Au-delà de l'interdit (relation prof-élève)

Chapitre 14 : Amélia

Bonjour à tous, je voulais vous dire que il y a un moment un peu haute dans ce chapitre ;) Merci de me suivre et bonne lecture <3.

Chapitre 14 : Amélia

Je viens de passer une semaine à ne faire que de penser à longueur de journée et de rêver toute les nuits à nos baisais enflammer devant la boite de nuit. Et ça fait aussi une semaine que j’attends qu’il m’appel car il doit m’appeler ! Je sais que je lui ai dit de m’appeler si il changer d’avis mais il faut qu’il change d’avis car j’en peux pu de tourner en ronds, je veux l’aimer, l’embrasser, le toucher, le sentir en gros je le veux tout entier. Dès que je pense à lui (quasiment 24H/24), j’ai des millions de papillons qui volent dans mon ventre, j’ai chaud et je fonds comme de la guimauve. Je le veux !!! Mais quand je repense à la fin de la soirée et qu’il me traite de gamine tout s’effondre sous moi, l’amour que je lui porte se transforme en colère et envie de vengeance, je veux lui rendre la monnaie de sa pièce.  

Je décide de me lever de mon canapé cosy de ma chambre et d’aller prendre un bon bain dans ma salle de bain. J’ouvre le robinet de ma baignoire à l’ancenienne en marbre blanc en y versant diverse produit sentent la lavande, j’adore ! En attendant qu’elle se remplisse, je pose mon téléphone sur le coter du lavabo en marbre blanc aussi, comme toute le reste dans ma salle de bain. Je me fais un masque, après cinq minutes j’arrête le robinet et enlevé le masque que je me suis appliquer. Je fini par retirer chacun de mes vêtement avant de rentrer délicatement dans mon bain chaud et parfumant. Quinze minutes plus tard, j’entends mon téléphone sonner sur le lavabo alors que je fais toujours trempette. Je me lève aussi vite pour aller répondre mais en sortant de l’eau je clisse sur les fesses à cause de mes vêtements éparpillé au sol. Je me redresse en laissant échapper un petit cri de douleur avant de répondre sans regarder qui la personne.

-          Amélia ? me demande une voix d’homme que je connais mais que je n’arrive pas à mettre de prénom dessus.

-          Oui, c’est bien moi. Puis-je savoir à qui je parle ?

-          A Lucas, monsieur Dubois si tu préfères, me réponds la voix que je désespérais à ne plus entendre à part au lycée. Je décide de faire comme si je ne le connaissais pas pour ma petite vengeance personnelle.

-          Désoler monsieur mais je ne connais personne de ce nom là car la seule personne que je connais qui s’appelle comme vous, ma traiter de gamine après m’avoir embrassé avec tellement de passion que je ne fais que penser à ça.

-          Amélia je voulais te dire que je suis désolé d’avoir d’y ça, je ne le penser pas, s’il te plaît pardonne-moi, me dit-il d’une voix suppliante.

-          Je ne sais pas, car vous voyait monsieur ce que vous m’avait dit m’a fait mal.

-          Je suis vraiment désolé et je voudrais qu’on se voit cette après-midi si tu es libre, pour me faire pardonner je voudrais te payer le déjeuner dans un bon restaurant, alors tu veux bien m’accorder quelques heures de ton temps ?

-          Mmmmh, je ne sais pas si tu le mérite Lucas…

-          Je t’en prie Amélia, il faut qu’on parle et je ne peux pas le faire au téléphone.

-          Bon ok, je viendrai déjeuner avec toi mais à une condition.

-          Laquelle ?

-          Que tu me dises ce que tu penses vraiment quand je te pose une question, lui dis-je.

-          D’accord, alors au ce rejoint à 12h00 devant le restaurant «La parisienne » dans le 8ème, ça te va ?