Au-delà de l'interdit (relation prof-élève)

Chapitre 20 : Amélia - Partie 2

Bonjour à tous, voilà comme promit la suite du chapitre encore désoler pour cette attente... J'espère que vous l'aimeriais.

P.S. : je voulais vous dire aussi que j'ai re-décrit le physique de la famille d'Amélia pour ceux qui lit mon histoire depuis un moment.

Bonne lecture.

Chapitre 20 : Amélia - Parties 2

Après une journée riche en émotion surtout pour ma très chère Alice, je décide de prendre un bon bain chaud avant de passer à table avec ma famille. Je commence à ouvrir le robinet et un peu de musique, puis je débute ma mise en « beauté » corporel et visage avant de m’immerger complétement dans mon bain.

Au bout de plusieurs minutes de relaxation j’entends madame Louise m’appeler pour me prévenir que le repas sera prêt dans 5 minutes. Je finis par sortir de l’eau avant de me préparer pour aller manger, en enfilant un pyjama en soie rose pâle. Avant de rejoindre ma famille au complet depuis plus de deux mois… cela comprend mes parents, moi et mon grand frère.

-          Il ne manquait plus que toi ma chérie, me dit ma mère.

Ma mère me ressemble comme deux gouttes deux, chevelure brune claire et d’une corpulence svelte à part pour ce qui est de la couleur des yeux, j’ai les yeux bleus clairs de mon père.  Elle a revêtit d’une nuisette en soie jaune ainsi d’un kimono blanc. Alors que mon père et mon frère sont vêtus d’un débardeur et d’un jogging. Edwin mon grand frère ressemble beaucoup à notre père même chevelure brun foncé ainsi que la même corpulence tout en muscle, sauf que mon grand frère a les yeux de couleur bleu profond.

-          Je vous apporte vos entrées dans un instant, nous dit madame Louise.

Au retour de la gouvernante elle nous dépose à chacun une assiette de « Tartelettes savoyardes » avant de repartir sur ses pas pour préparer la suite du repas.

Tout en mangeant mon entrée raffinée je commence à divaguer vers les eaux troubles de mes penser que j’ai essayé temps bien que mal à les renflouer au plus profond de mon être. Mais il faut toujours qu’il s’immisce dans ma tête, je ne peux pas l’oublié cela mes inconcevable tout simplement car je persiste après tout ce temps à l’aimer plus que jamais… Si je venais à ruiner sa vie professionnelle à néant, cela me serait insoutenable.

Arriver au dessert où se trouve en face de nos places respectives un mystère glacé au chocolat-vanille, je commençais à le manger avant qu’une envie soudaine de vomir tout ce que je viens d’ingurgiter me prend, partant en courant le plus vite possible vers les plus proches toilettes avant de tout rendre en moins d’une minute le contenu de mon estomac.

J’entends ma mère me demander si je vais bien tout en mettant sa main sur mon front pour savoir si oui ou non j’ai de la fièvre.

-          Tu n’as pas de fièvre ma chérie mais je vais prendre quand même rendez-vous demain matin à la première heure chez notre médecin, me dit-elle.

-          Mais non maman, c’est sûrement qu’un coup de froid rien de plus, lui dis-je parce que je n’aime vraiment pas aller chez le médecin.

-          Je préfère être sûr que tu n’as pas attrapé la grippe.

-          Ok.

Je passe la fin de la soirée dans ma chambre avant de rejoindre les bras Morphée.

Le lendemain je me réveille  « patraque », je sens que je vais revomir ce qui me reste dans l’estomac c’est ce qui se passe moins de 5 minutes plus tard, alors que je me préparais pour mon rendez-vous dans moins d’une heure chez le médecin. Je décide de m’habiller le plus simple possible, je n’ai vraiment pas le morale à bien me préparer donc j’enfile un top basique noir, un jean bleu brut ainsi que mes bottes noires sans talon avant de me diriger vers ma mère qui m’attend dans le salon.

-          Tu es prêt ma chérie ? me demande ma mère.

-          Oui, on peut y aller.

Mais alors que je baisse mon regard sur son corps je remarque qu’elle porte son tablier qu’elle utile quand elle va à son atelier où elle peint ses tableaux abstrait car ma chère maman est une très grande peintre renommé dans le monde entier.

-          Euh… Maman tu ne vas pas m’accompagné dans cette tenue ?

-          En fait ma chérie je ne peux pas t’accompagner chez le médecin, j’ai un client qui m’a commandé une toile que je dois lui remettre dans moins de deux semaines, je suis désolée ma puce, me dit ma mère visiblement gêné de me prévenir que maintenant.

-          Mais maman tu sais très bien que je n’aime pas y aller toute seule, lui dis-je en ma apitoyant sur mon sort.

-          Tu as 17 ans et dans deux mois tu seras majeur ma puce, il faut que tu commences à prendre en charge ta personne et ce que je veux dire par « te prendre en charge » j’entends par là tu dois devenir plus indépendante, en plus monsieur Louis sera là s’il y a le moindre problème.

-          D’accord…

Je prends mon sac avec ma carte vitale à l’intérieur et mon portable avant de rejoindre monsieur Louis qui m’attend depuis tout à l’heure ma venue, à côté de la porte d’entrée.

Voilà maintenant 5 minutes que j’attends dans la salle d’attente avec 3 autres personnes dont une avec un bébé dans les bras qui n’arrête pas de brailler. Au bout de 5 autres minutes mon médecin « Monsieur Lebois » vient me chercher pour ma consultation. Arriver dans son cabinet tout en blanc, il me demande de m’assoir sur l’une des deux chaises en cuir noir devant son bureau en chêne brute  avant de rejoindre son fauteuil gris foncé. Mon médecin est plutôt jeune, moins de 30 ans je dirais de corpulence moyenne mais en muscles qui sont très bien dessinés dans sa chemise blanche et son pantalon de costume noir, il a une chevelure d’un blond très claire ainsi que les yeux bleu-vert.  

-          Qu’es qui vous amène mademoiselle Rousseau ?

-          J’ai vomi hier soir ainsi que ce matin, je pense que c’est qu’un coup de froid.

-          Très bien, nous allons voir ça, voulez-vous bien enlever votre haut pour que je puise vous examinez, me demande mon médecin.

Je commence à retirer mon manteau ainsi que mon t-shirt avant de me lever tout en évitant de croiser son regard, je n’aime vraiment pas qu’on me voit ainsi, en soutien-gorge…

Après m’avoir ausculté avec son stéthoscope ainsi que son tensiomètre, il me donne son pronostic :

-          Mademoiselle Rousseau es que vous prenez la pilule ?

-          Euh… oui je prends la pilule mini dose car j’ai eu des problèmes avec les autres…, lui dis-je d’une voix faible.

-          Et vous ne l’oubliez jamais ?

-          Non, j’ai mis une alarme à 20h00 tous les jours, pourquoi c’est ma pilule qui ne me convient pas monsieur ?

-          En fait pas vraiment mademoiselle, vous êtes enceinte malgré la prise de pilule…, je n’entends plus ce qu’il me dit, mon esprit est déjà à mille lieues de ce cabinet. Ce n’est pas possible ! je ne peux pas être enceinte !!!

Pour le chapitre 21 avec le point de vue de Rose, je le mettra demain car j'ai eu un imprévue aujourd'hui...