Aïda et le courant d'Erh

Erh 51

Aïda s'enfonça dans les canalisations des égouts pour arriver à la royauté sans ce faire repérer. Elle sortie devant l'entrée des domestiques, assoma un soldat et s'empara de sa tenue.

Elle qui voulait de tout son coeur porter cette tenue et servir la capitale réalisa avec amertume l'écart entre ce rêve et la réalité. Malgré tous ses efforts elle ne saura jamais membre de la garde royale.

Elle reussit a aller jusqu'au palais principal sans eveiller les soupçons mais ses mèches de cheveux rouges et sa silouhette ne tardèrent pas a faire tourner les regards.

Rapidement une troupe de soldat la tracas. Elle courru en direction du palais royale. Il lui fallait parler au roi.

Elle bouscula des domestiques, ce rua sur des meubles et barricada son passage.

Elle entra enfin dans le salon du roi.

Elle le vit et s'arrêta.

-Majesté! S'exclama t'elle.

L'homme était assis au fond de la salle avec son fils cadet.

Elle courru vers eux avant de s'arrêter net .

-Que...'

Le roi est mort. La gorge tranché. Le prince lui avait été poignardé en plein coeur.

-Gardes!!hurla le ministre des lois.

Une vingtaine de soldat débarquèrent dans le salon et ce jetèrent sur la rousse.

Elle soupira de rage. Etait ce un coup monté ? Tous cela etait joliement bien orquestré...

Voyant les soldats autour d'elle. Elle laissa les flammes de sont corps apparaitre et l'entourer. Ce qui créea la stupéfaction et la peur chez beaucoup d'entre eux. Notament chez le minsitre.

Aïda dessina un cercle de flammes autour d'elle la séparant des soldats.

-Je ne sais pas ce que vous pensez mais je n'ai rien fait au roi et a son fils. Je venais leurs parler.

-Pour le roi ! Hurla un soldat en ce jettant aux travers des flammes et en chargeant son epee, il fondit droit sur la jeune femme de feu.

Elle parra de justesse son coup d'épée ,le balaya d'un coup de pied et pris possession de l'épée du soldat avant de la retourna sous la gorge de celui ci.

Ses camarades s'arrêtèrent un court instant puis reprirent.

Aïda assoma d'un coup de pied l'homme et ce prépara au combat.

Elle empila rapidement les soldats blessés et ou inconscients / mis K.O.

-Vous voulez me faire croire que cest une malheureuse coïncidence ?
Alors qu'en vérité vous couvrez les crimes d'Eoly. Peut-être est ce même vous qui avez accompli la mission qu'elle vous a confié en supprimant deux des membres de la royauté. Le fils ainé est en voyage de noces dans l'autre monde, une chance. Vous ne pouvez pas le tuer. Et je ne vous laisserai pas l'occasion d'essayerde nuir d'avantage.

Une trentaine d'hommes supplémentaire entrèrent dans le palais et ce ruèrent sur elle.

Elle aurait pu les bruler vif. Mais ils ne faisaient qu'obéir et elle ce débattre.

Elle chercha une fenêtre une porte une issue a ce combat perdue d'avance..

Elle n'en eu pas le temps. Un poingt s'abatta sur sa machoire avant d'être suivi par un coup de pied puis un autres.

Elle ce fit ruer de coups.

Inconsciente par la violence de l'assaut elle ce fit embarquer par les soldats.

Résignée elle ne donna plus le moindre signe de resistance même une fois éveillée dans le cachot.

Si le roi ne pouvait plus l'écouter. Si le ministre la voulait coupable et si les soldats ne la croyaient pas. Comment pourrait elle etre entendue?

Il y a le prince aîné . La reine mère et les 3 filles du roi. Mais sont ils encore en vie?

L'Aube sonna. Le bourreau passa devant Aïda. La hache en main il l'observa un moment avant de poursuivre sa route.

Elle navait pas dormir, elle avait réfléchir toute la nuit. Elle avait encore un espoir d'être entendu. L'avis du peuple.

Les executions de pirates et de cors'Erh étaient toujours faites en publjc pour montrer au peuple ce qui arrive quand on s'égare et pour leurs prouver que la royauté puni sévèrement tous individues qui s'éloignent du droit chemin et qui va a l'encontre des lois.

Elle allait mourir. Mais pas sans ce battra pour la vérité. Jusqu'à son dernier souffle, jusque son dernière instant. Jusqu'à ce que sa tête roule sur les pavés de la capitale.

Elle hurlera la vérité.