Erh 44

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Aïda débarqua sur l'île ou séjournaient les pirates le temps des réparations du vaisseau. Heureusement pour elle elle avait entendu la nom de l'île et n'avait eu aucune peine à la trouver.

A sa grande surprise l'équipage était au complet,  seule la capitaine manquée à l'apelle.

-Où est elle ? Demanda froidement la rousse aux pirates.

-Tu n'as qu'à chercher. Déclara un pirate en sirotant un boisson verdâtre.

-Ne voyez vous dont pas qu'elle est liée à tous ses massacres ?  -Visiblement elle agit seule mais de toute évidence vous'..

Aïda n'eut pas le temps de terminé son propos que Boris l'attrape  par le col de sa chemise et la souleva du sol.

-Tu commences à m'agacer la rouquine. Même si Eoly semble te porter de l'intérêt ce n'est le cas d'aucun d'entre nous. Tu peux accuser à tord Eoly si ça te chante. Nous savons ou elle est et ça n'est pas elle qui a causer le massacre au marché.
-Tu étais là tu as vue"..

-J'ai vue votre capitaine ce battre avec une femme. Voilà ce que j'ai vue. Affirma sèchement la rousse.

-Tu oublis les créatures ?Qui ont disparues en même temps que l'usurpatrice. Remarqua un pirate.

-Ou est Eoly? Insitat  la cors'Erh  en ne relevant pas les propos du pirate.

-Là ou elle est. Déclarèrent les pirates.

Aïda soupira et défia du regard Boris afin que celui ci la lâche.

Il n'en fit rien.

Il promena dans les airs la cors'Erh jusque dans un petit local technique ou il ce décida enfin à la poser au sol.

-Aïda. Eoly à foi en toi. Je ne sais pas pourquoi, mais moi j'ai foi en elle. C'est pour cette unique raison que je te laisse la vie sauve et que mes camarades ne te toucheront pas non plus. Déclara celui ci en tournant le talons.

Aïda pesta puis repris la navette en direction de la capitale.

~

Après une nuit à naviguer dans les îles perdus, c'est en début de matinée que la cors'Erh amarra à la capitale.

Aussitôt elle enboîta le pas en direction du palais.

Rapidement les regards des passants ce trouve interpellée par la jeune femme.

Aïda les ignores, que ça soit le roux ou le rouges de ces cheveux cela lui était  bien égale.

Mais pour une fois ça n'est pas sa chevelure qui interpelle les gens..

C'est en passant dans une rue marchande qu'Aïda comprit. 

Elle ralentit devant une etale de miroirs et remarqua que malgré son éternel tour de cou ainsi que son couvre chef, une veine violatre remonte jusqu'à sa joue droite.

La corsaire avait tellement ignoré la douleur qu'elle n'avait prêté aucune attention à l'évolution de la morsure.

Elle haussa les épaules sans plus d'inquiétude, la lucidité toujours présente elle releva son tour de cou jusque son nez ne laissant paraître que ces yeux orangé.

La démarche toujours déterminée, elle pressa le pas en direction du palais.

Aïda et le courant d'ErhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant