’ici. Sans elle, je redeviens se monstre assoiffé de sang, de destruction. Il m’envoi dans un asile, je ne suis pas fou, je suis juste en manque, en manque d’elle. Cela fait plusieurs mois, que tout le monde cherche après elle, et que personne ne la trouve mais moi, je sais qui la retiens. C’est ma mère, elle la emprisonnée, empoissonnée, torturée, peut-être même supprimée à cette heure-ci.

*Côté Ilona*

Le temps passe, comme un compte à rebours, je cours avec la mort au trousse. Les secondes s’empilent, les minutes passent, les heures défilent, les jours s’accumulent, les semaines s’écoulent, les mois s’enchaîne, sans que je ne puisse voir un rayon de soleil, ou une ombre d’espoir. Je suis trop naïve que pour pensée qu’un jour, elle me laissera sortir. Je n’attends que Niall, qu’il vienne me sortir de là, mais je suis peut-être aussi trop naïve que pour croire qu’il viendra à mon aide, que si cela se trouve, il a organisé tout ça. Je suis trop stupide, que me rendre compte réellement des choses. Je fais tout ici, tout pour elle, mais ce n’est jamais suffisant. Je me fait torturée, battre, fouettée, assommée, saignée. J’ai l’impression que bientôt, elle va me coupée un doigt, juste parce que j’ai laissée une poussière ou juste pour le plaisir. Je n’ais pas le droit de parlée, juste le silence. Je peux manger qu’une tartine par jour, nature, et boire 1l d’eau. Elle m’attache les chevilles et les mains avec des chaînes, qui me brûlent et déchirent la peau. Elle me viole avec des objets trouvés, parce qu’elle n’est pas un homme. Elle allume un briquet et me brûle des parties de mon corps. Elle me taille la peau. Elle me fait tellement de chose, comme me pendre par les deux bras pendant plusieurs heures, planté un couteau dans une partie de mon corps, m’étouffe dans un sac plastique mais avant que je ne m’évanouisse, elle le retire. Tellement de choses aussi horribles, les unes que les autres, que ma mémoire préfères les oubliées. J’aimerais bien m’échappée de ce lieu, de cette usine abandonnée reconvertit en mini appartement parce cette folle. Je suis sur mon lit, à me tenir le ventre, pour arrêté l’hémorragie qui est en moi. Mes draps blancs deviennent vite rouge, gorgé de mon sang qu’ils absorbent. Je ferme les yeux et espère que c’était mon dernier souffle sur terre. Je m’assoupis dans mon nuage, l’espoir que la vie me quitte et que je me fasse balayée de cette terre. Je n’ai plus de monde, plus de pilier, je ne suis plus qu’un rien, qui vit malheureusement encore. Ou bien Niall vient me cherché, ou bien je meurs.

*Ellipse de quelques mois*
*Côté Niall*

Je suis avec la police, devant cet entrepôt, j’ai pu les aidés à la retrouvée. Ou bien elle est ici, ou bien je suis mis en tôle pour entrave dans une enquête. Avec un bélier, les policiers défoncent la porte. Une chaise au milieu de la pièce, avec des rubans et du sang par terre. Elle était ici. Je cherche sur les murs, quelque chose, comme un truc de secret. Les policiers me regardent bizarrement, mais je sais que ma mère c’est bien caché. Je trouve, un renfoncement, qui mène à un escalier. Tout en haut, il y a un appartement, elles sont là , à moins que ma mère ne soit déjà partie. Le stress monte, l’atmosphère est palpable, je m’arrête presque de respiré. Je la retrouverais à l’autre bout du monde. Plus personne.
*Côté Ilona, pendant ce temps*

On a quitté l’usine désaffecté, pour la route, dans une camionnette, menottée à celle-ci. Elle m’a empoisonnée, ou plutôt droguée pour me faire venir ici et pouvoir m’attachée en paix, sans attiré le regard d’intrus. Elle est très intelligente, je dois le reconnaître mais pas assez pour m’affrontée. Je me détache sans soucis, me contorsionne les mains, je ne suis plus attachée. Je suis devenue très souple des mains pour enlevée des menottes. Je fais semblant d’être encore attachée et sous l'effet de la drogue du violeur. On arrive, j’attends qu’elle soit près de moi, pour lui assenée un coup et partir en courant. Elle est au dessus de moi, les pieds dans le ventre et ensuite je me relève, un coup de genou dans le crâne et m’enfuis, comme à mon habitude. Je cours sans même savoir où je vais, sans même prendre conscience des dangers que je pourrais encourir. Je suis enfin libérée de ses griffes, je le serais à tout jamais.

Dark thoughts||n.hOù les histoires vivent. Découvrez maintenant