Bonjour/Bonsoir, je voulais vous dire que je suis désolée pour le temps que j'ai mit pour publier ce chapitre, mais j'ai eu dû mal à le commencer, ainsi que pas beaucoup de temps pour l'écrire. J'espère que la première partie vous plaîra :) Bonne lecture !
Chapitre 30 : Amélia - 1ère Partie
Ouvrant doucement les yeux à ce nouveau jour, une lumière intense me transperce les pupilles, affreusement lourdes, complètement embrumées par celle-ci. Néanmoins, je perçois une voix très nettement. Une voix d’homme.
— Mademoiselle, vous m’attendez ? me demande la voix.
Après un instant, mes yeux s’habituent à la lumière du jour, où je découvre un homme vêtu de blanc à mes côtés, sûrement la voix qui a parlé. J’aventure ensuite mon regard sur la pièce, tout ce que je peux apercevoir son : des lits d’hôpital ainsi qu’une machine à côté de chacun. Où quelques personnes y sont allongées. La pièce est d’une blancheur extrême où la lumière de jour reflète à en faire mal aux yeux. Reportant mon intention sur l’homme aux cheveux et yeux bruns, j’en déduis que c’est un docteur.
— Euh… Oui…, réponds-je avec difficulté, la bouche sèche. De… l’eau s’il vous plaît…
— Tenez, me dit-il en me tendant un verre d’eau.
— Merci, docteur.
Buvant mon verre d’eau d’une traitre, je lui rends où je sens une douleur insupportable venant de mon ventre me fait gémir. Qui alerte l’homme.
— Où avez-vous mal, mademoiselle Rousseau ?
— J’ai mal au ventre ainsi qu’à la tête.
— Je vais demander qu’on vous augmente l’antidouleur, mais de vous inquiéter pas ceci est normal.
— Pourquoi je suis à l’hôpital ? Et cela fait combien de temps que je suis ici, docteur ?
— Vous avait eu un accident qui vous a plongé dans un coma durant 4 mois, mademoiselle.
— Je ne me souviens de rien, de quel accident s’agit-il ?
— Un accident de la route, mais quel est votre dernier souvenir ?
— Tout ce que je me souviens c’est d’avoir parlé avec ma meilleure amie, et puis après c’est le trou noir.
— Hum… Nous avons vous faire quelques examens complémentaires. Pour nous assurer que vous êtes en bonne santé, me dit-il d’un ton rassurant.
— Quand je pourrais voir ma famille, docteur ?
— Dès que nous aurons fini les examens, me répond-il en me souriant. Bon, je vais demander à une infirmière d’augmenter votre antidouleur, et on se revoit dans moins de dix minutes.
— D’accord.
Partant à l’ opposer de la pièce vers une porte blanche où il disparaît finalement, pour laisser place à une jeune femme rousse, plutôt mince et très jolie, aussi vêtue de blanc venant vers moi en me souriant. Elle me salue avant de s’occuper de ma perfusion.
— Voilà mademoiselle, j’ai augmenté votre antidouleur d’ici un petit moment vous ne sentirait plus rien, me dit-elle en me souriant de toutes ses dents.
— Merci.
Me laissant seul j’attends le retour du docteur qui revient comme prévu huit minutes plus tard, comme me l’indique l’horloge murale en face de moi. Après m’avoir demandé si je me sentais mieux, nous partons vers une grande porte blanche que je n’avais pas remarquée, car elle était derrière moi. Il y conduit mon lit vers un long couloir blanc, puis nous arrivons en face d’un ascenseur où nous pénétrons à l’intérieur. Au bout de cinq secondes, les portes s’ouvrent de nouveau, où le docteur me conduit vers un autre couloir, avant d’arriver devant une porte qui ouvre en grand, puis nous entrons. Une grosse machine argentée trône au milieu de la pièce, surement la machine qui va me scanner…
L’infirmière de tout à l’heure pénètre dans la pièce avec un autre infirmier brun, assez grand, mais avec des yeux bleus océan magnifiques, il ne doit pas avoir plus de la trentaine. L’homme se dirigeant vers moi en me souriant me salue avant de me porter délicatement pour me poser sur la machine, avant de se retirer de la pièce.
— Bon nous allons commencer, cela ne devrait prendre que quelques minutes. Êtes-vous prête ? me demande le docteur.
— Oui.
Dix minutes plus tard, les examens sont terminés, l’infirmière m’amène dans une nouvelle pièce, une chambre. Où un autre infirmier me dépose sur mon lit, avant de repartir. La jeune femme vérifie l’installation de la perfusion.
— Pourrais-je bientôt voir ma famille ? lui demandé-je alors qu’elle finit son installation.
— Oui, je vais aller les prévenir, mais après vous devait vous reposer mademoiselle Rousseau.
— D’accord.
Elle part suite à notre petite conversation, auparavant de réapparaitre avec cette fois mes parents, mon frère et ma meilleure amie. Tous les yeux larmoyants prêts à couler.
— Oh ! ma chérie ! Tu nous as tellement fait peur ma puce ! me dit ma mère en pleurant à chaude larme, puis venant me serrer dans ses bras.
— Ma princesse ce que tu m’as manqué ! s’exclame mon père avant de me donner un bisou sur mon front.
— Alors, sister, tu aimes nous faire peur hein ? Que je t’aime sœurette ! déclare mon grand frère en me prenant dans ses bras.
— Je t’aime aussi grand frère ! Et je vous aime aussi papa, maman, soufflé-je entre mes larmes de bonheur.
— Et moi alors tu m’oublies ?
— Bien sûr que non ! Tu sais très bien que je t’aime ma chérie ! réponds-je à ma meilleure amie.
— Moi aussi je t’aime ma chérie. Qu’est-ce que tu m’as manqué, me dit-elle en me prenant dans ses bras. Avant que la porte s’ouvre de nouveau.
Après un petit moment, j’aperçois Enzo, le copain de Rose, suivi d’un jeune homme super mignon.
— Alors comment vas-tu, Amélia ? me demande Enzo.
— Je vais bien, merci.
Il vient aussi me faire un rapide câlin, puis laisse la place à l’homme qui me regarde les yeux remplis de larme. Avant de venir m’embrasser sur la bouche, tout en me serrant contre lui.
— Ce que tu m’as manqué ma puce, plus jamais tu me laisses aussi longtemps seul sans toi, d’accord mon amour ? me demande-t-il en sanglotant de tout son être.
— Mais qui êtes-vous ? lui demandé-je complètement perdu et troubler par cet homme magnifique qui vient de m’embrasser.
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Au-delà de l'interdit (relation prof-élève)
RomanceRésumé : D'un point de vue extérieur, la vie de la jeune femme Amélia Rousseau, âgé seulement de 17 ans, ressemble à une vie de rêve: grand appartement avec des domestiques 24H/24, 7J/7 à exaucer ses moindres caprices ; l'argent qui coule à flots...